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ferdinand75
548 abonnés
3 868 critiques
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2,5
Publiée le 20 mars 2016
Un bon film d'aventure basé sur le thème souvent vu de la machine à remonter le temps . Ici le héros a perdu sa bien aimée par un meurtre horrible et il veut tout faire pour remonter le temps et changer les évenements pour retouver son amour. Un bonne technique cinématographique, de bons effets spéciaux et une intrigue solide . Guy Pearce et Jeremy Irons sont très bons dans leurs rôle. On passe un bon moment.
Les premières séquences étaient prometteuses. On nous plonge très rapidement dans une aventure temporelle incohérente à l'ambiance dont la crédibilité lorgne avec l'insipidité. Le budget semblait être présent pour un scénario avec autant de culot que le sujet proposé. La fin est incompréhensible...
Médiocre adaptation du célèbre roman d'H.G Wells qui concentre toute son attention sur l'action et l'eau de rose nunuche. Tout s'enchaîne trop vite, pour entrer dans le sujet dans le dilettantisme le plus parfait. La présentation des personnages caricaturaux, les éléments qui déterminent le voyage, les rebondissements... tout est abordé sans conviction ni rigueur. Un impardonnable je m'en foutisme qui condamne le film à être un vulgaire divertissement sans âme remplis de beaux effets spéciaux incapables de masquer le manque d'ambition.
"La Machine à explorer le temps - Time machine" est un film que j'ai bien apprécié et il s'agit d'un remake. Ce film est divertissant, l'histoire est quasiment pareil que la version originale mais prend aussi beaucoup de liberté et j'ai bien aimé que ça prennent pas exactement la même direction. Les personnages sont bien joués par leurs acteurs et les images sont belles. J'ai par contre trouvé dommage quand nous expliquent pas certains moments et j'aurais bien aimé voir une durée de film un peu plus long.
Version alternative. Après avoir vu l’adaptation de 1961 il y a peu, il est intéressant de voir ce qu’en dit le Hollywood d’aujourd’hui. Le prétexte au voyage diffère un peu. On est toujours à la fin du XIXème et le personnage principal est toujours un scientifique vif d’esprit. Ce coup-ci, le gars cherche à remonter le temps pour changer le cours de son présent et ainsi éviter un drame. Trame classique mais très différente de la version de 1961. Bref, il se retrouve dans le futur et là, les deux films se rejoignent dans les grandes lignes. On préférera probablement l’esthétique vintage et très « SF à l’ancienne » de la version de 1961 aux effets spéciaux assez moches des années 2000. On aimera aussi davantage la réflexion sur le devenir de l’humanité que proposait un film de la guerre froide. Pour le reste, le récit se déroule de manière bien plus fluide dans cette version 2002. Le rythme est plus enlevé et il y a peu de temps morts. On regrettera donc l’appauvrissement du fond et de la forme visuelle mais, à la manière d’un film avec Brendan Fraser, tout ça se regarde avec un certain plaisir si on oublie les quelques fautes de goût.
Malgré des résultats décevant au box-office, ce remake du classique de George Pal est pourtant loin d'être une catastrophe. L'accélération du temps autour de la machine lorsque celle-ci est activée donne lieu à d'incroyables séquences absolument impossibles à réaliser en 1960. Le présent film ne manque ni d'invention visuelle, ni de rebondissements et le personnage un rien nonchalant de Guy Pearce s'attire très vite la sympathie du spectateur. Une invitation au voyage tout à fait recommandable, d'autant que la musique en impose.
Un film d'aventure qui respire le début des années 2000. Quelques effets spéciaux par ci par là, un thème universel et fédérateur sur les voyages temporels, un acteur au top juste apres Memento, et un univers merveilleux quelque part entre Peter Pan et Avatar. Ce remake de La Machine a Voyager dans le Temps est un divertissement convenable qui trouve son paroxysme dans la confrontation entre Jeremy Irons et Guy Pearce, mais qui délaisse des questionnements passionnants et fondamentaux sur le temps, les paradoxes, l'évolution de l'humanité et l'auto destruction. Dommage.
