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Jérôme H
171 abonnés
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1,0
Publiée le 14 mai 2008
Le principe du voyage dans le temps ne dure pas assez longtemps à mon gout et n'exploite pas rééllement tous le potentiel des modifications que chaque voyage peut impliquer. La partie final de ce monde hyper futuriste est assez banale mais on prend gout à voir un bon Jeremy Irons.
Sans être complètement déshonorant (encore que la fin tient plus du navet intégral que de la bonne série B), cette machine va bien trop vite (1h30 seulement) et ne fait que poser des jalons intéressants sans prendre le temps d'en exploiter la richesse et la profondeur. Et visuellement, c'est d'assez-mauvais goût. Les acteurs sont à l'image du film : pressés...
Un excellent remake avec l'excellent Guy Pearce ( La Veangeance de Monte-Cristo , Deux Frères, Démineurs , Histoires Enchantés, La Route, Animal Kingdom, Le Discours d'un roi, Le Pacte ,Lock Out, Prometheus , Des hommes sans loi , Iron Man 3 ) et réalisé par l' arrière-petit-fils de H. G. Wells , Simon Wells !!!
H.G. Wells avait écrit un court roman assez peu développé mais dans l'idée était excellente, son arrière-petit-fils réalise quant à lui un film sur le thème du voyage dans le temps plutôt raté. La 1ère demi-heure est assez mièvre, la scène de la mort de la fiancée plutôt ridicule, la musique assez agaçante, seule la scène de l'attaque du village par les Morlocks est réussie et la fin assez belle et émouvante mais pour le reste cette version est loin du superbe film de George Pal.
Le scénario reste déjà fortement inspiré par rapport au film de 1960, mais ressemble aussi à la planète des singes. On peut inventer aussi ! Il n'y a pas de différence entre ce film et le film de 1960. C'est pareil ! Les mêmes bon hommes mais par contre il y a des acteurs plus jeunes, car ceux de 1960 ne doivent plus tourner. Il manque singulièrement de création et d'inovation.
Plus de 40 ans après la première version par George Pal, revoici une nouvelle adaptation du célèbre roman de H.G. Wells réalisée ni plus ni moins par l'arrière-petit-fils de l'auteur, Simon Wells, dont c'est le premier long-métrage live après quelques dessins animés de qualité. Malheureusement pour son ancêtre, pour les fans de l'œuvre ainsi que pour nous autres spectateurs, cette refonte est tout simplement ratée, partant des meilleures intentions pour aller droit dans le mur ou pire au-delà du ridicule. Mesdames et messieurs, Hollywood dans toute sa splendeur ! Car cette seconde adaptation ciné s'avère bienvenue et commence plutôt bien malgré une simplicité scénaristique évidente entraînant des changements par rapport à l'histoire originale... Notre héros donc va voyager dans le futur pour de découvrir des raisons scientifiques plus poussées que celles de son siècle afin de parvenir à sauver sa bien-aimée, qui meurt à chaque fois qu'il remonte dans le passé grâce à sa fameuse machine. Ainsi, après une exposition de près d'une demi-heure, notre héros va atterrir 800 mille ans dans le futur et découvrir que la Terre a sombré dans le chaos après la destruction de la lune et s'est divisée en deux clans : les Eloïs, peuple pacifiste aux allures de Tahitiens des bois, et les Morlocks, des créatures difformes et cannibales. À partir de là, le spectateur un tant soit peu intelligent va en prendre plein la gueule... D'incohérences de plus en plus gigantesques en maladresses de mise en scène, de direction artistique navrantes en interprétation calamiteuse, le long-métrage devient de plus en plus insupportable. Pourtant, malgré quelques broutilles de blockbuster en début de bobine, le ton du film était très agréable : un Guy Pearce convaincant, un look général soigné et des effets spéciaux de qualité (probablement l'unique raison de ce revival) avec en prime un voyage dans le temps en accéléré très impressionnant. Tout laissait présager un bon film d'aventures pour la suite. Malheureusement, l'arrivée à l'écran de la chanteuse Samantha Mumba et de sa tribu d'indigènes ringards ainsi que celle des fameux Morlocks aux costumes cheap, menés par un Jeremy Irons albinos au sommet du ridicule sous ses prothèses, vont faire du film une grosse blague difficilement regardable. Au final, La Machine à explorer le temps est un ratage quasi-intégral qui n'amusera même pas les spectateurs lambda tant tout sonne faux, kitch et sans panache. À éviter.
