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r0c-bribri
21 abonnés
818 critiques
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3,0
Publiée le 17 février 2012
Le coup de neuf visuel est épatant, le premier film est sur ce point là totalement surpassé. On peut reprocher un scénario un peu faiblard pour ce second volet, la musique envoutante et les images magnifiques réussissent tout de même à préserver l'attention du public, ce n'est pas sur le scénario qu'il faudra compter pour se chauffer les neurones.
Un bon divertissement qui vous fera tourner la tête sur le plan graphique. C'est non seulement visuellement très abouti, mais en plus, Disney se paye le luxe d'avoir une bande son signé Daft Punk. Jusque là, tout va bien. En fait, ce film à les défauts de ses qualités. En clair à trop vouloir séduire les pupilles on oubli le reste. Si je le recommande? Oui, mais au titre d'un son et lumière, pas pour son scénario.
Je l aurai noté personnellement à 15.5 sur 20 car je trouve dommage que l univers n est pas assez expliqué et des manquements un peu partout.A la fin on a pas mal d interrogations et on dit que c est un univers bizarre mais un film à voir .
Ce Tron ressortit d’outre-tombe ne doit son seul salut que par ses effets spéciaux extra-sophistiqués. Que c’est bien maigre pour susciter l' intérêt ! Encore un film a classer dans la catégorie des films-prétextes.
J’appréhendais de le voir et j’étais prêt à le regarder l’esprit et le regard vides. Je ne me souviens plus du premier, j’étais un tout jeune homme mais le souvenir que j’en ai c’était un film très futuriste, assez distant, assez froid. J’aime la science-fiction mais je reste assez hermétique à l’anticipation. Et là surprise, mon cerveau a refusé de regarder vide. J’ai passé un bon moment et me suis surpris à être très concerné. Belle trouvaille que de confronter Jeff Bridges jeune à Jeff Bridges actuel. En 1982, les jeux vidéo étaient pareils à des fœtus monstrueux, Tron avait ce côté visionnaire en imaginant des jeux autres qu’une balle ou un rectangle qui se balade entre deux rectangles blancs. Tron envisageait le jeu vidéo en impliquant le joueur et en proposant un univers varié. Par contre, ici, il n’y a pas de vision. En regardant ce film dans le rétro, on s’apercevra qu’il en dit moins que celui de 1982 avec le recul. Cela dit, le sujet du film raconte l’épopée d’un fils à la recherche de son père enfermé depuis 1982 dans un jeu vidéo... Et si je me trompais. Aujourd’hui, l’utilisateur est actif dans le jeu vidéo, quelque part, il est intégré à l’univers dans lequel il joue. Il est virtuellement « enfermé » dedans...
Cette suite du cultisime Tron des années 80 est plutôt réussi. Jeff Bridges reprend son rôle de Kevin Flynn avec brio. De plus, le petit atout charme de l'actrice montante d'Hollywood, Olivia Wilde, amène un plus à ce film. Les effets spéciaux sont très réussi. Ce film ne marquera pas l'histoire comme le premier opus mais reste agréable à voir. Bon film.
Je ne m'attendais à rien au moment de le voir, et j'ai bien fait. Pour moi, c'est les effets spéciaux et la BO qui font tout. Du reste, j'en retiens rien, des acteurs qui ne m'ont pas convaincue, un scénario trop futuriste où on se perd un peu dans un champ lexical hyper informatique.
