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Mamzelle Aurore
4 abonnés
270 critiques
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3,0
Publiée le 5 février 2022
Ce film est sorti il y a plus de 20 ans et j’ai eu une subite envie de retourner quelques années en arrière. Mia est une adolescente de 15 ans, tout ce qu’il y a de plus basique. Elle est maladroite, réservée et elle se sent invisible. En fait, elle m’a beaucoup fait penser à la moi adolescente. Le titre de princesse en moins bien évidemment puisqu’elle apprend sur le tard qu’elle en est une. Sa meilleure amie Lily veut révolutionner le monde. Quant au frère de cette dernière, Michael, il en pince pour Mia, qu’elle soit princesse avec ses cheveux lisses ou juste lycéenne avec ses cheveux frisés. Tout le contraire de cet arrogant de Josh. Sans oublier Clarisse, la reine de Génovie et le bon serviteur Joseph qui est mon coup de cœur de ce film. Ce qui est important de retenir à mon sens c’est que rester soi-même est le plus important. C’est ce film qui m’a fait découvrir l’excellente Anne Hathaway et qui l’a fait connaitre du public. Sans oublier la merveilleuse Julie Andrews. Pour la petite anecdote, je ne me souvenais pas que Sandra Oh, plus connu comme le docteur Cristina Young dans Grey’s Anatomy, y jouait un rôle secondaire.
Mignon tout plein ! Sans grande valeur, mais doit-on toujours passer des moments de grande valeur cinématographique ? Film très sympa à voir entre copines pour rigoler un peu. Quelques scènes très marrantes, quand même !
Comédie pour ados des Studios Disney, se déroulant au lycée, avec des préoccupations de lycéens. Le "Si t'es bouclée, le sourcil épais, et que tu porte des lunettes, tu deviendras jolie et respectable si tu lisses tes cheveux, que tu t'épiles et que tu portes des lentilles..." a terriblement mal vieilli à une époque où les boucles s'assument, où les sourcils fins se mettent du crayon pour les faire paraître épais, et où les lunettes sont devenues un accessoire de mode. Rendu global plutôt niais.
Je suis tombé sur ce film un soir d'ennui à la télévision, et j'aurais clairement mieux fait de me tourner les pouces toute la soirée plutôt que de m'infliger ça, entre une histoire risible, des personnages caricaturaux et énervants, une réalisation sans personnalité, et un humour... inexistant, il n'y a rien à sauver là dedans, c'est un film que je n'hésite pas à placer dans les pires films que j'ai jamais vus...
Princesse malgré est digne d'être un téléfilm feel good de Noël. L'histoire est assez absurde, les personnages sont un peu caricaturaux pour certains, le surjeu est un peu présent. Certaines scènes ou gags ont également mal vieillis à mon sens (spoiler : notamment la scène de relooking, incontournable de ce genre de film des années 2000).
On suit malgré tous les aventures de Mia de manière plutôt amusée et aussi le cheminement vers son ascension au trône de Génovie. C'est une petite comédie familiale sans prétention, qui ne marquera pas votre esprit mais se laisse apprécier pour peu qu'on soit un peu d'humeur légère et fleur bleue sur le coup.
