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    The Innocents
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    3,4
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    146 critiques spectateurs

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    Hugo G
    Hugo G

    2 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 février 2022
    Je ne comprends vraiment pas l'intérêt de ce film..... certes les enfants jouent bien, mais le film n'a pas d'âme.... aucune histoire, aucune intrigue, aucun attachement aux personnages. Et quelle violence ! De plus elle est gratuite, sûr et part des enfants, sans jamais comprendre son intérêt.
    Acidus
    Acidus

    718 abonnés 3 709 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 août 2022
    "The innocents" a raflé un bon nombre deux prix dont deux au Festival du film fantastique de Gérardmer. De quoi attiser ma curiosité d'autant plus que les scandinaves (ici des norvégiens) pondent souvent des films relativement atypiques dans le genre.


    Là encore l'originalité est à l'oeuvre. Si l'histoire débute comme comme un énième film de super-héros version "jeunes enfants", la bascule se fait rapidement vers un aspect horrifique. L'accent est davantage mis sur l'ambiance et sur les interactions atypiques entre les jeunes protagonistes que sur l'action et le sensationnalisme. Le but est de mettre mal à l'aise le spectateur et c'est réussi.


    En plus d'une écriture tout en subtilité, la réalisation y est soignée et les jeunes acteurs investis. Un cinéma de qualité qui fait du bien.
    Cinememories
    Cinememories

    482 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 février 2022
    Très souvent indissociable de Joachim Trier (Julie (en 12 chapitres), Thelma, Oslo, 31 août), le scénariste Eskil Vogt semble mieux se tenir derrière la caméra, depuis son « Blind ». De Cannes à Gérardmer, sa dernière œuvre fascine autant qu’il glace le sang. C’est un rendez-vous au détour d’un mélange de genres que le cinéaste norvégien nous propose, où le microcosme de la cour de récréation cohabite subtilement avec celle des adultes. Mais ne nous y trompons pas, ce seront bien les enfants qui seront au commandement et c’est peu dire. Ces âmes « innocentes » n’est qu’une enveloppe factice en réalité, rapprochant cette observation aux super-héros des studios Hollywoodiens, mais en ne choisissant pas la voie pratique. Les costumes moulants et autres abus d’effets spéciaux superposés au placard, vive les vacances d’été.

    Alors qu’une famille déménage dans un quartier populaire pour vraisemblablement avoir plus de contrôle sur le quotidien des enfants, nous découvrons la cadette, Ida (Rakel Lenora Fløttum), mortifère jusque dans un élan de violence qu’elle ne contrôle pas. Mais au-delà de son comportement naïf et sans recul sur la souffrance qu’elle pourrait générer, sa sœur ainée se tient là, toujours proche d’elle, mais qui sonne comme le fardeau de toute sa tragédie. Anna (Alva Brynsmo Ramstad) est autiste et manque de lui voler la vedette auprès d’éventuels nouveaux amis, dans un lieu qu’elle découvre finalement avec hostilité. La peur des grands blocs de HLM et les plans qui changent les repères d’espaces alimentent une tension imprévisible, qui peut virer à de la violence crue comme psychologique à tout moment. On pense sans doute inconsciemment au « Chronicle » de Josh Trank dans la construction, mais la subtilité sera présente pour bien s’élever au-dessus de cette œuvre adolescente.

    Nous nous trouvons à l’aube de ce segment de vie, où les émotions implosent au cœur des relations familiales ou de groupe. La découverte de pouvoirs télékinésiques et télépathiques nous renverraient presque aux mutants des X-Men. Et ce film partage bien son caractère d’étude sociale à travers le tourment diabolique, d’enfants qui testent leurs limites et qui réagissent à l’instinct. La force du récit vient ainsi de ces jeunes interprètes, formidables et qui arrivent à cultiver une écoute soutenue pour Aisha (Mina Yasmin Bremseth Asheim) et de la colère pour Ben (Sam Ashraf). Tout cela découle bien sur de la distance qui les sépare des parents, absents ou effondrés sous la tâche et la pression de leur monde à eux. Pourtant, ces jeunes en font partie et sont conscients, c’est sans doute une première approche de cette relecture horrifique, car tout se passe dans une réalité froide et similaire aux enjeux du quotidien.

