Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Une pratique jubilatoire de la lexicographie des petites frappes (...), les horizons lugubres des friches industrielles filmés avec nonchalance comme une savane anachronique, l'inélégance de chaque geste, comme mu par une nécessité cachée qui le condamne à l'inefficacité, achèvent de faire de cette farce un divertissement aussi anodin que sympathique.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Obejctif-Cinema.com
par Florence Pommery
Le film fonctionne comme une série avec ses personnages types. En effet, les personnages sont tous bien identifiables et appartiennent chacun à un archétype du film de gangsters tout en s'en éloignant par certaines caractéristiques, les frères Russo ne retenant du stéréotype que sa dimension comique.
La critique complète est disponible sur le site Obejctif-Cinema.com
Ciné Live
par Olivier Petit
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Parisien
par Alain Grasset
Une comédie sympathique, mais guère originale.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
MCinéma.com
par Jean-Christophe Derrien
Pour un second long métrage, les frères Russo n'ont pas à avoir honte : l'ensemble est bien réalisé, la peinture d'un certain quart-monde américain vieillotte mais originale... Espèrons que Clooney et Soderbergh leur trouveront un meilleur sujet pour leur troisième film.
Première
par Mathieu Carratier
Heureusement que le casting fait la différence, entre spécialistes du vol de vedette (...) et surtout Sam Rockwell, dont l'arrogante nonchalance risque de vite devenir indispensable.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Les comédiens, William H. Macy en tête, nous offrent en revanche quelques moments assez savoureux mais trop épars pour justifier cette fade resucée.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Frédéric Strauss
Soderbergh savait jouer la carte de la légèreté, les frères Russo ont encore pas mal à apprendre. Leur comédie ne finit par trouver un peu d'allant qu'en sortant la grosse artillerie. Bien sûr, tout ça n'est qu'un jeu. Mais on y participerait plus volontiers si les acteurs avaient le beau rôle. C'est surtout ça qui cloche : à l'étroit dans des rôles pas très bien écrits, les comédiens ne sont pas à la fête.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Véronique Le Bris
Dotés du prestige de leurs producteurs, Soderbergh et Clooney (qui apparaît aussi en guest star), ce film sans prétention pourrait trouver l'oeil bienveillant du public. On regrettera que l'enthousiasme de ces jeunes réalisateurs ne dépasse pas le cadre formel.
Aden
par Philippe Piazzo
On cherchera en vain une trace d'originalité ou un minimum d'invention dans ce lent et laborieux calque qui, pour faire rire, compte sur la crétinerie des personnages, sans cesse soulignée.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Libération
par Gilles Renault
Poussif, avec sa touche humaniste et ses slapsticks à deux balles (genre canalisation percée pendant le cambriolage), le propos enquille les situations prévisibles sur fond de guitare jazzy ou manouche inopérante.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Chronic'art.com
Une pratique jubilatoire de la lexicographie des petites frappes (...), les horizons lugubres des friches industrielles filmés avec nonchalance comme une savane anachronique, l'inélégance de chaque geste, comme mu par une nécessité cachée qui le condamne à l'inefficacité, achèvent de faire de cette farce un divertissement aussi anodin que sympathique.
Obejctif-Cinema.com
Le film fonctionne comme une série avec ses personnages types. En effet, les personnages sont tous bien identifiables et appartiennent chacun à un archétype du film de gangsters tout en s'en éloignant par certaines caractéristiques, les frères Russo ne retenant du stéréotype que sa dimension comique.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Parisien
Une comédie sympathique, mais guère originale.
MCinéma.com
Pour un second long métrage, les frères Russo n'ont pas à avoir honte : l'ensemble est bien réalisé, la peinture d'un certain quart-monde américain vieillotte mais originale... Espèrons que Clooney et Soderbergh leur trouveront un meilleur sujet pour leur troisième film.
Première
Heureusement que le casting fait la différence, entre spécialistes du vol de vedette (...) et surtout Sam Rockwell, dont l'arrogante nonchalance risque de vite devenir indispensable.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Les comédiens, William H. Macy en tête, nous offrent en revanche quelques moments assez savoureux mais trop épars pour justifier cette fade resucée.
Télérama
Soderbergh savait jouer la carte de la légèreté, les frères Russo ont encore pas mal à apprendre. Leur comédie ne finit par trouver un peu d'allant qu'en sortant la grosse artillerie. Bien sûr, tout ça n'est qu'un jeu. Mais on y participerait plus volontiers si les acteurs avaient le beau rôle. C'est surtout ça qui cloche : à l'étroit dans des rôles pas très bien écrits, les comédiens ne sont pas à la fête.
Zurban
Dotés du prestige de leurs producteurs, Soderbergh et Clooney (qui apparaît aussi en guest star), ce film sans prétention pourrait trouver l'oeil bienveillant du public. On regrettera que l'enthousiasme de ces jeunes réalisateurs ne dépasse pas le cadre formel.
Aden
On cherchera en vain une trace d'originalité ou un minimum d'invention dans ce lent et laborieux calque qui, pour faire rire, compte sur la crétinerie des personnages, sans cesse soulignée.
Libération
Poussif, avec sa touche humaniste et ses slapsticks à deux balles (genre canalisation percée pendant le cambriolage), le propos enquille les situations prévisibles sur fond de guitare jazzy ou manouche inopérante.