AlloCiné
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Votre avis sur The Innocents ?
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Ce film est une énorme claque, une leçon de cinéma. Vu en avant première je ne m'attendais pas à être autant bouleversé, renversé par un telle proposition de cinéma. Amateur d actions ou effets spéciaux sur fond vert passez votre chemin ce film mise tous sur la mise en scène qui est d'une sobriété incroyable. Tous les enfants sont parfaits et livrent une excellente performance. L année ne fait que commencer mais j'ose parié qu'on a déjà trouver le meilleur film de 2022 ! Un chef d'œuvre !
Le cinéma norvégien frappe fort avec ce nouveau film de genre.
L'histoire d'un groupe d'enfants solitaires se "connectant" entre eux grâce à leurs pouvoirs naissants...pour le meilleur comme pour le pire. Et l'occasion pour une fille de se reconnecter à sa grande sœur autiste.
Œuvre empruntant au récit super-héroïque et basculant peu-à-peu dans le drame et l'horreur, le film est surtout l'occasion de décortiquer l'enfance et ses multiples facettes (ses angoisses, ses cauchemars et ses espoirs) et de montrer que celle-ci peut s'avérer touchante comme effrayante, compatissante comme cruelle.
Un film pouvant se rapprocher du suédois «Morse» par certaines de ses thématiques, implacable dans son déroulé, sobre dans sa mise en scène, et étreint d'une tension crescendo qui ne nous relâche plus tout du long.
L'un des sommets de ce début d'année sur des "innocents" pas si innocents que ça.
L'histoire d'un groupe d'enfants solitaires se "connectant" entre eux grâce à leurs pouvoirs naissants...pour le meilleur comme pour le pire. Et l'occasion pour une fille de se reconnecter à sa grande sœur autiste.
Œuvre empruntant au récit super-héroïque et basculant peu-à-peu dans le drame et l'horreur, le film est surtout l'occasion de décortiquer l'enfance et ses multiples facettes (ses angoisses, ses cauchemars et ses espoirs) et de montrer que celle-ci peut s'avérer touchante comme effrayante, compatissante comme cruelle.
Un film pouvant se rapprocher du suédois «Morse» par certaines de ses thématiques, implacable dans son déroulé, sobre dans sa mise en scène, et étreint d'une tension crescendo qui ne nous relâche plus tout du long.
L'un des sommets de ce début d'année sur des "innocents" pas si innocents que ça.
Comme en littérature de genre, l'Europe du nord a comme son pré-carré dans le champs du fantastique au cinéma. Morse avait ouvert le bal il y a de nombreuses années. Posant les références d'écriture, faites de retenue, de minimalisme, pour un fantastique totalement encré dans le réel. Un fantastique envisagé comme normalité, une autre normalité, sans jamais donner à voir au spectateur un spectacle, de l'extra-ordinaire. On retrouve tous ces éléments dans The Innocents qui honore cet héritage avec une belle maitrise.
Je ne supporte pas les scènes de cruauté sur les animaux, de plus on ne sait pas comment ils sont traités sur les tournages. J'ai essayé de rester mais (c'est une première pour moi) suis
sortie de la salle au bout de 30mn de ce film indigeste et froid (une autre personne est partie aussi) et dont les ficelles ont l'air bien grosses. C'est un peu comme les gamins du film de Haneke, le ruban blanc, qui auraient les pouvoirs de Carrie (de Palma ou King).
Voilà j'ai créé un compte allo ciné pour informer de cela, non ce film n'est pas un chef d'œuvre et ces enfants sont devenus vite des étrangers pour moi, l'autiste n'est pas celle qu'on croit.
sortie de la salle au bout de 30mn de ce film indigeste et froid (une autre personne est partie aussi) et dont les ficelles ont l'air bien grosses. C'est un peu comme les gamins du film de Haneke, le ruban blanc, qui auraient les pouvoirs de Carrie (de Palma ou King).
Voilà j'ai créé un compte allo ciné pour informer de cela, non ce film n'est pas un chef d'œuvre et ces enfants sont devenus vite des étrangers pour moi, l'autiste n'est pas celle qu'on croit.
ffred
Le thème me disait bien, l’affiche était intrigante et on a souvent de bonnes surprise en provenance de Scandinavie. Mes espérances on bien été justifiées. Techniquement le film est très superbe, mise en scène minimaliste de Eskil Vogt (co-scénariste de Joachim Trier), belle photographie. L’interprétation des enfants est très convaincante, ils sont tous étonnants. L’intérêt réside surtout dans le scénario, où rien ne nous est expliqué, et dans l’histoire. Tour à tour étrange et troublante, pour devenir de plus en plus lourde, dérangeante et finalement terrible. On pense à Morse ou à It comes at night. Au final, un film captivant, aussi angoissant que fascinant. Une réussite.
L'encensement de ce genre de film semble réservé aux cinéphiles prétentieux qui pensent que certains ne comprennent que les films d'action sur fond vert.
