Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Une étude rêche et sans complaisance de l'enfance à travers le prisme d'un fantastique empruntant aux récits super-héroïques. Sorte de rejeton de La Nuit des enfants rois et "Incassable"...
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Grand film magique sur les petits cauchemars de l'enfance, et donc de la vie, The Innocents est une merveille qui sonde les ténèbres pour mieux y retrouver un peu de lumière.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Venu de Norvège et signé Eskil Vogt, un film angoissant, déroutant, troublant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par La Rédaction
Une éblouissante réussite à mettre notamment à l’actif des impressionnants jeunes comédiens, dont le talent crève déjà l’écran.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par François Cau
The Innocents tend pour tout dire vers une forme de perfection, qui pourrait intimider si elle servait un récit rugueux et didactique, comme le laissaient augurer les précédents tentatives du metteur en scène derrière la caméra. Fort heureusement, grâce aux sujets abordés et à leur approche sensible, il n'en est rien. Le cinéaste trouve dans l'exploration de l'enfance, de ses joies et de ses troubles, l'épiphanie qu'il lui fallait.
Ouest France
par Thierry Chèze
Une réussite totale.
Première
par Sylvestre Picard
C’est un vrai drame de l’enfance aux dimensions épiques, aussi excitantes et terrifiantes que ce que votre imagination prépubère pouvait faire surgir de l’ombre d’un arbre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par D.B.
Un film magistralement maîtrisé qui captive et impressionne.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Fascinant et anxiogène, The Innocents est une petite merveille d’horreur qui tient son spectateur en haleine du début à la fin.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
The Innocents, au titre ironique, en fait une démonstration glaçante, laissant le public dans un état de sidération constituant un critère solide pour identifier un excellent film.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Culturopoing.com
par Audrey Jeamart
« The Innocents » gagne en ampleur et en profondeur dans la durée et questionne à la juste distance, naviguant entre la chronique enfantine et le thriller psychologique, en passant par le drame surnaturel.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Femme Actuelle
par La Rédaction
Le décor feutré, la modernité du ton et l'économie des effets visuels donnent un résultat prenant.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ce cinéma sans artifice évident, retenu et conforme à l’image de la société scandinave est une alternative rafraîchissante à une tradition un peu pesante. La ligne claire appliquée au thriller, en quelque sorte.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Consacré au festival de Gérardmer, le réalisateur norvégien réussit, avec The Innocents , une fable surnaturelle mettant en scène des enfants doués de pouvoirs inquiétants.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le Norvégien Eskil Vogt impressionne par sa maîtrise, au service d'un propos aussi singulier que pertinent quand il dénonce la violence de groupe dans une atmosphère digne du Village des Damnés (1995), de Carpenter.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Un étrange récit brillamment mis en scène, entre chronique intimiste et conte fantastique au bord de l’épouvante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Philippe Rouyer
C’est le film le plus effrayant que j’ai vu depuis plusieurs années. Sans doute parce qu’avant d’être un film d’horreur, c’est un film sur l’enfance.
Rolling Stone
par Samuel Regnard
En établissant une tension constante et une certaine idée de la violence, The Innocents captive et ne laissera personne de marbre.
Télérama
par Jacques Morice
D’où un crescendo aussi haletant que terrifiant. Il y a quelque chose de glaçant et de beau à la fois dans ce film lumineux, qui n’est jamais spectaculaire, qui vise toujours une forme de rigueur sobre en intériorisant la tension, concentrée dans une pure force mentale.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Ecran Fantastique
par Jean-Pierre Andrevon
La double originalité de ce métrage, qui baigne dans le calme solaire d’une petite cité nordique en été, est d’une part de ne donner aucune explication à ces pouvoirs, mais surtout à conserver un regard froid sur cette bande des quatre qui forment une véritable gestalt et pose une question primordiale inversant les données de la phrase fameuse de Spider-Man : « Des pouvoirs exceptionnels imposent des responsabilités exceptionnelles ».
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un conte noir, mis en scène dans un univers anxiogène où le cinéaste ménage ses effets et fait croître une tension dérangeante. Il oublie seulement d’étoffer son scénario.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jean-François Rauger
L'alliage d'irrationnel et de réalisme social est particulièrement réussi grâce à une progression dramatique implacable et riche en surprises.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Scénariste des films de Joachim Trier, Eskil Vogt réalise un film d'horreur qui met en scène l'enfance. Extrêmement bien filmé, « The Innocents » ne dévie jamais d'un unique principe : l'escalade de la cruauté. Un long-métrage terrifiant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Sud Ouest
par Sophie Avon
Eskil Vogt qui a co-scénarisé les films de Joachim Trier, signe avec ce deuxième long-métrage, une œuvre aussi délicate que terrifiante.
Cahiers du Cinéma
par Valentine Guégan
(...) Le film ajoute une lecture essentialiste de « l’innocence » : êtres opaques et impénétrables, passant du rire machiavélique aux larmes compatissantes sans savoir distinguer le bien du mal, l’enfance précède la question morale ainsi placée hors jeu.
Critikat.com
par Josué Morel
L’apparente retenue du film et son refus du spectaculaire se couplent avec une tension émoussée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Camille Nevers
Enième variation autour des enfants monstrueux, le film d’Eskil Vogt ne propose qu’une horreur sans aspérités.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
The Innocents devient alors un fourre-tout théorique où tous les commentaires s’empilent et annulent le précédent, quitte au final à ne plus dire grand-chose.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
CinemaTeaser
Une étude rêche et sans complaisance de l'enfance à travers le prisme d'un fantastique empruntant aux récits super-héroïques. Sorte de rejeton de La Nuit des enfants rois et "Incassable"...
