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landofshit0
274 abonnés
1 745 critiques
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0,5
Publiée le 26 avril 2012
Vouloir a tout prix de l'originalité de ton n'est pas une chose qu'il faut faire en forcement son écriture.Et ici tout est lamentablement écrit et mis en scène.Si le ridicule ne tue pas il peut stopper net une carrière.
Il est malheureusement impossible de ne mettre aucune étoile à un film, sinon, croyez bien que c'est le sort que j'aurais réservé à ce navet innommable. Blanche ne mérite même pas l'énergie nécessaire pour en dire du mal.
Je suis allé le voir volontairement, ayant trouvé les deux premiers films de Bernie Bonvoisin excellents. Mais là, franchement, j'y réfléchirai à deux fois s'il arrive à en sortir un nouveau. Malgré d'excellents acteurs, les dialogues gâchent le film.
Surprise pour un film français, bien filmé, de l'action, un humour presque Mel Brooks par moment. Mais presque gore et gratuitement vulgaire par ailleurs. Une sorte de film de cape et d'épée revisité Scarface. La musique de Bernie ne sauve rien. Antisocial tu perds ton talent.
Drôle, décalé, parfois loufoque, ce film est à prendre au 2nd degré. L'ensemble est correct sauf Miss Doillon qui s'accage le film par son mauvais talent et ses récitations à tout va! Dommage!
Un film historique raté. C'est même pas divertissant. Je cherche ce genre de film avec une héroine qui serait mieux que celui là mais en fait j'en voit pas un qui rattrape l'autre lol
C'est du grand n'importe quoi. L'histoire est bordélique. ça n'est pas du niveau de "Ridicule" mais on atteint parfois des sommets. Mention spéciale à Jean Rochefort et Carole Bouquet.
Bernie Bonvoisin s’essaye au cinéma en cape et d’épées plongé dans une aventure au XVIIe siècle dans laquelle Blanche de Perrone va s’opposer à un Mazarin qui trempe dans un étrange trafic de poudre du diable avec le Vatican. Le décors est planté dans un monde où «la peine d’exister était si grande que la peine de punir était impitoyable», la comédie aventureuse égaye par ses sournoiseries et son aspect presque ubuesque où la couardise n’a pas lieu d’être et la fanfaronnade y est de mise pour pétiller de surprises. Dans une distribution hors pair où même Depardieu vient faire le d’Artagnan le temps d’une bagarre à la joute oratoire, certes moins élaborée que dans Cyrano de Bergerac, aux vulgarités incomparables dont on sait depuis que l’histoire en était pleine ; Bonvoisin se paye une tranche récréative dans un roman d’aventure quelque peu surréaliste. De l’auberge «Tracetarace» à la milice rapprochée de Mazarin – Jean Rochefort le joue, comme à l’accoutumée, dans une irréprochable vérité – chapeautée par un dénommé KKK, Antoine de Caunes pour le rôle au look de samouraï parachuté à la cour du roi ; l’histoire tient suffisamment en haleine par une ingénieuse succession des situations plus surprenantes les unes que les autres. Cape et d’épées, et de coups de boule faudrait-il rajouter, Sir !
Film sans grande envirfure avec un scenario plat et pauvre en intrigue. Mais bon le but de ce film n'était pas de nous faire vibré ou rêver avec une belle histoire, mais plutôt de nous attiré en salle avec un Très bon casting. Mais c pardonnable; tout leur budjet est passer dans le cachets dans acteur en négligeant les scénaristes. Une étoile pour l'effort qu'on du entreprendre les producteurs afin de convaincre de si bons acteur dans un navet.
pour son troisieme long-metrage, et dernier, pour l'instant, Bernie Bonvoisin voit un peu plus grand que pour ses deux précédents, un casting plus grand et plus ambitieux avec notament Antoine De Caunes, Jean Rochefort, Carole Bouquet et Gerard Depardieu, donc c'est pas rien ! On est malheureusement pas assez dans l'ambiance du moyen-age, les costumes et les décors sont bons, mais les dialogues sont trop mitigés entre cette époque et la notre, c'est assez dommage. le scenario est bon également, malheureusement on ne rit pas suffisament comparé aux autres films du réalisateur, il perd tout de ma même quelques qualités qu'il aurait pu avoir, le film reste tres bon avec notament un aspect triste plus recherché. Le film reste potable, mais décevant.
Film complètement loufoque, et un peu lourdingue. Dommage. Les acteurs semblent livrés à eux mêmes, le mode de tournage ainsi que le maniement de la langue française rappellent certes les vieux films de cape et d'épée, mais d'aussi loin que arthur rappelle Thierry Lhermitte dans le dîner de cons.
Surement la pire chose filmée de l'histoire de l'univers, Blanche a définitivement grillé Bonvoisin du monde du cinéma aussi vite qu'il y est apparu. Et en voyant la bête on comprend comment cela est possible. En dépit de toute forme de respect narratif, les acteurs vont et viennent sans raisons apparentes (mention spéciale à Depardieu) au milieu d'un maelström de non-sens et de mauvais goût probablement dut à la cocaïnomanie du réalisateur et à ses mauvais souvenirs de cours d'histoires à l'école primaire. Alternant sans complaisance les scènes de mauvais gout avec les scènes de non-goût et les scènes de très mauvais goût (dans l'ordre : la pendaison de Dominique Besneard, toute les scènes de combat et toutes les scènes avec José Garcia), Bonvoisin a, semble-t-il, lancé un concours sur le tournage intitulé "Le cabotin de l'année". J'ignore exactement quel fût le premier prix mais c'était probablement une chose que Jean Rochefort et Carole Bouquet désiraient par dessus tout. Antoine de Caunes et Lou Doillon par contre étaient disqualifiés d'office des suite d'un jeu d'acteur proche d'une amibe qui discuterait avec une huitre morte. L'intrigue maintenant, il s'agit donc d'une fille tellement énervante qu'aucun adjectif qualificatif ne saurait la décrire, enamourée d'un Roshdy Zem tout en cuir, suivant des péripéties absconses qui mélangent pelle-mêle la fronde, l'esclavage, Louis XIV, la cocaïne, les identité cachées, le langage banlieusard de 1960, la sodomie, la traite des blanches, les sectes (?) et plein d'autre trucs qui vont pas ensemble. Blanche perd rapidement l'attention du spectateur qui ne se réveille que pour voir avec horreur ce machin s'enfoncer encore plus dans la fange de la nullité. Jusqu'au final, climax de la bêtise, le combat de la justice contre le mal : Lou Doillon Vs Jean Rochefort (putain ça en jette) et une conclusion tellement naze que je ne pourrais la décrire correctement même avec 10 000 mots. "Blanche ! Blanche ! Quel film à la con !"
Quel ennui ! Quelle catastrophe ! Même les effets d'anachromisme n'attirent pas l'attention. On se demande ce que Jean Rochefort et Carole Bouquet sont venus faire dans ce navet même s'ils sont les deux seuls acteurs qui tirent leur épingle du jeu. Ce n'est pas ce genre de nullités qui va redonner du souffle au cinéma français.