Ce film est lent, ça n'est pas un problème en soit quand les lenteurs expriment et mettent en scène une histoire, une ambiance et un ressenti. Les lenteurs ici sont inutiles et n'apportent pas grand chose.
La cruauté envers les animaux m'a énormément déranger dans ce film, difficile de croire vu le budget que ces scènes n'ont pas réellement été tournées d'ailleurs.
Un film indigeste et artistiquement prétentieux dont on ne retirera rien à la sortie de la salle à part peut être du dégoût.
Ce film est lent, ça n'est pas un problème en soit quand les lenteurs expriment et mettent en scène une histoire, une ambiance et un ressenti. Les lenteurs ici sont inutiles et n'apportent pas grand chose.
La cruauté envers les animaux m'a énormément déranger dans ce film, difficile de croire vu le budget que ces scènes n'ont pas réellement été tournées d'ailleurs.
Un film indigeste et artistiquement prétentieux dont on ne retirera rien à la sortie de la salle à part peut être du dégoût.
Impossible de rester plus de 30 minutes dans la salle de cinéma. Histoire associée aux enfants et aux animaux en plus... insurmontable après la scène du chat. Montrer une telle cruauté tombe dans le malsain/glauque à mon goût.
Je ne comprends pas l'engouement autour de ce film, pourtant primé au festival international du film fantastique de Gérardmer. Le réalisateur méprise ses personnages, la violence est totalement gratuite pendant presque 2h. Très déçue...
Non, non et non !
Dès les premières minutes, on nous inflige de la cruauté gratuite et une violence dégueulasse fasse à un animal innocent. C'est juste pourri d'imposer cette acte criminel et gerbant.
Ca m'a juste donné envie de gerber et j'ai quitté la salle. Je ne veux pas cautionner ce genre d'attitude.
Je me demande si les gamins qui ont tourné ce film sont sortis intacts du tournage.
Bref, je ne saurais pas si la suite valait le coup, mais pas moyen de supporter ce début de film pervers et ultra malsain.
Dès les premières minutes, on nous inflige de la cruauté gratuite et une violence dégueulasse fasse à un animal innocent. C'est juste pourri d'imposer cette acte criminel et gerbant.
Ca m'a juste donné envie de gerber et j'ai quitté la salle. Je ne veux pas cautionner ce genre d'attitude.
Je me demande si les gamins qui ont tourné ce film sont sortis intacts du tournage.
Bref, je ne saurais pas si la suite valait le coup, mais pas moyen de supporter ce début de film pervers et ultra malsain.
Quatre enfants se rencontrent pendant les vacances. Ida et Anna sont deux jeunes sœurs. Anna atteinte d’autisme va se lier avec Aisha, fille unique et qui elle la comprend et échange avec elle. Ben lui aussi seul tente d’attirer l’attention de ses nouveaux amis. Il s’amuse à diriger les humains à distance avec perversité et cruauté. Les drames s’enchaînent durant les vacances dans ce quartier tranquille où l’étrange devient la norme pour la bande d’enfants. L’image de ce film est absolument sublime, la réalisation est ultra soignée. Puissant, fort. Un thriller palpitant et angoissant.
Waaoouuu.... j' en ai vu du film, des centaines et des centaines, du bon à du relativement mauvais mais concernant celui ci, je m' attendais pas du tout à ca, vu sa note (d' ailleurs ne pas se fier aux notes d' allociné, les gens ont des gouts très très bizares)
Film vraiment très mauvais, très très long, je m' y suis accroché tant bien que mal en espérant que... en vain. Platonique comme jamais vu. Histoire ayant ni queue ni tête....
Un début (avec le chat) qui pourrait donner de mauvaises idées à des enfants...
Bref, quasi 2h de perdues... à fuir !
Film vraiment très mauvais, très très long, je m' y suis accroché tant bien que mal en espérant que... en vain. Platonique comme jamais vu. Histoire ayant ni queue ni tête....
Un début (avec le chat) qui pourrait donner de mauvaises idées à des enfants...
Bref, quasi 2h de perdues... à fuir !
Un film d'une beauté et d'une subtilité incroyable. Durant l'été, des enfants n'ayant pu partir en vacances flânent dans leur cité et se découvrent des pouvoirs. Sur la base de ce synopsis, le film arrive avec très peu de moyens à nous faire ressentir toute l'intensité de ce qui se joue. Pas de profusion d'effets, les pouvoirs restent très subtils, et ne sont qu'une métaphore des difficultés de communication que rencontrent tous ces enfants (fils/fille d’immigrés, nouvelle arrivante dans une cité inconnue ou atteinte d'autisme...). Un vrai bijou de mise en scène, et un jeu implacable des enfants.
Je partais avec un bon apriori concernant le premier film de de Eskil Vogt, scénariste de Joachim Trier pour le film Thelma notamment. Malheureusement à l’arrivée c’est une grosse déception que ce récit fantastique qui se déroule dans une petite cité HLM en Norvège à la lisière de la forêt.