    La mise en scène joue sur ces angles morts, dans l’ombre des ténèbres et sous la lumière d’une journée estivale scandinave. Vogt tient son pari sensoriel, peut-être un peu trop juste dans son dernier film. Mais avec « The Innocents » (De uskyldige), il laisse à peine planer le doute sur le malaise et la terreur, qu’il emploie avec autant de force qu’une pichenette. Ce qui compte dans ces jeux d’enfants, c’est cette part de liberté qu’on leur laisse, qu’ils soient aptes ou non à confronter leur conflit par eux-mêmes. Le réalisateur signe ainsi un récit teinté d’une sororité qui gagne à se réconcilier avec ces forces qui les surclasses, leurs pouvoirs bien sûr, mais également tout ce qu’il y a de plus inéluctable, comme des maladies et des peurs, à l’instant où ils commenceront enfin à sortir de ce cercle de violence.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    313 abonnés 2 969 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 31 juillet 2022
    Un drame fantastique scandinave à l'ambiance énigmatique. L'intrigue se joue entre une poignée d'enfants dont les parents se voient à l'écart, occupés à leur vie d'adultes. Mais cette histoire reste anecdotique, la tension et le rythme sont faibles, l'ennui prend vite le dessus.
    marsu
    marsu

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 mars 2022
    Simple exercice de style malsain et prétentieux. Un scénario indigent, espèront que les enfants soient sortis indemnes moralement du tournage.
    Lolo
    Lolo

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 février 2022
    Digne de la pire des histoires de Stephen King ! ET tellement bien interprété à l'écran par ces 4 gamins ! Le suspense et la tension vont crescendo. Presque épuisant ! Je ne m'attendais pas à autant de nuance(s) (sur la seule base de la bande annonce), et pas non plus à une telle tension. Âmes sensibles s'abstenir.
    Bryce
    Bryce

    2 abonnés 94 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 août 2022
    Film ennuyeux totalement inutile. Ça traîne en longueur, c’est cheap et la sieste nous guette régulièrement. Évitez à tout prix la VF qui est catastrophique.
    Pascal Grignon
    Pascal Grignon

    3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 février 2022
    Nul de la cruauté gratuite, l'humain (se qu'il en reste) dans ce qu'il a de plus monstrueux, pas d'histoire, qu'elle intérêt de faire voir autant de cruauté, comme si le monde en avait pas assez comme ça.
    Hannelaure Charioux
    Hannelaure Charioux

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 août 2022
    Sous prétexte d'une philosophie à 2 balles, et une étude psychologique de bas étage, arrêtez d'encenser ce film ! Des lenteurs qui n'apportent rien au film, et une cruauté gratuite envers un pauvre chat ! Je ne comprends pas pourquoi certaines scènes n'ont pas été coupées ! Nullissime !
    vivelesguepards
    vivelesguepards

    7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 février 2022
    Super film ! incroyable ! des sensations fortes pour ceux qui aiment l'adrénaline. Les plans sont très biens conçus, le suspense perdure tout le film, on ne sait pas à quoi s'attendre et quel sens va prendre le film. Le fait que ça touche aux enfants le rend encore plus prenant.
    Jorik V
    Jorik V

    1 269 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 mai 2022
    Si vous avez vu la très bonne série B « Chronicle » ou l’un des plus mauvais films de la saga X-Men avec des jeunes mutants (« Les Nouveaux mutants ») et bien le résumé de « The Innocents » risque de vous parler puisqu’on y parle également de jeunes dotés de pouvoirs peu communs (télékinésie, télépathie, ...). Sauf qu’ici, si le sujet a beau être semblable, le traitement, le contexte et les directions prises n’ont strictement rien à voir. On est dans du fantastique scandinave pur et dur, loin du déluge d’effet spéciaux hollywoodien, mais davantage versé dans un certain contemplatif et surtout préférant la suggestion que l’excès d’explications. Et cela à tous niveaux sans pour autant que cela ait une connotation négative, bien au contraire. Ce qui, dès le départ, apporte également une valeur ajoutée à ce postulat quelque peu déjà vu, c’est bien que les innocents du titre soient des enfants, des bambins d’à peine dix ans, loin des adolescents des films cités plus haut.