Ecran Large
Grand film magique sur les petits cauchemars de l'enfance, et donc de la vie, The Innocents est une merveille qui sonde les ténèbres pour mieux y retrouver un peu de lumière.
La Voix du Nord
Venu de Norvège et signé Eskil Vogt, un film angoissant, déroutant, troublant.
Le Parisien
Une éblouissante réussite à mettre notamment à l’actif des impressionnants jeunes comédiens, dont le talent crève déjà l’écran.
Mad Movies
The Innocents tend pour tout dire vers une forme de perfection, qui pourrait intimider si elle servait un récit rugueux et didactique, comme le laissaient augurer les précédents tentatives du metteur en scène derrière la caméra. Fort heureusement, grâce aux sujets abordés et à leur approche sensible, il n'en est rien. Le cinéaste trouve dans l'exploration de l'enfance, de ses joies et de ses troubles, l'épiphanie qu'il lui fallait.
Ouest France
Une réussite totale.
Première
C’est un vrai drame de l’enfance aux dimensions épiques, aussi excitantes et terrifiantes que ce que votre imagination prépubère pouvait faire surgir de l’ombre d’un arbre.
Voici
Un film magistralement maîtrisé qui captive et impressionne.
aVoir-aLire.com
Fascinant et anxiogène, The Innocents est une petite merveille d’horreur qui tient son spectateur en haleine du début à la fin.
20 Minutes
The Innocents, au titre ironique, en fait une démonstration glaçante, laissant le public dans un état de sidération constituant un critère solide pour identifier un excellent film.
Culturopoing.com
« The Innocents » gagne en ampleur et en profondeur dans la durée et questionne à la juste distance, naviguant entre la chronique enfantine et le thriller psychologique, en passant par le drame surnaturel.
Femme Actuelle
Le décor feutré, la modernité du ton et l'économie des effets visuels donnent un résultat prenant.
L'Humanité
Ce cinéma sans artifice évident, retenu et conforme à l’image de la société scandinave est une alternative rafraîchissante à une tradition un peu pesante. La ligne claire appliquée au thriller, en quelque sorte.
Le Figaro
Consacré au festival de Gérardmer, le réalisateur norvégien réussit, avec The Innocents , une fable surnaturelle mettant en scène des enfants doués de pouvoirs inquiétants.
Le Journal du Dimanche
Le Norvégien Eskil Vogt impressionne par sa maîtrise, au service d'un propos aussi singulier que pertinent quand il dénonce la violence de groupe dans une atmosphère digne du Village des Damnés (1995), de Carpenter.
Les Fiches du Cinéma
Un étrange récit brillamment mis en scène, entre chronique intimiste et conte fantastique au bord de l’épouvante.
Positif
C’est le film le plus effrayant que j’ai vu depuis plusieurs années. Sans doute parce qu’avant d’être un film d’horreur, c’est un film sur l’enfance.
Rolling Stone
En établissant une tension constante et une certaine idée de la violence, The Innocents captive et ne laissera personne de marbre.
Télérama
D’où un crescendo aussi haletant que terrifiant. Il y a quelque chose de glaçant et de beau à la fois dans ce film lumineux, qui n’est jamais spectaculaire, qui vise toujours une forme de rigueur sobre en intériorisant la tension, concentrée dans une pure force mentale.
L'Ecran Fantastique
La double originalité de ce métrage, qui baigne dans le calme solaire d’une petite cité nordique en été, est d’une part de ne donner aucune explication à ces pouvoirs, mais surtout à conserver un regard froid sur cette bande des quatre qui forment une véritable gestalt et pose une question primordiale inversant les données de la phrase fameuse de Spider-Man : « Des pouvoirs exceptionnels imposent des responsabilités exceptionnelles ».
L'Obs
Un conte noir, mis en scène dans un univers anxiogène où le cinéaste ménage ses effets et fait croître une tension dérangeante. Il oublie seulement d’étoffer son scénario.
Le Monde
L'alliage d'irrationnel et de réalisme social est particulièrement réussi grâce à une progression dramatique implacable et riche en surprises.
Les Echos
Scénariste des films de Joachim Trier, Eskil Vogt réalise un film d'horreur qui met en scène l'enfance. Extrêmement bien filmé, « The Innocents » ne dévie jamais d'un unique principe : l'escalade de la cruauté. Un long-métrage terrifiant.
Sud Ouest
Eskil Vogt qui a co-scénarisé les films de Joachim Trier, signe avec ce deuxième long-métrage, une œuvre aussi délicate que terrifiante.
Cahiers du Cinéma
(...) Le film ajoute une lecture essentialiste de « l’innocence » : êtres opaques et impénétrables, passant du rire machiavélique aux larmes compatissantes sans savoir distinguer le bien du mal, l’enfance précède la question morale ainsi placée hors jeu.
Critikat.com
L’apparente retenue du film et son refus du spectaculaire se couplent avec une tension émoussée.
Libération
Enième variation autour des enfants monstrueux, le film d’Eskil Vogt ne propose qu’une horreur sans aspérités.
Les Inrockuptibles
The Innocents devient alors un fourre-tout théorique où tous les commentaires s’empilent et annulent le précédent, quitte au final à ne plus dire grand-chose.