Durant les vacances d’été, trois filles et un garçons, un peu désœuvrés, se découvrent tout à coup des super pouvoirs de télékinésie notamment. Très vite, ils s’amusent avec ces pouvoirs surnaturels de manière complètement idiote jusqu’à ce que se crée des tensions entre les quatre enfants.
Un film de 2h00 très très long, sans véritable scénario qui peine à captiver, se montrant vite répétitif, ne suscitant pour ma part aucune émotion particulière, aucune tension, aucun malaise tant tout parait artificiel et abscond, linéaire et prévisible dans son déroulement avec des actes de violence gratuits qui se succèdent et où la dimension fantastique du film est finalement peu exploitée.
Un film minimaliste, intéressant dans sa forme, mais sans grande finesse, avec quelques scènes même bien lourdes comme celle du chat ou de la mère. Un film vite vu, vite oublié.
Je partais avec un bon apriori concernant le premier film de de Eskil Vogt, scénariste de Joachim Trier pour le film Thelma notamment. Malheureusement à l’arrivée c’est une grosse déception que ce récit fantastique qui se déroule dans une petite cité HLM en Norvège à la lisière de la forêt.
Durant les vacances d’été, trois filles et un garçons, un peu désœuvrés, se découvrent tout à coup des super pouvoirs de télékinésie notamment. Très vite, ils s’amusent avec ces pouvoirs surnaturels de manière complètement idiote jusqu’à ce que se crée des tensions entre les quatre enfants.
Un film de 2h00 très très long, sans véritable scénario qui peine à captiver, se montrant vite répétitif, ne suscitant pour ma part aucune émotion particulière, aucune tension, aucun malaise tant tout parait artificiel et abscond, linéaire et prévisible dans son déroulement avec des actes de violence gratuits qui se succèdent et où la dimension fantastique du film est finalement peu exploitée.
Un film minimaliste, intéressant dans sa forme, mais sans grande finesse, avec quelques scènes même bien lourdes comme celle du chat ou de la mère. Un film vite vu, vite oublié.
Durant les vacances d’été, trois filles et un garçons, un peu désœuvrés, se découvrent tout à coup des super pouvoirs de télékinésie notamment. Très vite, ils s’amusent avec ces pouvoirs surnaturels de manière complètement idiote jusqu’à ce que se crée des tensions entre les quatre enfants.
Un film de 2h00 très très long, sans véritable scénario qui peine à captiver, se montrant vite répétitif, ne suscitant pour ma part aucune émotion particulière, aucune tension, aucun malaise tant tout parait artificiel et abscond, linéaire et prévisible dans son déroulement avec des actes de violence gratuits qui se succèdent et où la dimension fantastique du film est finalement peu exploitée.
Un film minimaliste, intéressant dans sa forme, mais sans grande finesse, avec quelques scènes même bien lourdes comme celle du chat ou de la mère. Un film vite vu, vite oublié.
Je partais avec un bon apriori concernant le premier film de de Eskil Vogt, scénariste de Joachim Trier pour le film Thelma notamment. Malheureusement à l’arrivée c’est une grosse déception que ce récit fantastique qui se déroule dans une petite cité HLM en Norvège à la lisière de la forêt.
Durant les vacances d’été, trois filles et un garçons, un peu désœuvrés, se découvrent tout à coup des super pouvoirs de télékinésie notamment. Très vite, ils s’amusent avec ces pouvoirs surnaturels de manière complètement idiote jusqu’à ce que se crée des tensions entre les quatre enfants.
Un film de 2h00 très très long, sans véritable scénario qui peine à captiver, se montrant vite répétitif, ne suscitant pour ma part aucune émotion particulière, aucune tension, aucun malaise tant tout parait artificiel et abscond, linéaire et prévisible dans son déroulement avec des actes de violence gratuits qui se succèdent et où la dimension fantastique du film est finalement peu exploitée.
Un film minimaliste, intéressant dans sa forme, mais sans grande finesse, avec quelques scènes même bien lourdes comme celle du chat ou de la mère. Un film vite vu, vite oublié.
Quel est le propos de ce film? Généraliser la cruauté primale des enfants? Vulgariser certaines théories scientifiques pédo-psychiatriques? Ou simplement un film bêtement angoissant!
La bande des quatre est de tous les instants : les enfants acteurs sont formidables. Pourvu qu'ils n'aient pas été traumatisés d'avoir joué des scènes malsaines!
La bande des quatre est de tous les instants : les enfants acteurs sont formidables. Pourvu qu'ils n'aient pas été traumatisés d'avoir joué des scènes malsaines!
Le jeune Ben est à première vue un enfant tout à fait ordinaire- peut-être un peu plus cruel que la moyenne- mais il ne faut surtout pas le contrarier... On vous laisse découvrir pourquoi dans ce fort réussi petit film fantastique scandinave. Il parvient remarquablement à installer peu à peu un climat d'angoisse dans la résidence au milieu des bois où vivent les jeunes héros du film, unis par un lien particulier et formant un monde clos opaque aux adultes...
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