Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
4 critiques presse
Le Figaro
par O.D.
Mais sur cette intrigue classique, un peu vue et revue, Spall parvient à instiller tout son savoir-faire. L'obstination tranquille d'un vieil époux qui a fait une promesse à sa femme fonctionne et tire quelques larmes. C'est déjà ça...
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Road movie du troisième âge, Le Dernier bus suit un chemin narratif et émotionnel cousu de fil blanc, plaidant pour un humanisme simpliste et convenu.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Cécile Mury
Le dernier voyage est ainsi prétexte à une série de mièvres flash-back et de rencontres de hasard plus plates et démonstratives les unes que les autres. Pour mieux apprécier le talent de Timothy Spall, on attendra le prochain bus.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par J. Ma.
Outre cette macération sadomasochiste, le voyage est prétexte à un chapelet de rencontres-minute ineptes sur le plan dramaturgique, qui sont autant de lieux communs sur la société contemporaine. Cela s’appelle un calvaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Figaro
Mais sur cette intrigue classique, un peu vue et revue, Spall parvient à instiller tout son savoir-faire. L'obstination tranquille d'un vieil époux qui a fait une promesse à sa femme fonctionne et tire quelques larmes. C'est déjà ça...
Les Fiches du Cinéma
Road movie du troisième âge, Le Dernier bus suit un chemin narratif et émotionnel cousu de fil blanc, plaidant pour un humanisme simpliste et convenu.
Télérama
Le dernier voyage est ainsi prétexte à une série de mièvres flash-back et de rencontres de hasard plus plates et démonstratives les unes que les autres. Pour mieux apprécier le talent de Timothy Spall, on attendra le prochain bus.
Le Monde
Outre cette macération sadomasochiste, le voyage est prétexte à un chapelet de rencontres-minute ineptes sur le plan dramaturgique, qui sont autant de lieux communs sur la société contemporaine. Cela s’appelle un calvaire.