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Une chronique familiale douce-amère, le temps d'un été pas comme les autres. Pour les parents de Dune dont on devine qu'ils vivent un moment difficile. Et pour Dune aussi, 11 ans, qui filme tous les instants de sa vie comme on écrit son journal intime, inséparable de Mathilde. Elles vivent pleinement leurs vacances, en marge de leurs parents, et se construisent la vision de la vie dont elles ont besoin à ce moment-là.
Cet été-là est un film attachant, servi par un casting prestigieux, qui imprime durablement sa petite musique, nostalgique.
Cet été-là est un film attachant, servi par un casting prestigieux, qui imprime durablement sa petite musique, nostalgique.
Formidable !
J’ai choisis ce film sans aucune attente et j’en suis ressortis ébloui , vraiment magnifique. Les relations entre les personnages sont géniales.
A voir !
J’ai choisis ce film sans aucune attente et j’en suis ressortis ébloui , vraiment magnifique. Les relations entre les personnages sont géniales.
A voir !
Le mal-être des adultes vu par leurs enfants, en âge de quasiment tout comprendre. Une vision crue, d’apparence anodine mais qui peut se révéler très douloureuse et forger durablement des caractères. Intéressant.
L'univers du film est assez glauque. On se demande même comment on peut plonger une enfant de 11 ans au moment du tournage dans un tel univers. Le dernier quart du film sauve un peu l'ensemble, et la petite Rose-Pou Pellicer mérite une distinction car elle est superbe et elle incarne à merveille une enfant ballotée dans un environnement familial déséquilibré et instable. On se demande en fait où le réalisateur veut nous mener, quel est l'objectif de ce film, mystère ?
Un film qu'on oubliera vite !
Un film qu'on oubliera vite !
On s'ennuie ferme, les dialogues des enfants ne sont pas crédibles, même Marina Foïs est en dessous de son niveau habituel. A voir donc uniquement si on ne sait vraiment pas quoi faire d'autre...
Film ennuyeux, sans queue ni tête, on attend toujours qu'il se passe quelque chose. Deux gamines délurées et insolentes qui tiennent des propos étonnants pour leur àge. Ici et là quelques personnages dont on se demande ce qi'ils font là. On dirait des morceaux de puzzle qui ne se recollent jamais. On fait ouf quand c'est la fin.
Franchement, un vent de fraîcheur ! J'ai beaucoup ri, la gamine est géniale. Le film est bien écrit, bien fait, agréablement suprise !!
Franchement , il y a longtemps que je n' ai vu un film aussi désastreux . C'est tellement mauvais qu'un fou rire nous a pris , mon amie et moi tant les situations sont grotesques . Mal joué , loufoque , et pas de scénario , vulgaire , les deux gamines délurées sont insupportables mériteraient des claques . On ne comprend pas un mot de ce qu'elles se disent , ce n'est finalement peut être pas plus mal ...! Et pour couronner le tout , on dirait que Marina Foïs , à chaque plan, vient de sortir du lit en s'étant levée du pied gauche .Bref , à fuir .
Franchement, la seule chose que je salue dans ce film ce sont les efforts de Gael García Bernal pour parler en français de temps en temps : il s'en sort sacrément bien ! Bien mieux que dans la Science des Rêves où Michel Gondry a eu la connerie de le faire jouer en anglais !
Sinon pour le reste, rien de nouveau sous le soleil et c'était assez décevant par pas mal d'aspects... Les dialogues manquent de spontanéité (trop écrits), d'autres scènes n'ont pas vraiment de sens et n'apportent rien (bagarre sur la plage par exemple) et puis bon, il faut se le dire, si Sarah (Marina Foïs) n'avait pas retrouvé l'odorat à la fin, elle aurait continuité à faire la tronche !
Sinon pour le reste, rien de nouveau sous le soleil et c'était assez décevant par pas mal d'aspects... Les dialogues manquent de spontanéité (trop écrits), d'autres scènes n'ont pas vraiment de sens et n'apportent rien (bagarre sur la plage par exemple) et puis bon, il faut se le dire, si Sarah (Marina Foïs) n'avait pas retrouvé l'odorat à la fin, elle aurait continuité à faire la tronche !