En 1982, Tron révolutionnait l'industrie cinématographique et des effets spéciaux, connaissant un succès honnête mais gagnant au fil des années un statut de culte indéniable. Vingt-huit années et une myriade de nouvelles technologies plus tard, Disney décide de redonner un coup de fouet à la franchise avec Tron: L'Héritage. Soyons clairs, Tron est une grosse claque visuelle et sonore époustouflante. On embarque pour un voyage visuellement très beau, avec un design futuriste épuré et apocalyptique, parsemé de scènes dantesques et irréelles. Pour la version 3D, le spectateur en aura définitivement pour son argent et elle achève de nous en mettre plein la vue. On en prend donc plein les yeux, mais les oreilles ne sont pas en reste grâce à la bande originale fantastique composée par Daft Punk. Epique et enlevée, elle souligne l'action des scènes de bravoure avec brio, à l'image de la baston dans la discothèque où les prouesses visuelles sont décuplées par la force de la musique. Passons outre le jeu des acteurs, car hormis Jeff Bridges toujours aussi classe, les autres « figurants » à part leur jolie gueule n’ont rien de transcendant. On pardonne facilement les faiblesses d'un scénario à la fois trop simpliste pour les initiés et trop fouillis pour les profanes, pour se laisser emporter par cette expérience fascinante de cinéma qui titille nos mirettes et nos tympans avec une insolence désarmante.
Je connaissais le premier Tron qui m'avait laissé franchement de marbre et je voulais donc voir celui-ci pour la simple raison que j'ai ingurgité toute la B.O. signée Daft Punk depuis des mois et que je l'adore... Bref, résultat, déception tranquille. Deux points positifs; la musique qui est vraiment grandiose et colle superbement aux images en permettant de "décoller" par moments et les images, effets spéciaux sont trés réussis et pas trop envahissants... Par contre, le scénario tient sur un emballage de Carambar et est à l'image de ce que l'on trouve sur ces fameux bouts de papiers enrobant ces caramels pas mous; une petite blague éculée et tombant à plat. Le film s'adresse à un public de "puceaux" mentaux et ça se voit, ça se sent, ça s'entend... Le film est bourré d'anachronismes, d'impossibilités techniques absolument grandioses, la fin est tout simplement stupide et ridicule, le héros principal, 25 ans à tout casser et fils à papa rebelle ( OUARFFF ) se révèle être le pape du kung-fu, de l'aïkido et du lancer de disque virtuel en 10 secondes, la fille qui se balade de la moitié du métrage jusqu'au happy end de rigueur se révèle être totalement inutile et aurait mieux fait de rester dans l'équipe du docteur "Maison" ( House pour les puristes ) et seul Jeff Bridges, impeccable réussit à rendre son personnage à peu prés convenable... Des clins d'oeil à Star wars ( je ne suis pas ton père ), à David Bowie ( Ziggy Stardust ) à Blade Runner pour certaines scènes sous la pluie, des images inspirées des grands rassemblements Nazis à Nuremberg ne permettent pas hélas de regarder ce long album de vignettes animées autrement qu'avec un ennui poli mais certain... A vouloir trop être compris par un public de pre-adolescents post pubères, on ôte toute subtilité et profondeur philosophique à ce conte plein de néons éblouissants, mais dépourvu des lumières de l'esprit... Reste donc un beau spectacle creux comme un passe-lacet avec une musique enthousiasmante mais un script piteux et une morale convenue...
Déception surprenante: je m'attendais à passer une bonne soirée à faire cogiter mes neurones. L'intrigue est ballayée en un échange de répliques, le scénario peut tenir en 3 lignes, comme si la volonté des scénaristes étaient d'être accessible au plus grand nombre. J'ai adoré le visuel, mais le fait est que j'ai attendu tout le film avec l'espoir d'être surpris à un moment ou à un autre, le film, déjà, est terminé... Pourtant, sur un sujet pareil, il y'avait matière à au moins développer l'histoire. En résumé, c'est beau, y'a un début, et une fin, entre les deux, des courses poursuites et des effets spéciaux.
Une petite surprise. Je regardais ce film plutôt par ennuie et je me suis plutôt bien accroché. Un scénario assez sympa et originale, de belles images, une bande son très bien ficelée. Bref un fil à voir.
scénario simpliste mais c'est normal, c'est du Disney, sans avoir vu le premier, on comprend bien l'enjeu, c'est beau, c'est bien mis en musique, Daft Punk, ... un vrai monde virtuel est créé avec ses aspects sociaux, allez on attend la suite.