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peypino
48 abonnés
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2,5
Publiée le 26 juin 2010
l' estetique est soignée il y a de belle chose realisee a la camera, n ayant ni lu le livre ni vu le premier film, j ai trouver l histoire originale, meme si il y a beaucoup de clin d oeil a d autres oeuvres.guy pearce s en tire pas mal. il y a par contre de nombreux raccourcis scénaristiques et quelques invraisemblances innérente a ce genre de film .certain temps fort de l histoire sont un peu zappés, 2h20 au lieu de 88minutes et on aurais sans doute eu un grand film.
après un début plus que réussi, l'arrivée des morlocks, souvenirs passés et effrayant du premier opus que j'avais vu dans mon enfance, laisse de marbre, dommage, ça coince ! fan de SF, ça reste plaisant tout de même !
Projet ambitieux qui resta longtemps dans les tiroirs des studios, "La machine..." connut énormement de difficulté avant de finir entre les mains d'un descendant de H.G. Wells lui même, je veux parler de Simmon Wells. Ce dernier, sans doute handicapé par ce poids et des problèmes de santé, ne put jamais réellement tenir ce projet qui malgré la présence d'un scénariste de qualité etait quand même assez bancal. Certains passages sont réussis ( le debut) alors que d'autres sont simplement grotesques ( le futur). Malgré un bon casting et d'excellents effets speciaux, le film reste une oeuvre maldroite et imparfaite
seuls les décors sauvent un petit peu ce film de la dérision totale, du fait de son scénario éclipse, ses acteurs inadaptés (Jeremy Irons en gourou...mdr) et ses gags très plats
Un film d'aventures à réserver aux jeunes adolescents à peine sortis de l'enfance. Rien de bien passionnant, on n'arrive pas à accrocher. Le roman original de H. G. WELLS et la version cinématographique de 1960 sont bien meilleurs.
9.5 / 20 La machine à explorer le temps , que j'ai vu hier , encore une adaptation du célèbre best seller de H.G. Wells . Si l'intérêt du film est tout simplement de faire un nouveau film avec les dernières techniques en matière d'effets spéciaux , c'est parfaitement réussis , d'ailleurs j'ai trouvé le visuel très appréciable , avec de bonnes scènes , de bons plans maintenant c'est encore une « fausse » aventure pour ma part , c'est très long , trop long , totalement incohérent , le scénario nage dans le n'importe quoi , il démarre avec une histoire intéressante ( celle de l'homme cherchant désespérément sont but .. j'en dis pas plus , et ça dérive sur une toute autre histoire très classique et molle ! On s'ennuie presque tout le long , quelques musiques à retenir et encore , c'est très répétitif en revanches les créatures sont très bien faites , les voyages également mais je ne suis pas spécialement convaincu .. l'aspect divertissant ne fonctionne pas à cause du ralentissement sur certaines scènes .. un mauvais divertissement qui manque de cadence , de rythme , de bonnes scènes , le final est banal et bâclé avec un pitoyable affrontement … j'ai trouvé aussi le concept de la transformation du héros inutile , le passage de l'homme intelligent , d'apparence conforme à sa culture en un aventurier « indiana jones » limite bad boys .. j'ai trouvé ça nulissime ! Globalement ce n'est donc pas à bon film malgré de belles qualités ( spécialement la photographie et quelques effets spéciaux ) . Le reste est à oublier très vite , rien de satisfaisant sur le casting non plus . Un divertissement familial ( et encore .. )
Nanar pour certains, coup de cœur pour d'autres, "La Machine à explorer le temps - Time Machine" ne met certes pas tout le monde d'accord dans cet océan qui mêle grand héroïsme et bonnes idées romanesques. Remake du classique de George Pal lui-même tiré de l'histoire imaginée par H.G. Wells en 1895, ce long-métrage qui mêle science-fiction et fantastique est avant tout une tragédie pure qui prend vie à travers le jeu d'acteur de Guy Pearce. Intégrant parfaitement son personnage, le comédien porte le film de bout en bout pour finir en face à face avec un Jeremy Irons peu commode. Bien que l'on puisse reprocher la facilité avec laquelle s'enchaînent les évènements de ce récit tout public, on ne peut rester de marbre devant le travail de forme réalisé tant sur le tournage qu'en post-production avec les effets spéciaux et la bande originale qui est juste superbe. Insistant un maximum sur le sentiment d'aventure et non sur le drame, Gore Verbinsky et Simon Wells, qui met en scène l'histoire de son grand-père, tentent de privilégier un public jeune avec un peu d'action et de beaux sentiments qui charmeront certains mais révulseront d'autres.
