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    Compartiment N°6
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    3,8
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    153 critiques spectateurs

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    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    138 abonnés 2 418 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 avril 2022
    On assiste à une belle rencontre, pas gagnée d'avance mais agréable à suivre ; notamment grâce à une bonne interprétation.
    Fred M.
    Fred M.

    8 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 avril 2022
    Un film existentiel sur les rapports humains loin du téléphone portable ou certains regardent n’importe quoi tellement leur vie est vide et sans buts.un film sur le voyage la traverser les sentiments entre 2 personnes différentes.se film nous montre à quel point c’est nous qui mettons de la vie autour de nous .le bonheur n’est pas dans le décor .ce film donne envie de voyage ,d’aventure de rencontre.un film rare et émouvant.
    brunocinoche
    brunocinoche

    91 abonnés 1 102 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 avril 2022
    Le cinéaste finlandais filme dans un train la rencontre de deux êtres que tout semble séparer.
    Sans surprise, les 2 protagonistes vont apprendre à se connaitre et à combler leur solitude réciproque au cours de ce voyage.
    Sans surprise, oui, mais avec beaucoup de charme, un charme d'abord dû à deux acteurs attachants, toujours justes.
    Sans grande surprise sur le fond, mais sur la forme, le cinéaste s'en tire très bien: tourner essentiellement dans un train et même dans un compartiment ne l'a pas empêché de donner un rythme vif à son récit. Bel exploit.
    Cmoi P.
    Cmoi P.

    5 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 avril 2022
    trop lent et pas intéressant je ne comprends pas les bonnes notes , tellement mou que j'ai fini par m'endormir, peut-être le jeu d'acteurs , non même pas ils sont agaçants.
    Ciné-13
    Ciné-13

    118 abonnés 1 070 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 avril 2022
    Elle est paumée, Finlandaise, et veut voir absolument des pétroglyphes du bout du monde, sans préparation aucune dans l'hiver arctique. Il est vulgaire, Russe, bad boy sans travail, tourmenté à l'extrême mais plein d'humanité.

    La Russie est pauvre. Les trains sont miteux, bondés et le personnel rude et désenchanté.
    Mourmansk est restée célèbre par l'épisode des sous-marins nucléaires en décrépitude, menaçant d'une catastrophe environnementale.
    Je garderai en mémoire ce garçon hypnotique, tellement tourmenté, mais qui a gardé une âme d'enfant. Au bout de la route, ils s'amuseront comme des gamins dans le blizzard.
    C'est une fable hors du temps et de la société! Mais quelle sinistrose...
    maxime ...
    maxime ...

    240 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 avril 2022
    Hytti Nro 6 est un film pour lequel je m'embrouille, j'ai un mal fou à mettre mes idées dans l'ordre et je me disperse complètement à cet instant pour écrire cette critique. C'est qu'il y'a de quoi dire.

    Avant d'orchestré sa rencontre et le voyage en train, c'est belle et bien le portrait de cette jeune femme qui se dessine sous nos yeux, et pas n'importe lequel. Celui qui exprime un mal-être sous jacent, qui transpire de partout mais qui à force d'habitude et de convenance est retenue par un jeu de masque machinale. De ce fait, Laura, le personnage titre, deviens une figure de style à elle seule et retiens toute nos attentions. Seidi Haarla est d'une justesse folle et désarmante, une des raisons du trouble qui m'empêche de concrétisé mes pensées à l'écris je pense.

    Le film ensuite embarque sur la voie tel que la bande annonce le démontre. Procédé que je ne peux m'empecher d'utiliser lorsque je vais en salle et que je m'interdit dans d'autres circonstances, mais néanmoins, je l'avoue celle-ci est réussit et n'en dis pas trop. Le film sur ce point ne révolutionne rien. La rencontre entre deux êtres que tout opposent à évidemment été traité au Cinéma, en vrac comme çà, me vienne Lady and the Tramp, Una Giornata Particolare ou encore plus récemment Green Book. Là-dessus l'étendard de la diversité, de l'échange et du culte de la différence est brandit et je le reconnais volontiers, qu'au fond, à ce jeu, je n'en tire pas grand chose ... Non pas pour des raisons inversé, loin de là, mais tout simplement pour moi le film traite d'un autre sujet. La solitude et la douleur de cette dernière.

    J'avoue que la seconde partie du film, en gros pour chiffré sa dernière heure ma nettement plus enthousiasmé. Là ou la manigance disparais pour vraiment réunir ses deux âmes en peines et confronté le mal qui les rongent. Libre à chacun.e.s de voir ce qu'il l'entend, mais en ce qui me concerne, si ce film m'a fait sourire c'est bien car il ne chasse pas ses démons, il ne les abandonnent pas non plus, il les embrassent et en cela traque toute fausse idée du bonheur factice et facile. On régurgite l'embellie du vivre ensemble pour une vrai indulgence au détriment de la tolérance de verre prôné dans les bons cercles.