Autant toute la partie sur Mia devant vivre sa nouvelle vie de princesse de Génovie passe plutôt bien et est source de plusieurs bons gags (notamment celui avec les policiers que la grand-mère fait adouber), mais toute la partie centré sur Mia au lycée est extrêmement lourde (avec des tas de gags peu inspiré), bourré de clichés (l'héroïne qui est déconsidérée par les autres, le fait qu'elle fantasme sur le beau-gosse cliché, les pom-pom girls qui sont des pestes...) et remplie des bons gros poncifs habituels (l'héroïne qui se fait remarquer quand elle "devient" belle, sa meilleure amie qui s'éloigne suite à sa nouvelle condition...). Et le problème, c'est que cette partie fait presque la moitié du film et chaque fois qu'on y revient, il perd totalement en intérêt. Bon, pour dire une petite qualité sur cette partie, le personnage de la doyenne m'a fait plutôt marrer. Et c'est d'autant plus dommage que dans la partie royauté du film, les personnages de Clarisse et Joe sont excellents. Clarisse, la grand-mère de Mia, joué par une excellente Julie Andrew est un personnage qu'on arrive très bien à doser entre la reine stricte mais bien intentionnée et la gentille grand-mère. Et Joe, joué par un Héctor Elizondo parfait, se révèle un personnage à la fois très doux mais aussi très drôle dans son cynisme. C'est un film qui aurait vraiment mérité de n'être centré que sur Mia et sa nouvelle condition de princesse, et laisser tomber toute la partie sur le lycée qui est vraiment très dispensable, tant elle n'apporte pas grand-chose.
"Princesse malgré elle"... Vu comme ça, le titre ne fait pas forcément envie. "Encore un film cousu de fil blanc, où une adolescente mal dans sa peau, qui subit tous les jours les quolibets de ses camarades, va se transformer en princesse magnifique, et accéder à une vie qui fait rêver toutes les filles (car on sait bien que l'ambition de toutes les filles est de devenir une princesse superficielle)." Eh bien détrompez-vous! Disney révolutionne enfin le genre de la comédie pour adolescente en manque de prince charmant. Anne Hathaway campe à la perfection une Mia battante et militante des droits de la femme. Car princesse, certes, elle va le devenir, mais pas en abandonnant sa personnalité sur l'autel de la royauté. Cela donne des situations coquasses et drôlatiques entre une reine coincée et archaïque (incarnée magistralement par une Julie Andrews méconnaissable) et sa petite fille Mia, qui croque à pleine dents la pétillance de ses 16 ans (on se souvient tous de la scène de l'accident entre la décapotable et le tramway, quand les 2 soeurs appellent la police, véritable bijoux de comédie). Alors oui, le titre peut rebuter un peu et faire peur de prime abord, mais comme le disait le père de Mia : "Le courage ne se traduit pas l'absence de peur, mais plutôt par la conscience qu'il existe quelque chose de plus important que cette peur. Le courageux ne vit peut-être pas longtemps, mais le prudent, lui, ne vit jamais". Alors, ne soyez pas ce prudent couard qui laisse la vie lui passer devant, et foncez regarder cette comédie initiatrice pleine d'enseignement, qui remplit aussi son rôle sociologique en montrant que la femme et la vision de la femme ont bien évolué. Et c'est tant mieux!
Mignon et simple, ce film a néanmoins mal vieilli. Revisitant les poncifs du conte de fée à l'ère moderne, il permet à Anne Hattaway de rentrer de plein pied sur le grand écran, elle qui forme un joli tandem avec sa grand-mère dans le film. Globalement la "philosophie" du film est sympathique et certains personnages prêtent à sourire mais cela ne suffit pas à donner du relief à une intrigue poussiéreuse et finalement assez limitée. La moyenne tout de même car cela reste un film agréable à regarder et sans prétention.
Le début du film, une fille banale pas sûre d'elle, pas jolie et pas supra intelligente, qui découvre qu'elle est la princesse héritière d'un pays, ça me rappelle bien évidement un conte de fée. La transformation physique, celle un rappel du vilain petit canard qui deviens un beau cygne. Mais si le film nous montre qu'un bon coiffeur visagiste peut faire des miracles sur votre apparence, le mental ne change pas du jour au lendemain. Pas sûre d'elle, mal a l'aise en public, Mia évolue vers une autre facette de personnalité, celle d'une future reine charismatique.
Ce film ne restera certes pas dans les annales de l'histoire du cinéma mais cela reste une comédie tantôt émouvante tantôt drôle même s'il est vrai que certaines scènes sont un peu nia-nian