Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
Closer
par J.B.
Yann Gozlan nous immerge dans une expérience sensorielle vertigineuse et s'impose comme un maître du suspense.
20 Minutes
par Caroline Vié
Une mise en scène d’une précision diabolique emporte la jeune femme dans un engrenage redoutable magnifié par des plans taillés au cordeau.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ecran Large
par Judith Beauvallet
Un thriller psychologique efficace et visuellement très beau, qui approfondit les obsessions du cinéma de Gozlan pour mieux lui permettre de basculer dans le fantastique. Si les références sont très présentes et le déroulé un peu attendu, la maîtrise est telle que la surprise reste très bonne.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Falila Gbadamassi
La prouesse de "Visions" est finalement de hanter a posteriori, longtemps après le générique de fin, en suscitant une question quasi insoluble.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Ecran Fantastique
par Jean-Pierre Andrevon
[...] deux bonnes heures de suspense qui nous laisse en équilibre dans notre fauteuil.
L'Obs
par François Forestier
Yann Gozlan brouille les pistes avec habileté, façon Hitchcock dans « Rebecca » (avec une pensée pour Patricia Highsmith), dans un récit complexe où les sentiments, les cauchemars et les élans se heurtent avec une violence affinée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Jérôme Vermelin
Si "Visions" repose sur une mécanique implacable, Yann Gozlan a également conçu son film comme une expérience qui place le spectateur au centre du jeu, utilisant tous les moyens à sa disposition pour le plonger dans les différents états mentaux de l'héroïne.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Parisien
par La rédaction
C’est au spectateur de se forger sa propre opinion, jusqu’à une inattendue pirouette finale qui ne fait que renforcer l’impression de cauchemar éveillé persistant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Avec sa grâce tout en blondeur, sa fausse fragilité, son jeu fluide, Diane Kruger porte sur ses épaules ce thriller psychologique.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Si le récit apparaît parfois mécanique, "Visions" éblouit par la beauté de sa mise en scène et tient en haleine jusqu’à sa conclusion, vertigineuse.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Cherchant à être complexe, dérangeant et troublant, le film est plutôt confus, et à la fin, plus déroutant que décollant.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un thriller soigné mais sans doute trop stylisé.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un récit sinueux, fragmenté façon puzzle et résolument lynchien, qui installe le malaise et brouille la temporalité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Ouest France
par Pascale Vergereau
Il faut accepter de se noyer dans le kaléidoscope d’images qui montre [la] raison [d'Estelle] vaciller mais l’intrigue finit pas être étouffée sous les prouesses stylistiques et un érotisme sophistiqué. Bien parti, ne réussit pas complètement son vol.
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Yann Gozlan s’est spécialisé dans ce genre en signant notamment l’efficace « Boîte Noire » porté par Pierre Niney. Sa nouvelle livraison s’inscrit dans cette veine et brasse les clins d’œil au cinéma de Lynch, Hitchcock, De Palma, Polanski ou encore Verhoeven… Trop explicites, ces influences empêchent « Visions » de dégager sa personnalité propre.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 2 semaines
par Sébastien Ors
[...] une descente aux enfers qu'un scénario alambiqué va s'échiner à rendre crédible deux heures durant. Le film séduit pourtant grâce à une mise en scène hitchcockienne et élégante et le beau tandem formé par Diane Kruger-Mathieu Kassovitz.
Télé Loisirs
par Sébastien Ors
Estelle est-elle paranoïaque ou victime d'une machination ? La réponse risquant d'être décevante, plutôt que de se poser la question mieux vaut se laisser séduire.
Voici
par La Rédaction
Visions pèche par son intrigue, tour à tour nébuleuse et faussement complexe. Mais le film parvient tout de même à capter l'intention (...).
CNews
par La rédaction
Le cinéaste semble se perdre dans les méandres de son scénario peu original et perd le spectateur dans un jeu de piste brouillon.
La critique complète est disponible sur le site CNews
CinemaTeaser
par Rose Piccini
Le réalisateur de l'excellent "Boîte noire" creuse le sillon du mystère, mais s'embourbe dans le fantastique.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
[...] un mauvais remake de "Pas de printemps pour Marnie", un des Hitchcock les moins défendables, avec flash-back, fausses pistes, gros soupçons soulignés au feutre noir.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Malgré plusieurs scènes envoûtantes et le soin apporté à la réalisation, le film, trop alambiqué, est moins convaincant que son prédécesseur.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Pour ce jeu de dupes bâti autour de Diane Kruger, Yann Gozlan use de motifs quelque peu éculés. En dépit du talent de ses actrices, notamment la convaincante Marta Nieto.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par Gilles Esposito
Certes, tout n'est pas à jeter, en particulier le fait que l'explication finale n'épuise qu'un pan du mystère, laissant demeurer une part d'irrationnel. Mais le film reste propre, au double sens de correctement fabriqué et de désespérément engoncé dans les codes du cinéma français de grande consommation [...].
Première
par Pierre Lunn
Hagard ou fébrile, Diane Kruger incarne cette héroïne duelle et s’en sort bien : si elle n’y excelle pas complètement, c’est que le film ne lui en donne pas tout à fait les moyens, négligeant trop l’enjeu émotionnel et jouant la carte de la virtuosité pour épater son spectateur. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Rien n’y est vraiment original ni tout à fait vraisemblable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si l’intrigue en trompe-l’œil a le don de fasciner, elle ne tient pas toutes ses promesses sur la longueur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Jean-Sébastien Massart
De Lynch au Vidal, voilà le parcours un peu morne de ces Visions, dont on pourrait tirer la conclusion suivante : même sous benzodiazépine, un mauvais thriller français restera toujours un mauvais thriller français.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Closer
Yann Gozlan nous immerge dans une expérience sensorielle vertigineuse et s'impose comme un maître du suspense.