    C'est avec un large sourire que s'achemine ce parcours, un de ce qui viens de loin, du tréfond de nos entrailles et qui rayonne non plus pour brisé la grisaille mais pour entrevoir ce qui s'y cache là-dessous. J'en oublierai presque avec tout cela de souligné les interprètes, Youri Borrisov et sa ganache de gentil brigand surtout. La photographie et le cadre nous font aussi vivre des moments intenses. La caméra est à l'image du film, juste et forte. L'esthétique de Juho Kuosmanen raconte l'histoire à travers ses décisions dans le champ, mais aussi en dehors. C'est ces passages les plus intimistes et les plus sobres qui touchent toutefois à la perfection.

    Je ne peux finir autrement que sur cette citation : " Haista Vittu " !
    Bmr Mam
    Bmr Mam

    8 abonnés 83 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 mars 2023
    😊 Très beau moment de cinéma que le voyage auquel nous invite le finlandais Juho Kuosmanen dans le "Compartiment n° 6" du train qui relie Moscou à Mourmansk.
    Une jeune finlandaise un peu paumée fuit sa vie agitée d'intellectuelle moscovite et se retrouve avec pour voisin de couchette, un rustre russe au crâne rasé qui picole et éructe.
    Voilà, c'est tout, deux acteurs et rien d'autre dans le scénario.
    💖 C'est tout mais avec deux acteurs plus vrais que nature (le russe Yuriy Borisov est extraordinairement expressif alors qu'il ne ronchonne que quelques mots de ci de là) et avec tout le charme d'un beau moment de cinéma qui nous fait partager le trajet de ces deux-là qui pendant quelques jours et quelques nuits (c'est lent un train russe) vont se côtoyer dans la promiscuité confinée de leur compartiment (c'est sale un train russe).
    Bien sûr, ils nous semblaient aussi éloignés l'un de l'autre que possible mais forcément, ils vont se rapprocher peu à peu comme les rails des voies de chemin de fer, et apprendre à s'apprécier.
    Et nous, apprendre à les connaître, ces deux beaux personnages.
    On apprendra aussi à dire "je t'aime" (ou presque) en finlandais.
    On apprendra aussi qu'il est possible de donner une seconde vie au vieux tube "Voyage, voyage" de Desireless (fin des années 80) car on le sait, ce qui importe n'est pas la destination mais le voyage : le film a toute cette sagesse qu'a oubliée notre époque.
    [...] Sur le Gange ou l'Amazone
    Chez les blacks, chez les sikhs, chez les jaunes
    Voyage, voyage
    Dans tout le royaume
    Sur les dunes du Sahara
    Des îles Fidji au Fujiyama
    Voyage, voyage
    Ne t'arrêtes pas ...
    AMADEUS 48
    AMADEUS 48

    5 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mars 2022
    “Compartiment n°6” nous entraîne dans un voyage onirique à bord d’un train au fin fond de la Russie. C’est un film avec un sujet simple et des personnages étonnants qui dépayse sans artifice. Une étudiante finlandaise, qui veut se rendre sur un site archéologique sur la mer baltique, va devoir partager sa voiture-couchette avec Ljoha, un Russe grossier, alcoolique. Ces deux êtres que tout oppose vont petit à petit se rapprocher, se découvrir et se dévoiler l’un à l’autre.
    Le voyage cauchemardesque se transforme peu à peu en une échappée sentimentale et touchante, un instant de vérité dans un huis clos qui paradoxalement donne aux personnages l'occasion de vivre une une parenthèse de vérité et de liberté.
    Pour moi, ce film est un pur moment de poésie.
    Anna Belmudes
    Anna Belmudes

    1 abonné 11 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 février 2022
    C’est un film lent, quasi documentariste qui invite à la contemplation et à l’introspection, une ode à la simplicité et à l’incertitude délicate de la vie où le hasard d’une rencontre aussi bouleversante qu’éphémère transcende les frontières culturelles et sociales.
    Philippe T
    Philippe T

    27 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 février 2022
    Magnifique surprise. On est pris d'un bout à l'autre dans cette expérience cinématographique qui nous place dans une capsule spatio temporelle interessante. Un "Antonioni" dans l'arctique des années 90 à découvrir
    Jean-Marc P.
    Jean-Marc P.

