Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Closer
par J.B.
C’est réussi, lumineux et empreint d’une douce nostalgie.
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan
Preuve que le cinéma populaire peut parfois viser juste et laisser simplement l’émotion gagner notre échine sans en indiquer artificiellement le chemin.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
En s’inspirant d’une BD japonaise, en plaçant sa caméra à hauteur d’écolières en congé, Lartigau a réussi son Été 42.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ouest France
par La Rédaction
Une sensibilité espiègle et majestueuse.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un très joli film d'apprentissage.
Télé 2 semaines
par P.C.
Ce passage à la préadolescence est une grande réussite, pleine de sensibilité et de finesse. La mise en scène est remarquable.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
On est charmé par l'impertinence des deux copines et par une mise en scène « bousculée» par les images qui forment le journal intime de Dune. C'est la très belle idée du film.
Télé Loisirs
par P.C.
Ce passage à la préadolescence est une réussite, tout en sensibilité et en finesse.
L'Obs
par Sophie Grassin
Eric Lartigau adapte un roman graphique de Mariko et Jillian Tamaki et livre un récit initiatique sur la perte de l’innocence. Un de plus, serait-on tenté d’écrire, si la description sensible d’un âge où on se croit indispensable aux autres et l’allant des répliques et Rose Pou Pellicer (réelle présence) ne nous incitaient à l’indulgence.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un récit touchant et empathique qui doit aussi beaucoup à la justesse de ses interprètes : aux côtés des convaincants Marina Foïs et Gael García Bernal, les jeunes comédiennes jouent leurs partitions sans fausse note.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Avec son image ensoleillée et son beau casting, « Cet été-là » convoque immanquablement des souvenirs et des sensations de l’enfance qui s’achève.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Une chronique initiatique et familiale touchante, qui aborde plusieurs thématiques : le passage à l’adolescence, l’impact d’une fausse couche sur un couple... Un long métrage contemplatif, au rythme narratif toutefois un peu trop mou.
Première
par Thierry Chèze
Une chronique estivale au charme fou.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Guillemette Odicino
Le film assume un tempo et une lumière poudrée de vacances hors du temps — cet été 2019 pourrait, tout autant, se dérouler en 1989 — et sent l’océan, les secrets, et la fin de l’enfance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Valentine Guégan
Cet été-là délaisse pourtant cette matière scénaristique attendue pour adopter une forme libre, en phase avec les errances estivales de Dune que ses parents surveillent peu, confiants dans la vie conviviale du village. [...] Le pari du titre de saisir la singularité d’un moment décisif est tenu avec une louable simplicité.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
À Juliette Havelange (Mathilde) et surtout à Rose Pou-Pellicer (Dune) revient le plus difficile : interpréter des fillettes aux répliques trop écrites, trop artificielles pour que ce récit estival prenne chair et que sa traversée nous touche.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Positif
par Bernard Génin
À l’écran, le vrai sujet [...] est à peine effleuré, noyé dans une foule de « petits riens » qui font trouver le temps long. Éric Lartigau n’a pas retrouvé le punch de sa Famille Bélier.
Closer
C’est réussi, lumineux et empreint d’une douce nostalgie.
La Septième Obsession
Preuve que le cinéma populaire peut parfois viser juste et laisser simplement l’émotion gagner notre échine sans en indiquer artificiellement le chemin.
Le Figaro
En s’inspirant d’une BD japonaise, en plaçant sa caméra à hauteur d’écolières en congé, Lartigau a réussi son Été 42.
Ouest France
Une sensibilité espiègle et majestueuse.
Sud Ouest
Un très joli film d'apprentissage.
Télé 2 semaines
Ce passage à la préadolescence est une grande réussite, pleine de sensibilité et de finesse. La mise en scène est remarquable.
Télé 7 Jours
On est charmé par l'impertinence des deux copines et par une mise en scène « bousculée» par les images qui forment le journal intime de Dune. C'est la très belle idée du film.
Télé Loisirs
Ce passage à la préadolescence est une réussite, tout en sensibilité et en finesse.
L'Obs
Eric Lartigau adapte un roman graphique de Mariko et Jillian Tamaki et livre un récit initiatique sur la perte de l’innocence. Un de plus, serait-on tenté d’écrire, si la description sensible d’un âge où on se croit indispensable aux autres et l’allant des répliques et Rose Pou Pellicer (réelle présence) ne nous incitaient à l’indulgence.
Le Journal du Dimanche
Un récit touchant et empathique qui doit aussi beaucoup à la justesse de ses interprètes : aux côtés des convaincants Marina Foïs et Gael García Bernal, les jeunes comédiennes jouent leurs partitions sans fausse note.
Le Parisien
Avec son image ensoleillée et son beau casting, « Cet été-là » convoque immanquablement des souvenirs et des sensations de l’enfance qui s’achève.
Les Fiches du Cinéma
Une chronique initiatique et familiale touchante, qui aborde plusieurs thématiques : le passage à l’adolescence, l’impact d’une fausse couche sur un couple... Un long métrage contemplatif, au rythme narratif toutefois un peu trop mou.
Première
Une chronique estivale au charme fou.
Télérama
Le film assume un tempo et une lumière poudrée de vacances hors du temps — cet été 2019 pourrait, tout autant, se dérouler en 1989 — et sent l’océan, les secrets, et la fin de l’enfance.
Cahiers du Cinéma
Cet été-là délaisse pourtant cette matière scénaristique attendue pour adopter une forme libre, en phase avec les errances estivales de Dune que ses parents surveillent peu, confiants dans la vie conviviale du village. [...] Le pari du titre de saisir la singularité d’un moment décisif est tenu avec une louable simplicité.
La Croix
À Juliette Havelange (Mathilde) et surtout à Rose Pou-Pellicer (Dune) revient le plus difficile : interpréter des fillettes aux répliques trop écrites, trop artificielles pour que ce récit estival prenne chair et que sa traversée nous touche.
Positif
À l’écran, le vrai sujet [...] est à peine effleuré, noyé dans une foule de « petits riens » qui font trouver le temps long. Éric Lartigau n’a pas retrouvé le punch de sa Famille Bélier.