Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Le Parisien
par La Rédaction
Glaçante, très bien ficelée, l’intrigue brosse aussi, en creux, un portrait saisissant de la société iranienne.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ecran Large
par Antoine Desrues
Marché noir prouve que le cinéma iranien connaît actuellement un état de grâce à travers le polar. Le film d'Abbas Amini est un labyrinthe cauchemardesque prenant, peut-être imparfait, mais bourré d'envies.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce polar sur la culpabilité mise sur son scénario original et sa photographie magnifique, écrin dans lequel explose l'acteur Amirhosein Fathi.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un polar édifiant et tendu sur une face méconnue de l’Iran.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Yannick Vely
Puissant.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Denitza Bantcheva
Ce film à suspense au scénario ingénieux et à la mise en scène au cordeau implique une forte critique sociale qui se double d’un discours sur les générations : celle des parents, impuissante, corrompue ou criminelle ; celle des jeunes adultes, pour qui tout n’est pas encore perdu, ne serait-ce que parce qu’ils conservent un certain sens moral.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Le film d’Abbas Amini est un labyrinthe complexe et haletant, où l’Iran, dévasté par l’inflation, constitue la figure première de ce récit noir.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
A côté de l’implacable « la Loi de Téhéran », cet autre polar iranien primé lui aussi au Festival du Film policier de Reims fait pâle figure. La mise en scène y est plus lâche, la photo, terne, l’interprétation, inégale. Reste la peinture d’une société corrompue où chacun s’arrange comme il peut avec la morale pour survivre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Etienne Sorin
Après Panahi, Rassoulof ou Farhadi, le réalisateur Abbas Amini confirme la vitalité et la qualité du cinéma iranien.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
De prime à bord, Marché noir n'a rien à envier à La Loi de Téhéran sur le plan du rentre-dedans.
Première
par Thierry Chèze
Le puzzle, d’une noirceur étouffante, est mené sans temps mort. Des premiers pas emballants.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Vincent Poli
Les quelques respirations du récit n'empêchent pas que l'on ressorte écrasé sous le poids d'un trop grand conformisme, à l'image de cette course-poursuite conventionnelle qui clôture le film et n'a pour seul intérêt que de prévenir tout débordement du récit.
Le Parisien
Glaçante, très bien ficelée, l’intrigue brosse aussi, en creux, un portrait saisissant de la société iranienne.
Ecran Large
Marché noir prouve que le cinéma iranien connaît actuellement un état de grâce à travers le polar. Le film d'Abbas Amini est un labyrinthe cauchemardesque prenant, peut-être imparfait, mais bourré d'envies.
Le Journal du Dimanche
Ce polar sur la culpabilité mise sur son scénario original et sa photographie magnifique, écrin dans lequel explose l'acteur Amirhosein Fathi.
Les Fiches du Cinéma
Un polar édifiant et tendu sur une face méconnue de l’Iran.
Paris Match
Puissant.
Positif
Ce film à suspense au scénario ingénieux et à la mise en scène au cordeau implique une forte critique sociale qui se double d’un discours sur les générations : celle des parents, impuissante, corrompue ou criminelle ; celle des jeunes adultes, pour qui tout n’est pas encore perdu, ne serait-ce que parce qu’ils conservent un certain sens moral.
aVoir-aLire.com
Le film d’Abbas Amini est un labyrinthe complexe et haletant, où l’Iran, dévasté par l’inflation, constitue la figure première de ce récit noir.
L'Obs
A côté de l’implacable « la Loi de Téhéran », cet autre polar iranien primé lui aussi au Festival du Film policier de Reims fait pâle figure. La mise en scène y est plus lâche, la photo, terne, l’interprétation, inégale. Reste la peinture d’une société corrompue où chacun s’arrange comme il peut avec la morale pour survivre.
Le Figaro
Après Panahi, Rassoulof ou Farhadi, le réalisateur Abbas Amini confirme la vitalité et la qualité du cinéma iranien.
Le Monde
De prime à bord, Marché noir n'a rien à envier à La Loi de Téhéran sur le plan du rentre-dedans.
Première
Le puzzle, d’une noirceur étouffante, est mené sans temps mort. Des premiers pas emballants.
Cahiers du Cinéma
Les quelques respirations du récit n'empêchent pas que l'on ressorte écrasé sous le poids d'un trop grand conformisme, à l'image de cette course-poursuite conventionnelle qui clôture le film et n'a pour seul intérêt que de prévenir tout débordement du récit.