    32 abonnés 128 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 janvier 2022
    Aux sources du voyage, le hasard des rencontres compte plus que la destination à atteindre, l'inattendu dépassé parfois de loin ce qu'on avait prévu.
    Jorik V
    Jorik V

    1 271 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 janvier 2022
    On a parfois vraiment du mal à comprendre les jurys des grands festivals et leurs prix. Mais cette année, c’est vraiment flagrant bien que tout cela reste très subjectif et propre à chacun et que la politique s’invite parfois dans les palmarès. Hormis la Mostra de Venise qui a couronné à raison l’excellent « L’Évènement », les deux autres grands festivals européens nous ont laissé dubitatifs. En effet, l’Ours d’or de Berlin a été remis à l’horrible et désagréable « Bad luck banging or loony porn », censé être un miroir de notre époque (!). Quant au Festival de Cannes il a accouché d’un palmarès incohérent pour beaucoup mais pas forcément incompréhensible, vu le peu de qualité de la sélection de cette année. Disons que certaines des récompenses (dont la Palme d’or au très original film de genre « Titane ») ont surpris voire déçus dans les grandes lignes. Mais si le film de Julia Ducornau n’avait certes pas la carrure pour la récompense suprême, il restait une proposition de cinéma radicale et intéressante. En revanche de donner le Grand Prix du Jury à « Compartiment numéro 6 » fait partie de ces étrangetés. Ce n’est pas un mauvais film ou un film raté mais disons qu’il est plutôt insignifiant et que la sélection avait bien plus probant pour un tel prix (le choc social et comique « La Fracture » par exemple). Pour être moins sévère, on peut dire que cette œuvre russo-finlandaise ne casse pas trois pattes à un canard et qu’on peut facilement passer à côté de sa poésie revendiquée ou de son souffle romanesque.



    Un train. Deux inconnus. Une rencontre dans un contexte polaire. Et voilà rien de plus au programme. On connaît la chanson et ce film ne la transcende pas. On ne peut cependant nier qu’il y a des moments de grâce fugaces dans « Compartiment numéro 6 ». Mais ils sont plutôt rares. On pense notamment à la toute fin, vraiment sublime et peut-être le plus beau moment du film. Et on apprécie aussi le contexte rare dans lequel se déroule le film. Difficile de le marquer dans le temps (on suppose les années 90) mais l’espace est plus concret. Ce road-movie ferroviaire n’est pas son originalité première même si les films à bord d’un train sont plutôt rares. Non, c’est son contexte géographique qui frappe le plus la rétine. Les étendues glaciales du nord de la Russie sont si peu vues au cinéma qu’il s’en dégage un certain charme. On pense au très bon film, russe justement, « Leviathan » qui prenait place il y a huit ans dans ces contrées désolées mais en été. On peut aussi dire que l’interprétation du duo amoureux est de très bonne facture. Cependant si on enlève ces petites choses, il ne reste pas vraiment d’autres qualités à se mettre sous la dent. Le peu de péripéties qu’il y a ne passionne pas. C’est anecdotique et tout cela se traîne, on trouve vite le temps long. On pense que cela va se réveiller dans le dernier quart, hors du train, mais c’est pire. « Compartiment numéro 6 » ne bénéficie pas non plus d’une mise en scène mémorable et le tout s’avère très austère. C’est un film anodin dont la poésie ou les sentiments dévoilés nous sont passés totalement à côté. Pas proprement désagréable mais totalement dispensable.



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    Raphael S
    Raphael S

    12 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 janvier 2022
    Film âpre plutôt original dans le sujet et l'approche (caméra à l'épaule) même si la poésie peine à exister alors qu'elle y a toute sa place et qu'on la pensait reine.
    cinono1
    cinono1

    301 abonnés 2 055 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 janvier 2022
    Tout est fluide dans ce film un peu trop anecdotique mais d'où émane un charme discret. L'inconfort des voyages, dans une Russie réfrigérée, où les rencontres n'ont pas le glamour d'Hollywood, mais ont les traits d'un russe rustre de premier abord, mais sensible et au cœur d'artichaut. Ça se regarde avec plaisir mais cela manque un peu de fièvre
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    63 abonnés 773 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 janvier 2022
    Le chemin de fer de Moscou à Mourmansk longe la frontière de la Finlande avant d'atteindre le port enneigé à longueur d'année. Dans les années 90, les trains sont lents, et le thé percole sous l'œil de la plantureuse contrôleuse du wagon des seconde classe. Dans un huis-clos filmé de près vont se télescoper le russe Lyoha et la finlandaise Laura, tel le feu et la glace. Une histoire simple de rencontre, servi pas deux jeunes acteurs brut de décoffrage, dans ce train-movie dans lequel ils rêvent du Titanic, en s'efforçant de ne pas couler dans ce pays glauque et glacé. Les hommes boivent, les femmes trinquent. Un joli film d'ambiance, de non-dits, de peuples qui essayent de s'apprivoiser.
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