Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Joyeux, enthousiasmant et résolument humain, le nouveau film de Michel Leclerc réenchante la chanson et le cinéma français. Assurément le coup de cœur de l’été.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CNews
par Chloé Ronchin
Mélancolique, drôle et attachant, cette romance musicale est rythmée par d'envoutantes et entêtantes chansons originales.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un moment charmant, drôle et tendre.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une réussite qui doit beaucoup à ses comédiens : Félix Moati et Rebecca Marder étincellent de charme, et Judith Chemla, dans le rôle d’une vedette pop entre Brigitte Fontaine et Catherine Ringer, touche au sublime.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par La Rédaction
Pleine de charme et de poésie, mais aussi moins surprenante que ses précédents films (« Le Nom des gens », « La Lutte des classes »), cette jolie histoire d’amour musicale aborde les thèmes chers à Michel Leclerc qu’il interroge ici brillamment : les rapports de classes et les codes culturels.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Michel Leclerc aime observer la société française et ses fractures. Il le prouve une nouvelle fois dans « Les Goûts et les Couleurs », une fiction qui, derrière sa fantaisie musicale et ses faux airs de comédie romantique, examine la violence de classe et les préjugés qui sévissent des deux côtés du périph. Un film inventif.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Michel Leclerc met en scène une passion a priori improbable entre deux protagonistes qui bousculent leurs préjugés et se libèrent des entraves de leur « communauté » respective. En amour comme ailleurs, raconte en filigrane le cinéaste, se soustraire à la lutte des classes n’est pas chose aisée. Foncez dans les salles découvrir ce beau combat, vous ne le regretterez pas.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Emily Barnett
Un tandem accordé et hyper charmant qui réussit même à nous rendre sympathique ce milieu féroce.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
La rencontre avec la star vieillissante est merveilleuse. Puis ça devient une comédie romantique un peu convenue.
Télé Loisirs
par Camille Brun
Le film offre un choc des cultures un peu appuyé, mais souvent drôle.
Voici
par Lola Sciamma
Le réalisateur du Nom des gens nous offre un nouveau duo d'acteurs épatants.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Habitué à jouer la mouche du coche de tous côtés, Michel Leclerc fait preuve de moins de sagacité en choisissant son camp cette fois de manière plus marquée. Sa caméra filme amoureusement Rebecca Marder face à l’exaspérant Anthony, auquel Félix Moati apporte heureusement un peu de son charme.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
L’amour va s’en mêler. Ça n’est d’ailleurs clairement pas cet aspect qui nous a le plus convaincus dans cette histoire (gros problème de crédibilité justement). Non, ce qui est plus intéressant, c’est justement la manière dont on aborde le goût des autres jadis chers à Agnès Jaoui. Les présupposés de classe, les fossés culturels, l’héritage artistique… Et les ponts qui peuvent se créer.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Etienne Sorin
On pense au Goût des autres, la formidable comédie d’Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri sur les préjugés de classe et le snobisme culturel. Les Goûts et les couleurs est moins fin. Cela n’empêche pas quelques très bonnes scènes.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Avec son charme lumineux et une drôlerie tout en finesse, Rebecca Marder fait pétiller, face au pétulant Félix Moati, cette comédie sociétale et romantique dans l’air du temps qui épingle gentiment le monde de la musique.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Le réalisateur du Nom des gens orchestre un hommage amoureux à la chanson française tout en prolongeant son regard acéré sur les rapports de classe.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le réalisateur des films « Le Nom des gens » et « Télé Gaucho » propose une nouvelle comédie pleine de charme avec Rebecca Marder, Félix Moati et Judith Chemla.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Fort d’un beau trio, Michel Leclerc interroge cette fois la création artistique, les goûts de chacun et l’intégrité des artistes, valeur qui n’est pas synonyme de succès. Seul bémol : certaines ficelles sont bien épaisses.
Télérama
par Marie Sauvion
Entre la « bobo » et le beau « beauf », il y a un fossé, social et culturel, dont Les Goûts et les couleurs fait son miel, sans surplomb. C’est franchement charmant, même si léger quand on garde en mémoire la profondeur cruelle et mélancolique du Goût des autres, d’Agnès Jaoui (2000).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Michel Leclerc rate son faux biopic musical en s’empêtrant dans les fils d’une histoire à l’écriture beaucoup trop maladroite et conventionnelle.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Cette mission impossible donne naissance à un récit sans cesse au bord de l’asphyxie qui empêche les jolies scènes de comédie ou d’émotion simple de déployer leur charme fou, en dépit du jeu tout en nuances de l’emballante Rebecca Marder.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Au prétexte de la fantaisie, tout peut arriver dans Les Goûts et les Couleurs : des ruptures de ton – qui tombent à plat –, des revirements psychologiques – aussi brusques qu’invraisemblables. Soumises au bon vouloir du cinéaste, les figures sociologiques qu’il prétendait dessiner cherchent vainement leur cohérence, et le roman sa consistance.
aVoir-aLire.com
Joyeux, enthousiasmant et résolument humain, le nouveau film de Michel Leclerc réenchante la chanson et le cinéma français. Assurément le coup de cœur de l’été.