20 Minutes
Une mise en scène d’une précision diabolique emporte la jeune femme dans un engrenage redoutable magnifié par des plans taillés au cordeau.
Ecran Large
Un thriller psychologique efficace et visuellement très beau, qui approfondit les obsessions du cinéma de Gozlan pour mieux lui permettre de basculer dans le fantastique. Si les références sont très présentes et le déroulé un peu attendu, la maîtrise est telle que la surprise reste très bonne.
Franceinfo Culture
La prouesse de "Visions" est finalement de hanter a posteriori, longtemps après le générique de fin, en suscitant une question quasi insoluble.
L'Ecran Fantastique
[...] deux bonnes heures de suspense qui nous laisse en équilibre dans notre fauteuil.
L'Obs
Yann Gozlan brouille les pistes avec habileté, façon Hitchcock dans « Rebecca » (avec une pensée pour Patricia Highsmith), dans un récit complexe où les sentiments, les cauchemars et les élans se heurtent avec une violence affinée.
LCI
Si "Visions" repose sur une mécanique implacable, Yann Gozlan a également conçu son film comme une expérience qui place le spectateur au centre du jeu, utilisant tous les moyens à sa disposition pour le plonger dans les différents états mentaux de l'héroïne.
Le Parisien
C’est au spectateur de se forger sa propre opinion, jusqu’à une inattendue pirouette finale qui ne fait que renforcer l’impression de cauchemar éveillé persistant.
Le Point
Avec sa grâce tout en blondeur, sa fausse fragilité, son jeu fluide, Diane Kruger porte sur ses épaules ce thriller psychologique.
Télé 7 Jours
Si le récit apparaît parfois mécanique, "Visions" éblouit par la beauté de sa mise en scène et tient en haleine jusqu’à sa conclusion, vertigineuse.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Cherchant à être complexe, dérangeant et troublant, le film est plutôt confus, et à la fin, plus déroutant que décollant.
La Voix du Nord
Un thriller soigné mais sans doute trop stylisé.
Le Journal du Dimanche
Un récit sinueux, fragmenté façon puzzle et résolument lynchien, qui installe le malaise et brouille la temporalité.
Ouest France
Il faut accepter de se noyer dans le kaléidoscope d’images qui montre [la] raison [d'Estelle] vaciller mais l’intrigue finit pas être étouffée sous les prouesses stylistiques et un érotisme sophistiqué. Bien parti, ne réussit pas complètement son vol.
Sud Ouest
Yann Gozlan s’est spécialisé dans ce genre en signant notamment l’efficace « Boîte Noire » porté par Pierre Niney. Sa nouvelle livraison s’inscrit dans cette veine et brasse les clins d’œil au cinéma de Lynch, Hitchcock, De Palma, Polanski ou encore Verhoeven… Trop explicites, ces influences empêchent « Visions » de dégager sa personnalité propre.
Télé 2 semaines
[...] une descente aux enfers qu'un scénario alambiqué va s'échiner à rendre crédible deux heures durant. Le film séduit pourtant grâce à une mise en scène hitchcockienne et élégante et le beau tandem formé par Diane Kruger-Mathieu Kassovitz.
Télé Loisirs
Estelle est-elle paranoïaque ou victime d'une machination ? La réponse risquant d'être décevante, plutôt que de se poser la question mieux vaut se laisser séduire.
Voici
Visions pèche par son intrigue, tour à tour nébuleuse et faussement complexe. Mais le film parvient tout de même à capter l'intention (...).
CNews
Le cinéaste semble se perdre dans les méandres de son scénario peu original et perd le spectateur dans un jeu de piste brouillon.
CinemaTeaser
Le réalisateur de l'excellent "Boîte noire" creuse le sillon du mystère, mais s'embourbe dans le fantastique.
Le Figaro
[...] un mauvais remake de "Pas de printemps pour Marnie", un des Hitchcock les moins défendables, avec flash-back, fausses pistes, gros soupçons soulignés au feutre noir.
Les Echos
Malgré plusieurs scènes envoûtantes et le soin apporté à la réalisation, le film, trop alambiqué, est moins convaincant que son prédécesseur.
Les Fiches du Cinéma
Pour ce jeu de dupes bâti autour de Diane Kruger, Yann Gozlan use de motifs quelque peu éculés. En dépit du talent de ses actrices, notamment la convaincante Marta Nieto.
Mad Movies
Certes, tout n'est pas à jeter, en particulier le fait que l'explication finale n'épuise qu'un pan du mystère, laissant demeurer une part d'irrationnel. Mais le film reste propre, au double sens de correctement fabriqué et de désespérément engoncé dans les codes du cinéma français de grande consommation [...].
Première
Hagard ou fébrile, Diane Kruger incarne cette héroïne duelle et s’en sort bien : si elle n’y excelle pas complètement, c’est que le film ne lui en donne pas tout à fait les moyens, négligeant trop l’enjeu émotionnel et jouant la carte de la virtuosité pour épater son spectateur. Dommage.
Télérama
Rien n’y est vraiment original ni tout à fait vraisemblable.
aVoir-aLire.com
Si l’intrigue en trompe-l’œil a le don de fasciner, elle ne tient pas toutes ses promesses sur la longueur.
Critikat.com
De Lynch au Vidal, voilà le parcours un peu morne de ces Visions, dont on pourrait tirer la conclusion suivante : même sous benzodiazépine, un mauvais thriller français restera toujours un mauvais thriller français.