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Jylg
42 abonnés
360 critiques
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4,0
Publiée le 15 septembre 2024
Magnifique histoire d’amour vue par le prisme des souvenirs. Quel road movie ce vieillard entame t il afin ddctfnur sa promesse a sa belle! De magnifiques rencontres, mais aussi de moins belles, le tout magnifié par une BO superbe… riche en émotions…
Très beau road movie où l'on suit le parcours d'un vieil homme déterminé à faire face à son passé tout en s'accrochant à ses souvenirs. À travers cet odyssée, Tom entreprend aussi bien un retour vers son passé qu'une aventure pleine de nouvelles expériences, abordant des thèmes universels tels que le deuil, de la mélancolie, la résilience ou encore l'importance des liens humains. Super touchant ! Je recommande.
Sorte de roadtrip globalement très sympathique même s'il ne me laissera pas de souvenirs impérissables. A voir pour le jeu de l'acteur et les payasage.
Magnifique et émouvant. L’histoire est belle, les acteurs fabuleux, avec une mention spéciale pour Timothy Spall, les paysages et prises de vue splendides. Dans mage que ce film ne loue que dans quelques salles.
Un film émouvant avec une prestation exceptionnelle de Timothy Spall. Des personnages authentiques, une histoire touchante, et des paysages sublimes. A voir !
Le Dernier Bus est un film qui, bien qu'il repose sur une trame simple, parvient à captiver par son émotion et sa sincérité. Pour moi qui ne suis pas habitué à ce genre de films, c'est une belle surprise. L'histoire de Tom est touchante, mais elle repose parfois trop sur des clichés sentimentaux. Si l'on peut reprocher au film un certain manque de subtilité, il compense largement par l'intensité de moments spécifiques. La scène où spoiler: Tom chante est l'exemple parfait : elle donne des frissons, mais peut aussi sembler un peu forcée pour susciter une réaction émotionnelle chez le spectateur. Malgré cela, Le Dernier Bus se révèle être une expérience touchante, même si l’émotion est parfois un peu trop appuyée.
Un très beau road-movie et un joli portrait de la société britannique raconté au travers du voyage et des réseaux sociaux. Le scenario est peut-être un prévisible, mais l'émotion est là. Je suis aussi ravi de voir Timothy Spall dans un rôle principal. Celui-ci donne tout.
Le dernier bus a mis 3 ans à franchir la Manche, alors que le film de Gilles MacKinnon est sorti un peu partout dans le monde, entre temps. Le réalisateur, dont certains se souviendront peut-être de Marrakech Express (1998) raconte là une histoire très sentimentale dont seuls les cœurs de pierre ne saisiront pas l'émotion, hélas un peu forcée, qu'il est censé susciter. C'est un récit de beaux et bons sentiments, reflet d'un amour que seul le temps peut briser et qui oblige un vieil homme à parcourir le chemin inverse du voyage le plus important de sa vie. Le film se déroule en grande partie dans des bus locaux, de la pointe septentrionale de l’Écosse à l'extrémité ouest de l'Angleterre, un périple qui permet des rencontres, des gestes de bienveillance et de générosité ou, plus rarement, des actes de méchanceté. L'hommage au peuple britannique, y compris pour ses immigrés, est perceptible mais le film, avec ses nombreux flashbacks, son faux suspense et sa mise en scène un tantinet fade atteint plus nos glandes lacrymales qu'il ne suscite un pur bonheur cinématographique. Quant à Timothy Spall, omniprésent, avec sa lippe bougonne, il est à la hauteur de son personnage mais sa performance ne saurait égaler celle de Mr. Turner, l'un de ses nombreux rôles parmi les plus marquants.
Suite au décès de son épouse, un vieillard décide de voyager en bus de John o’Groats à Land’s end, les deux points géographiquement les plus éloignés de Grande-Bretagne, rejouant en sens inverse le périple qui les avait amenés tous deux au nord de l’Ecosse dans les années 50. Tout au long de son périple défilera un panorama de son pays dans toute sa normalité, fait de braves gens et de sales types et cette drôle d’odyssée attirera l’attention des médias. Franchement, j’aurais aimé plus de paysages, plus d’arrêts dans le Lake district ou les Cotswolds car c’est surtout l’Angleterre craignos des centres urbains qui sert de décor aux principales scènes…mais le plus gros problème de ‘The last bus’, c’est qu’il ne dissimule pas une seule seconde sa volonté tire-larmes. Malgré la belle performance de Timothy Spall, plus bougon que jamais, on voit venir de si loin l’issue de ce périple et la raison pour laquelle le vieux a décidé de l’entreprendre que le film égare une grande part de son pathos en chemin. Ce qui n’est peut-être pas plus mal, au fond.
Tom, un vieil homme dont on ne sait pas grand-chose, se lance dans un long voyage qui consiste à traverser la Grande-Bretagne en bus. Alors que l'on prend généralement le temps pour se remémorer les souvenirs qui nous sont chers, Tom ne semble malheureusement pas avoir beaucoup de temps à revendre. Il est pressé et son itinéraire est très serré. Accompagné d'une petite mallette qu'il refuse de quitter, il commence alors son voyage vers le sud. Qu'y a-t-il dans cette mallette ? Pourquoi se lance-t-il dans un si long périple à son âge ? Pourquoi en bus ? Ce sont les questions que l'on se pose et l'on a le temps d'y réfléchir, car il ne se passe pas grand-chose. Ce voyage est ponctué de quelques rencontres, de petites péripéties et de nombreux flashbacks. C'est un film très simple avec un récit linéaire qui comprend quelques moments émouvants. On sait où cela va nous mener, mais on suit quand même ce voyage nostalgique avec une certaine tendresse. En somme, un petit film sympathique.