Il existe de multiples déclinaisons sur ce thème. Ici, le début prometteur est vite oublié par un scénario peuplé de créatures bizarres. Le mélange entre science fiction et fantastique ne donne pas forcément de bons résultats. Dommage, car il y a un côté écolo-humaniste assez intéressant !
C'est l'histoire de l'arrière petit fils de l'immense Herbert George Wells s'est un jour dit que lui aussi pourrait s'ériger en visionnaire talentueux en produisant un hommage lumineux à son ailleul. C'est 2003 que Simon Wells, alors reconnu pour ses grandes compétences dans le monde de l'animation et pour ses scénarii inventifs, choisi de revisiter le roman original l'aide avec de Gore Verbinski. Aussi éloigné du livre originel qu'une marche de manœuvre raisonnable le permettait sans dénaturer totalement son contenu, le film parviens à nous convaincre par des effets visuels très réjouissant. Les cycles temporels à travers lesquels voyage la machine sont parfaitement posé à l'écran. La machine en elle même nous ravi par ses lignes néo-modernes saupoudrés par une fine dose de steampunk. Le vrai défaut de cette adaptation réside dans son scénario banal, ses acteurs très peu convaincu et encore moins convaincus. Alors que l'on retrouve des petits détails du récits de Wells (le levier de quartz!) les Eloys et les Morloks, si bien décrits par Wells, sont remplacés par des créatures plus consensuelles, à savoir des humains étonnamment familier avec la langue du héros et des monstres bien éloignés de l'horreur souterraine qu'ils sont censé représenter. Tout cela participer à reléguer "La Machine A Explorer le Temps" au rang de téléfilm sans saveurs, à l’image du rôle essoufflé d’un Jeremy Irons qui ne semble pas avoir la moindre idée de la raison de sa présence. Pour les inconditionnels de Guy Pearce, préférez ses sauts temporels dans Memento. Pour les fans de Jeremy Irons, ne prenez pas le risque de vous faire du mal. Pour les admirateurs de H.G. Wells, construisez vous une Time Machine!
Bon je vais commencer par un le point positif.Je m'attendais à ce que Guy Pearce revive le même jour encore et encore mais non ouf. Alors attention ici on voyage dans le futur mais pas comme à la Marty Mc Fly non, ici le film est plus emotionnel on attends une réponse, c'est pas le fun comme on aurait pu l'imaginer. Donc le film est regardable et plutôt long on regarde Alexander traverser les années pour avoir sa réponse.... jusqu'à une date fatidique et la tu demandes mais qu'est ce que c'est que ça ?
spoiler: il est dans le passé ? dans le futur ? pourquoi il y a des orcs, des cannibales violeurs blanc comme un ... bref qui surgissent de nulle part comme ça ?
et la ça part en n'importe quoi... alors ok ça surprends mais quand même... Dommage.
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1,0
Publiée le 16 mai 2021
Cela aurait pu être un film de science-fiction d'aventure décent. Le roman de H. G. Wells est une grande histoire de science-fiction mais ce qui échappe à beaucoup de gens lorsqu'ils le lisent probablement parce qu'ils le lisent quand ils sont très jeunes c'est qu'il déborde de commentaires sociaux. Les Eloi et les Morlocks sont une satire des distinctions de classe de l'Angleterre victorienne et le message général du film est que tout dégénère et tout se dégrade c'est une satire de complaisance des Victoriens et de leur croyance en l'éternité de leur civilisation. Il n'y a pas d'histoire d'amour pas de romance avec une belle femme Eloi dans le roman. Les Eloi sont des êtres enfantins d'un mètre de haut dont la capacité mentale n'est guère supérieure à celle d'un animal. Le voyageur du temps se lie d'amitié avec une femme Eloi mais il est clair qu'il la considère plutôt comme un animal de compagnie et de toute façon elle est tuée avant la fin du roman...