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brianpatrick
84 abonnés
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2,0
Publiée le 6 septembre 2020
Le scénario reste déjà fortement inspiré par rapport au film de 1960, mais ressemble aussi à la planète des singes. On peut inventer aussi ! Il n'y a pas de différence entre ce film et le film de 1960. C'est pareil ! Les mêmes bon hommes mais par contre il y a des acteurs plus jeunes, car ceux de 1960 ne doivent plus tourner. Il manque singulièrement de création et d'inovation.
Un bon film...on est un peu déçu parce qu'il ya matière à faire un chef d'oeuvre...le film aurait gagné à être plus approfondis et un peu plus long. Néanmoins, quelques scènes visuellement magnifique, la musique de Klaus Badelt sompteuse, une réalisation solide et un acteur principale charismatique nous permettent de passer un etrès agréable moment.
Un grand film, à la fois beau et poétique. Même si il doit beaucoup à la version précédente, ce film arrive à trouver sa place et à nous offrire (notamment grâce aux effets spéciaux astucieusement utilisés et à la musique) un spectacle de détails, normalement voué à traversé les époques!
Potentiel largement inexploité que ce sujet du voyage dans le temps.Le scénario est un peu tiré par les cheveux si j'ose dire.Cependant,les effets spéciaux sont de très bonne qualités et le film reste relativement divertissant.
Une excellente histoire qui revisite le genre de la machine à explorer le temps ! Un très bon film de science-fiction qui a été un échec au cinéma et qui méritait pourtant le succès. J'ai tout simplement adoré :)
Je ne comprends pas comment ce film n'a pas fonctionné au cinéma. Moi je l'ai adoré. J'ai trouvé les décors magnifiques. J'ai adoré l'effet de passer d'une époque à une autre. Pour moi je n'ai pas encore compris à l'heure actuelle pourquoi ce film n'a pas réussi. Il restera toujours dans ma collection des films cultes.
Nanar pour certains, coup de cœur pour d'autres, "La Machine à explorer le temps - Time Machine" ne met certes pas tout le monde d'accord dans cet océan qui mêle grand héroïsme et bonnes idées romanesques. Remake du classique de George Pal lui-même tiré de l'histoire imaginée par H.G. Wells en 1895, ce long-métrage qui mêle science-fiction et fantastique est avant tout une tragédie pure qui prend vie à travers le jeu d'acteur de Guy Pearce. Intégrant parfaitement son personnage, le comédien porte le film de bout en bout pour finir en face à face avec un Jeremy Irons peu commode. Bien que l'on puisse reprocher la facilité avec laquelle s'enchaînent les évènements de ce récit tout public, on ne peut rester de marbre devant le travail de forme réalisé tant sur le tournage qu'en post-production avec les effets spéciaux et la bande originale qui est juste superbe. Insistant un maximum sur le sentiment d'aventure et non sur le drame, Gore Verbinsky et Simon Wells, qui met en scène l'histoire de son grand-père, tentent de privilégier un public jeune avec un peu d'action et de beaux sentiments qui charmeront certains mais révulseront d'autres.
Si on retiendra de ce film le soin apporté au visuel et la prestation plus que convaincante de Guy Pearce, on ne s'attardera pas davantage sur le scénario plutôt confus et quelque peu faiblard. Un film assez décevant au final qui aurait mérité un meilleur traitement.
Encore un remake US qui n’aurait jamais du voir le jour ! Cette nouvelle version est un gâchis en comparaison à son original, véritable chef d’œuvre de la science-fiction. Premier long-métrage pour Simon Wells (qui n’est autre que l’arrière petit-fils d'H.G. Wells, l'auteur du roman sur lequel est adapté le film). Grand habitué des films d’animation, il s’essaie pour la première fois à un film en prises de vues réelles avec un classique du fantastique, grossière erreur de sa part car la tache n’était pas simple et à la vue du résultat, on ne comprend vraiment pas pourquoi Hollywood a signé pour une œuvre pareille. Le scénario ayant été modifié, la mise en scène bâcle ou expédie quelques moments intéressants au profit d’une histoire inintéressante et dénuée de logique (d’où l’amputation de 15 minutes par rapport à l’œuvre originale). Quant aux acteurs, on atteint le pire avec Guy Pearce dans le rôle titre, accompagné par Samantha Mumba (qui n’est pas actrice mais chanteuse et donc, c’est son premier film), mais la palme de la représentation catastrophique revient à Jeremy Irons, grimé en vieillard albinos cadavérique. Bref, un remake regrettable auquel on conseil vivement de ne voir que l’original, à savoir celle de 1961, réalisée par George Pal.