    « The Innocents » a fait sa petite sensation à Cannes l’an passé dans la section Un Certain Regard et au Festival du film fantastique de Gérardmer en récoltant la plupart des principales récompenses. Et c’est amplement mérité pour ce second film de Eskil Vogt après « Blind : un rêve éveillé ». Mérité aussi bien par sa puissance visuelle que par sa force narrative et son pouvoir de suggestion. De la même manière, avec très peu de dialogues, le film en dit beaucoup par des gestes et des regards. S’il n’atteint pas non plus les cimes de la perfection, c’est principalement la faute à une durée trop généreuse (deux heures alors qu’une heure et demie aurait largement suffi) couplé à un rythme parfois monotone. Et comme le cœur de l’intrigue est plutôt léger, le film est parfois à la limite de tourner en rond, alors qu’avec une durée plus raisonnable, il y a fort à parier que le résultat aurait été tout aussi réussi voire plus.

    On le sait, diriger des enfants n’est pas une mince affaire. Alors réaliser une œuvre avec uniquement ceux-ci comme acteurs principaux est une gageure. Et Vogt s’en tire avec les honneurs tant sa bande d’enfants joue juste et vrai. Et la petite actrice principale en est l’exemple le plus frappant, une vraie petite comédienne en devenir. Grâce à eux, ces jeux d’enfants que des capacités hors du commun rendent de plus en plus dangereux, deviennent stressants. Le climat est anxiogène, on sent que tout peut basculer d’un moment à l’autre. On n’en saura pas plus sur l’origine de ces pouvoirs, ni la signification de certaines choses et c’est tant mieux, c’est le propre du fantastique. Cela n’empêche nullement le film d’être bon. Il est peut-être juste un peu moins accessible que la plupart des productions actuelles du genre mais il ne sombre pas pour autant dans le film d’auteur chiant (mais il aurait pu). Le duel final est un exemple parfait de maîtrise de l’espace, du temps et des moyens. Une véritable leçon de mise en scène, qui en impose avec rien mais qui débouche sur du grand art. Cette plongée clinique, effrayante et d’un ascétisme visuel calculé dans le monde des enfants vaut le coup d’œil.

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    QuelquesFilms.fr
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    268 abonnés 1 639 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 février 2022
    Le film emprunte son titre (The Innocents) et l’un de ses thèmes (l’enfance maléfique) au chef-d’œuvre de Jack Clayton, avec Deborah Kerr, Michael Redgrave (1961). Il fait également penser au roman La Nuit des enfants rois, de Bernard Lenteric, pour ce qui est des pouvoirs surnaturels des enfants (télékinésie, télépathie…) et des violences qu’ils génèrent. Un bon contexte référentiel pour ce récit qui débute comme une chronique réaliste, se déploie dans un registre fantastique, avant de basculer dans l’épouvante. La première moitié du film, consacrée à la présentation des personnages principaux et à la découverte de leurs pouvoirs, est un peu longuette et répétitive, mais elle jette un trouble sur des jeux d’enfants où se mêlent cruauté et empathie, loin de toute considération morale. La seconde moitié est plus tendue, effrayante et impressionnante, même si plus classique dans son opposition du bien et du mal. Le réalisateur Eskil Vogt (plus connu jusque-là comme scénariste des films de Joachim Trier) ménage un crescendo efficace dans l’expression des rapports de force. L’ensemble n’est peut-être qu’un exercice de style, gratuit dans le fond, mais il témoigne d’une maîtrise – habilement minimaliste – qui culmine dans la séquence finale autour du lac, dont la mise en scène comporte quelques éléments assez géniaux.
    2985
    2985

    248 abonnés 1 035 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 juillet 2022
    Recevant deux prix au festival fantastique de Gérardmer, The innocent pourrait de prime abord passer pour un sous Chronicle. Toutefois celui-ci va être beaucoup plus subtil et insidieux que ce dernier, prenant le temps de développer plus ses personnages et la montée en puissances de leurs pouvoirs. Malheureusement ce qu'il gagne en profondeur d'écriture il le perd en longueurs parfois inutile ayant tendance à faire du surplace sur sa fin. De bonnes scènes de tensions un casting plutôt correctes mais des problèmes de rythme ternisse un peu l'ensemble.
    Guillaume
    Guillaume

    112 abonnés 1 579 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 août 2022
    Une atmosphère nordique, un polar à la nuance glaciale, "The Innocents" ne renie pas ses origines.
    Une bande-son omniprésente - pour entretenir la tension - et une écriture linéaire désenchantent l'enthousiasme pour ce cinéma à la fois mystique et dérangeant.
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    138 abonnés 2 418 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 avril 2022
    Un film fantastique captivant de bout en bout avec des enfants qui jouent la comédie à la perfection.
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