CNews
Mélancolique, drôle et attachant, cette romance musicale est rythmée par d'envoutantes et entêtantes chansons originales.
Femme Actuelle
Un moment charmant, drôle et tendre.
L'Obs
Une réussite qui doit beaucoup à ses comédiens : Félix Moati et Rebecca Marder étincellent de charme, et Judith Chemla, dans le rôle d’une vedette pop entre Brigitte Fontaine et Catherine Ringer, touche au sublime.
Le Parisien
Pleine de charme et de poésie, mais aussi moins surprenante que ses précédents films (« Le Nom des gens », « La Lutte des classes »), cette jolie histoire d’amour musicale aborde les thèmes chers à Michel Leclerc qu’il interroge ici brillamment : les rapports de classes et les codes culturels.
Les Echos
Michel Leclerc aime observer la société française et ses fractures. Il le prouve une nouvelle fois dans « Les Goûts et les Couleurs », une fiction qui, derrière sa fantaisie musicale et ses faux airs de comédie romantique, examine la violence de classe et les préjugés qui sévissent des deux côtés du périph. Un film inventif.
Marianne
Michel Leclerc met en scène une passion a priori improbable entre deux protagonistes qui bousculent leurs préjugés et se libèrent des entraves de leur « communauté » respective. En amour comme ailleurs, raconte en filigrane le cinéaste, se soustraire à la lutte des classes n’est pas chose aisée. Foncez dans les salles découvrir ce beau combat, vous ne le regretterez pas.
Marie Claire
Un tandem accordé et hyper charmant qui réussit même à nous rendre sympathique ce milieu féroce.
Ouest France
La rencontre avec la star vieillissante est merveilleuse. Puis ça devient une comédie romantique un peu convenue.
Télé Loisirs
Le film offre un choc des cultures un peu appuyé, mais souvent drôle.
Voici
Le réalisateur du Nom des gens nous offre un nouveau duo d'acteurs épatants.
La Croix
Habitué à jouer la mouche du coche de tous côtés, Michel Leclerc fait preuve de moins de sagacité en choisissant son camp cette fois de manière plus marquée. Sa caméra filme amoureusement Rebecca Marder face à l’exaspérant Anthony, auquel Félix Moati apporte heureusement un peu de son charme.
La Voix du Nord
L’amour va s’en mêler. Ça n’est d’ailleurs clairement pas cet aspect qui nous a le plus convaincus dans cette histoire (gros problème de crédibilité justement). Non, ce qui est plus intéressant, c’est justement la manière dont on aborde le goût des autres jadis chers à Agnès Jaoui. Les présupposés de classe, les fossés culturels, l’héritage artistique… Et les ponts qui peuvent se créer.
Le Figaro
On pense au Goût des autres, la formidable comédie d’Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri sur les préjugés de classe et le snobisme culturel. Les Goûts et les couleurs est moins fin. Cela n’empêche pas quelques très bonnes scènes.
Le Journal du Dimanche
Avec son charme lumineux et une drôlerie tout en finesse, Rebecca Marder fait pétiller, face au pétulant Félix Moati, cette comédie sociétale et romantique dans l’air du temps qui épingle gentiment le monde de la musique.
Les Inrockuptibles
Le réalisateur du Nom des gens orchestre un hommage amoureux à la chanson française tout en prolongeant son regard acéré sur les rapports de classe.
Sud Ouest
Le réalisateur des films « Le Nom des gens » et « Télé Gaucho » propose une nouvelle comédie pleine de charme avec Rebecca Marder, Félix Moati et Judith Chemla.
Télé 7 Jours
Fort d’un beau trio, Michel Leclerc interroge cette fois la création artistique, les goûts de chacun et l’intégrité des artistes, valeur qui n’est pas synonyme de succès. Seul bémol : certaines ficelles sont bien épaisses.
Télérama
Entre la « bobo » et le beau « beauf », il y a un fossé, social et culturel, dont Les Goûts et les couleurs fait son miel, sans surplomb. C’est franchement charmant, même si léger quand on garde en mémoire la profondeur cruelle et mélancolique du Goût des autres, d’Agnès Jaoui (2000).
Les Fiches du Cinéma
Michel Leclerc rate son faux biopic musical en s’empêtrant dans les fils d’une histoire à l’écriture beaucoup trop maladroite et conventionnelle.
Première
Cette mission impossible donne naissance à un récit sans cesse au bord de l’asphyxie qui empêche les jolies scènes de comédie ou d’émotion simple de déployer leur charme fou, en dépit du jeu tout en nuances de l’emballante Rebecca Marder.
Cahiers du Cinéma
Au prétexte de la fantaisie, tout peut arriver dans Les Goûts et les Couleurs : des ruptures de ton – qui tombent à plat –, des revirements psychologiques – aussi brusques qu’invraisemblables. Soumises au bon vouloir du cinéaste, les figures sociologiques qu’il prétendait dessiner cherchent vainement leur cohérence, et le roman sa consistance.