Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
"Nuit noire en Anatolie" porte bien son titre, voyage terrifiant dans les recoins les plus obscurs de l’âme humaine, réquisitoire sans illusions de la responsabilité collective d’une poignée d’homme violents et ignorants.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Mohamed Berkani
Puissant et efficace.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un drame sociétal dans la campagne turque qui, au-delà de sa problématique morale, séduit par son rapport pictural au paysage.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Véronique Bergen
Un film éblouissant.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Özcan Alper explore les noirceurs de la Turquie rurale et la puissance de destruction de son intolérance. Une vision glaçante, impressionnante par sa manière de poser ses cadres, avec sa cinématographie impeccable de thriller psychologique tout en tension et malaise. L'acteur Berkay Ates, dans sa solitude et sa dévastation, est un personnage d'une force dramatique sans faille, jusqu'à la dernière image.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un récit subtil qui ne manque pas de relief.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Entre western et film noir, le réalisateur turc Ozcan Alper nous entraîne dans l'histoire d'un crime brutal. Un film désespéré sur la nature humaine et fasciné par les paysages d'Anatolie.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Sous forme d’enquête policière, Özcan Alper livre un film aussi amer que cruel sur la haine que libère un régime autoritaire.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Entre thriller et pamphlet politique, le cinéaste turc Özcan Alper signe un film dérangeant sur son pays en proie à l’oppression et à l’intolérance. À découvrir séance tenante.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par La Rédaction
Un film prenant sur la masculinité toxique à la As Bestas.
Télérama
par Hélène Marzolf
Un film sensible entre crime et quête intérieure.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Thomas Bonicel
En révélant lentement ses secrets, Nuit noire en Anatolie détricote son apparence de drame académique en lorgnant vers le polar et le western. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par François Forestier
Resserré, le film aurait atteint sa cible. Tel quel, il s’émousse, c’est dommage.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Positif
par La rédaction
Le propos sociopolitique est d'un pessimisme sans appel. Les lueurs d'espoir [...] sont vite oblitérées par la noirceur quelque peu systématique du propos.
Première
par Emma Poesy
Le cinéaste pose un regard cru sur ces territoires reculés et brumeux desquels personne ne part ni ne vient. Ces enclaves où la différence est une tare, où l'obscurantisme et les réflexes virils font loi.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Si le récit de "Nuit noire…", alternant passé et présent, se révèle plutôt convenu, notamment parce que son mystère fondateur sert un sous-texte trop lisible, l’intérêt du film réside dans la seule figure de son protagoniste, sobrement incarné par Berkay Ateş.
Critikat.com
par Robin Vaz
La fragmentation du récit en flashbacks peine ici à rendre compte de cette mécanique complexe de marginalisation et produit plutôt une succession de vignettes caricaturales.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Laura Tuillier
Saucissonné entre flash-backs explicatifs et scènes du présent qui insistent assez lourdement sur la mine défaite d’Ishak, le film semble prisonnier d’un scénario assez peu passionnant [...] et bâcle sa résolution, sacrifiant ceux qui auraient pu être de beaux personnages si on les avait laissés davantage exister.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Le réalisateur turc Özcan Alper ne fait pas dans la demi-mesure pour nous raconter la face sombre et homophobe de la société patriarcale de son pays. Soit un film extrêmement programmatique, qui prend les oripeaux du thriller pour une démonstration implacable.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Culturopoing.com
"Nuit noire en Anatolie" porte bien son titre, voyage terrifiant dans les recoins les plus obscurs de l’âme humaine, réquisitoire sans illusions de la responsabilité collective d’une poignée d’homme violents et ignorants.
Franceinfo Culture
Puissant et efficace.
L'Humanité
Un drame sociétal dans la campagne turque qui, au-delà de sa problématique morale, séduit par son rapport pictural au paysage.
La Septième Obsession
Un film éblouissant.
Le Dauphiné Libéré
Özcan Alper explore les noirceurs de la Turquie rurale et la puissance de destruction de son intolérance. Une vision glaçante, impressionnante par sa manière de poser ses cadres, avec sa cinématographie impeccable de thriller psychologique tout en tension et malaise. L'acteur Berkay Ates, dans sa solitude et sa dévastation, est un personnage d'une force dramatique sans faille, jusqu'à la dernière image.
Le Journal du Dimanche
Un récit subtil qui ne manque pas de relief.
Les Echos
Entre western et film noir, le réalisateur turc Ozcan Alper nous entraîne dans l'histoire d'un crime brutal. Un film désespéré sur la nature humaine et fasciné par les paysages d'Anatolie.
Les Fiches du Cinéma
Sous forme d’enquête policière, Özcan Alper livre un film aussi amer que cruel sur la haine que libère un régime autoritaire.
Marianne
Entre thriller et pamphlet politique, le cinéaste turc Özcan Alper signe un film dérangeant sur son pays en proie à l’oppression et à l’intolérance. À découvrir séance tenante.
Ouest France
Un film prenant sur la masculinité toxique à la As Bestas.
Télérama
Un film sensible entre crime et quête intérieure.
aVoir-aLire.com
En révélant lentement ses secrets, Nuit noire en Anatolie détricote son apparence de drame académique en lorgnant vers le polar et le western. Une réussite.
L'Obs
Resserré, le film aurait atteint sa cible. Tel quel, il s’émousse, c’est dommage.
Positif
Le propos sociopolitique est d'un pessimisme sans appel. Les lueurs d'espoir [...] sont vite oblitérées par la noirceur quelque peu systématique du propos.
Première
Le cinéaste pose un regard cru sur ces territoires reculés et brumeux desquels personne ne part ni ne vient. Ces enclaves où la différence est une tare, où l'obscurantisme et les réflexes virils font loi.
Transfuge
Si le récit de "Nuit noire…", alternant passé et présent, se révèle plutôt convenu, notamment parce que son mystère fondateur sert un sous-texte trop lisible, l’intérêt du film réside dans la seule figure de son protagoniste, sobrement incarné par Berkay Ateş.
Critikat.com
La fragmentation du récit en flashbacks peine ici à rendre compte de cette mécanique complexe de marginalisation et produit plutôt une succession de vignettes caricaturales.
Libération
Saucissonné entre flash-backs explicatifs et scènes du présent qui insistent assez lourdement sur la mine défaite d’Ishak, le film semble prisonnier d’un scénario assez peu passionnant [...] et bâcle sa résolution, sacrifiant ceux qui auraient pu être de beaux personnages si on les avait laissés davantage exister.
Paris Match
Le réalisateur turc Özcan Alper ne fait pas dans la demi-mesure pour nous raconter la face sombre et homophobe de la société patriarcale de son pays. Soit un film extrêmement programmatique, qui prend les oripeaux du thriller pour une démonstration implacable.