Un film qui aurait mérité plus de moyens. Car, malgré le casting d'ou ressorte un Guy Pearce décidemment génial et un Jeremy Irons qui évite le ridicule dans un rôle qui s'y prétait, les effets spéciaux pas mal du tout (l'évolution accélérée!) et de bonnes idées (la destruction de la Lune, l'hologramme...), il manque un petit quelque chose pour qu'il atteigne le statut de grand film (peut être la patte d'un grand réalisateur). Mais, le scénario parfois confus (l'explication finale de l'Uber Morlock) et les personnages pas assez écrits sont sans doute une explication. Reste que cette histoire de voyage dans le temps est toujours aussi interessante!
Tiré du célèbre roman de SF de H.G. Wells, "La machine à explorer le temps" est un ratage complet. Guy Pearce tente de mener le jeu dans cette série B sans envergure, sans réflexion et sans intérêt. L'enjeu est terriblement faible, les évènements s'enchaînent trop vite (on a à peine le temps de découvrir la planète en 2030 que l'on se retrouve propulsé des centaines d'années après). Les musiques, les décors sont pourtant réussis, mais la dernière partie est ridicule, nous dévoilant en plus des effets spéciaux à faire frémir James Cameron (un certain Abyss est passé par là en 1989) ! C'est dommage car il y a deux-trois idées pas mauvaises, sous-exploitées au détriment d'une mini-aventure temporelle, risible.
Un bon petit film qui ne paie pas de mine. Une histoire archi connu de celle du voyage dans le temps. Mais plein de petit truc change la donne, bref bien prenant meme si il y a des choses pas trop clair.
La machine à explorer le temps est un film qui ne s'attarde pas sur le paradoxe temporel. Même s'il ressemble à un téléfilm pour Disney Channel. il est original et possède un certain charme. Le passage du temps lors du voyage est bien représenté. Ce film peut être classé dans la catégorie Aventure et il peut convenir aux jeunes enfants.
Encore un remake US qui n’aurait jamais du voir le jour ! Cette nouvelle version est un gâchis en comparaison à son original, véritable chef d’œuvre de la science-fiction. Premier long-métrage pour Simon Wells (qui n’est autre que l’arrière petit-fils d'H.G. Wells, l'auteur du roman sur lequel est adapté le film). Grand habitué des films d’animation, il s’essaie pour la première fois à un film en prises de vues réelles avec un classique du fantastique, grossière erreur de sa part car la tache n’était pas simple et à la vue du résultat, on ne comprend vraiment pas pourquoi Hollywood a signé pour une œuvre pareille. Le scénario ayant été modifié, la mise en scène bâcle ou expédie quelques moments intéressants au profit d’une histoire inintéressante et dénuée de logique (d’où l’amputation de 15 minutes par rapport à l’œuvre originale). Quant aux acteurs, on atteint le pire avec Guy Pearce dans le rôle titre, accompagné par Samantha Mumba (qui n’est pas actrice mais chanteuse et donc, c’est son premier film), mais la palme de la représentation catastrophique revient à Jeremy Irons, grimé en vieillard albinos cadavérique. Bref, un remake regrettable auquel on conseil vivement de ne voir que l’original, à savoir celle de 1961, réalisée par George Pal.
Bon, après l'avoir revu plusieurs années après l'avoir vu en salle (oui oui!), je vais être un peu moins sévère qu'en sortie de salle. Bien entendu je trouve qu'il reste très inférieur à la version classique de 1960, mais il y a quelques bonnes choses et notamment le design hyper classe et flippant des morlocks. Le reste est regardable mais n'en attendez pas trop tout de même.
Sans être extraordinairement inventif ou révolutionnaire dans la conception de son sujet, cet énième film sur le voyage dans le temps joue sa carte de façon plutôt intelligente, avec des effets visuels soignés et très réussis dans l'ensemble, avec un Guy Pearce très dans le ton et un déroulé scénaristique plutôt habile. Évitant les longs développements et les pensums philosophiques souvent indigestes, le film se suit avec un certain plaisir, privilégiant l'étonnement et le drame plutôt que l'action (qui trouve quand même sa part dans la dernière demi-heure). C’est plutôt malin et ça reste cohérent d'un bout à l'autre, avec quelques bonnes idées bien exploitées, même si l'on regrettera sans doute quelques faiblesses sur le plan émotionnel. Agréable.