N° de visa : 146080
Depuis son triomphe en 2014 avec La Famille Bélier, Eric Lartigau ne nous avait proposé qu’un seul film, le très original #Je suis là avec le non moins sympathique Alain Chabat. Il nous revient avec ces 100 minutes de comédie dramatique ni pire ni meilleure que beaucoup d’autres sur le sujet de la préadolescence. Dune a 11 ans. Depuis toujours, chaque été, elle traverse la France avec ses parents pour passer les vacances dans leur vieille maison des Landes. Là-bas, Mathilde, 9 ans, l’attend de pied ferme. Une amitié sans failles. Mais cet été-là ne sera pas un été de plus. L’année dernière, Dune et ses parents ne sont pas venus. On ne lui a pas dit pourquoi mais elle sent que quelque chose a changé. Sa mère si distante, les disputes des parents, Mathilde qui tarde à grandir, l’odeur des pins entêtante, le sable qui n’est plus si doux, les films d’horreur ridicules, les amours des grands ados du coin, tout met Dune en alerte. Elle veut comprendre, savoir. Cet été-là Dune va grandir. Un film d’initiation qui sent le déjà-vu mais qui ne démérite pas. Dispensable.
Rien de nouveau côté scénario original, une denrée qui se fait rare. Ce film est en effet est tiré du roman graphique du même nom de Jillian et Mariko Tamaki, paru en 2014. Bon, disons-le tout net, on croûle littéralement sous les films sur la famille. Ce dernier avatar n’apporte rien de plus au genre sinon le portrait de 2 fillettes d’une dizaine d’années avec leurs doutes, leurs naïveté, leurs bouderies, leurs rires et leurs problèmes avec les parents. La nostalgie est au rendez-vous, mais pas l’originalité. On s’ennuie un peu – parfois plus -, aux mésaventures de ces deux gamines, drôles quand elles sont chipies, mais souvent bien encombrées de leur parcours initiatique sous le soleil des Landes. J’entends ici ou là que ce petit film est comparé à Un été 42… Il y a tout de même des limites à ne pas franchir ! Je m’en garderai bien.
Le duo Rose Pou Pellicer / Juliette Havelange, deux débutantes, fonctionne à merveille. Elles sont le moteur de cette histoire un tantinet lambda. Le couple des parents, Marina Foïs / Gaël Garcia-Bernal, est d’une grande justesse de ton. Ajoutons à ce casting les présences de Chiara Mastroianni et Angéla Molina, et vous aurez compris que ce n’est pas de ce côté que le film déçoit. C’est bien de celui du scénario qui raconte platement une histoire… plate, filmée le plus souvent par une caméra hystérique qui finit par fatiguer. Rien de déshonorant, mais il y a tellement mieux à voir sur nos écrans en ce mois de janvier…
Depuis son triomphe en 2014 avec La Famille Bélier, Eric Lartigau ne nous avait proposé qu’un seul film, le très original #Je suis là avec le non moins sympathique Alain Chabat. Il nous revient avec ces 100 minutes de comédie dramatique ni pire ni meilleure que beaucoup d’autres sur le sujet de la préadolescence. Dune a 11 ans. Depuis toujours, chaque été, elle traverse la France avec ses parents pour passer les vacances dans leur vieille maison des Landes. Là-bas, Mathilde, 9 ans, l’attend de pied ferme. Une amitié sans failles. Mais cet été-là ne sera pas un été de plus. L’année dernière, Dune et ses parents ne sont pas venus. On ne lui a pas dit pourquoi mais elle sent que quelque chose a changé. Sa mère si distante, les disputes des parents, Mathilde qui tarde à grandir, l’odeur des pins entêtante, le sable qui n’est plus si doux, les films d’horreur ridicules, les amours des grands ados du coin, tout met Dune en alerte. Elle veut comprendre, savoir. Cet été-là Dune va grandir. Un film d’initiation qui sent le déjà-vu mais qui ne démérite pas. Dispensable.
Rien de nouveau côté scénario original, une denrée qui se fait rare. Ce film est en effet est tiré du roman graphique du même nom de Jillian et Mariko Tamaki, paru en 2014. Bon, disons-le tout net, on croûle littéralement sous les films sur la famille. Ce dernier avatar n’apporte rien de plus au genre sinon le portrait de 2 fillettes d’une dizaine d’années avec leurs doutes, leurs naïveté, leurs bouderies, leurs rires et leurs problèmes avec les parents. La nostalgie est au rendez-vous, mais pas l’originalité. On s’ennuie un peu – parfois plus -, aux mésaventures de ces deux gamines, drôles quand elles sont chipies, mais souvent bien encombrées de leur parcours initiatique sous le soleil des Landes. J’entends ici ou là que ce petit film est comparé à Un été 42… Il y a tout de même des limites à ne pas franchir ! Je m’en garderai bien.
Le duo Rose Pou Pellicer / Juliette Havelange, deux débutantes, fonctionne à merveille. Elles sont le moteur de cette histoire un tantinet lambda. Le couple des parents, Marina Foïs / Gaël Garcia-Bernal, est d’une grande justesse de ton. Ajoutons à ce casting les présences de Chiara Mastroianni et Angéla Molina, et vous aurez compris que ce n’est pas de ce côté que le film déçoit. C’est bien de celui du scénario qui raconte platement une histoire… plate, filmée le plus souvent par une caméra hystérique qui finit par fatiguer. Rien de déshonorant, mais il y a tellement mieux à voir sur nos écrans en ce mois de janvier…
"Cet été-là" est un film que j'ai moyennement apprécié. L'histoire est sympa mais mal exploitée, certains dialogue sont gênants et un peu long à certains moments. Les acteurs ne sont pas tous convaincants, manquent un peu de dynamisme et parfois ce n'est pas très captivant.
Ce film est d’une beauté rare, reelement, les jeunes actrices sont superbe, tout les personnages sont absolument touchant et on ce prend réellement d’empathie pour eux, le scénario est d’une douceur mais aussi d’une légèreté ce qui pourrais déranger certain mais dans ce film, c’est entièrement réussi, magnifique film.
De plus, La région des landes y est magnifiquement mis à l’honneur.
De plus, La région des landes y est magnifiquement mis à l’honneur.
film gentillet sur l'adolescence.... et sur les adultes vus par leurs filles
je n'ai rien trouvé de fabuleux, ni les dialogues, ni le scénario (en fait il n'y en a pas !)
les gamines sont attachantes
je n'ai rien trouvé de fabuleux, ni les dialogues, ni le scénario (en fait il n'y en a pas !)
les gamines sont attachantes
Je suis déçue de m'être ennuyée car je m'attendais à un joli film tendre, drôle, poétique et plein de charme sur la fin de l'enfance.
Hélas, tout est vu et revu dans le scénario, les personnages sont des stéréotypes maintes fois abordés (la mère au bout du rouleau,le père fantasque, le jeune homme troublant, la fille enceinte délaissée, la grand mère extravagante , sa fille baba cool prof de yoga, le beau frère "beauf" etc)...
Rajoutons à cela un petit problème de casting (Le sexy Gabriel Garcia n'est pas très crédible en père de famille marié avec la revêche Marina Fois) et si les deux fillettes sont charmantes, elle ne sont pas toujours justes. Il faut dire qu'on leur a écrit des dialogues qui sonnent souvent très artificiels.
Bref, le genre de film qu'on peut regarder d'un oeil devant sa télévision, mais qui ne mérite pas le prix d'une place de cinéma.
Hélas, tout est vu et revu dans le scénario, les personnages sont des stéréotypes maintes fois abordés (la mère au bout du rouleau,le père fantasque, le jeune homme troublant, la fille enceinte délaissée, la grand mère extravagante , sa fille baba cool prof de yoga, le beau frère "beauf" etc)...
Rajoutons à cela un petit problème de casting (Le sexy Gabriel Garcia n'est pas très crédible en père de famille marié avec la revêche Marina Fois) et si les deux fillettes sont charmantes, elle ne sont pas toujours justes. Il faut dire qu'on leur a écrit des dialogues qui sonnent souvent très artificiels.
Bref, le genre de film qu'on peut regarder d'un oeil devant sa télévision, mais qui ne mérite pas le prix d'une place de cinéma.
Film fade, sans saveur, pas d'histoire , pas de développement , ennuyeux ...Des gens sont sortis au 3/4 du film, pas étonnant.. .J'ai lutté sur mon siège pour voir la fin... Le film ne démarre jamais vraiment...C'est ma 1ère critique de film, je vois environ 200 films par an au cinéma, là, je me suis vraiment emmerdé...
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