Adaptation de l'œuvre de H.G.Wells, allégorie sur le temps et l'évolution, le destin. Ces aventures, aux effets visuels inégalement réussis, sont tout de même naïves, s'égarant de l'objectif initial. Malheureusement, le manque de charisme de G. Pierce, dans ce personnage, ne permet pas de rehausser l'intérêt vascillant pour le métrage.
J'aurais été le réalisateur, je n'aurais pas fait ça comme ça. De base, l'histoire est charmante bien que triste. La petite fiancée d'un scientifique trouve la mort gratuitement à cause d'un voleur et le professeur va mettre tout son génie en œuvre pour inverser le cours du temps. Moi, je l'aurais fait traverser les époques. La Préhistoire. L'antiquité romaine. Le Moyen-Age. La Renaissance. Les guerres Napoléoniennes. Ça aurait été très intéressant de le voir se débattre avec toute son intelligence à travers les grands moments de l'Histoire avec un grand H. Il aurait pu retirer une leçon de chaque époque (qui pourrait lui servir quand il retournerait dans la sienne), une clé donnée par un grand personnage à chaque fois qui lui procurerait un avantage décisif à la fin à sauver sa copine. En réalité, cette quête devient vite peut-être pas le cadet de ses soucis mais bien secondaire. A la place, arrivent des effets spéciaux, des bagarres entre des indigènes gentils et des espèces de je ne sais pas trop quoi. Des mutants entièrement numériques dirigés par Jeremy Irons. Et aussi laids que méchants. Produit par Dreamworks, la boîte de production de Spielberg, je me serais même contenté d'un clone de Tintin ou d'Indiana Jones pour dire. Un film d'aventures à l'ancienne. Ce n'est pas du tout ce que j'attendais. Dommage.
Remake du Roman D'Hg Wells et du film de 1960 de George Pal. Un début intéressant bien qu'assez laborieux en terme de rythme. Le décor du 19ème ainsi que les costumes sont réussis, détaillés. Idem pour les scènes de voyages dans le temps, faisant des références au premier film de 1960. Malheureusement, le film s'écroule quand Alexander (Principal protagoniste) se rend chez Les elois, peuple du futur (en 800000 après Jc). On assiste a des scènes ridicules comme spoiler: l'attaque des Morlocks (monstres souterrain complètement ratés par rapport au film de 60) .De plus, on peut déceler de nombreuses incohérences de scénario. Bref, un film décevant qui ne manque pas de qualités mais qui possède de trop nombreux défauts. 4,2/10
Mon conte d'aujourd'hui Vision un peu naïve d'un futur que je vois sombre mais ce film m'a toujours ému, à l'époque comme aujourd'hui et j'espère demain , même si ce n'est pas un film à gros budget et qu'il ne prend que quelques trames du livre originel, il n'en reste pas moins un film pour rêveurs comme moi
un film que j'ai découvert par pure curiosité. Une merveille de poésie, de fraîcheur, un voyage dans l'imagination... La musique ajoute une touche de rêve extraordinaire (d'ailleurs elle me rappelle beaucoup celle d'Avatar!) Les acteurs sont superbes, spécialement Guy Pearce, et Samantha Mumba dont le charme fait beaucoup dans le film. Trés belle histoire, même si je n'ai pas tout compris à la fin, trés bons effets spéciaux, et trés bonnes idées d'évolution dans le futur (le coup de la lune fait froid dans le dos tellement il paraît crédible!) La prestation d'Orlando Jones m'a bien fait rigoler, et certaines répliques sont délicieuses ("si tu continues, je te reséquence l'ADN"!!) Bref, un film à voir pour s'évader, imaginer, tout simplement passer un bon moment!
Réalisé par Simon Wells, l’arrière petit fils d’Herbert George Wells, “La Machine à explorer le temps” est la troisième adaptation du roman éponyme du célèbre auteur. Cette version 2002 modifie l’intrigue initiale avec le meurtre de la fiancée d’un brillant physicien qui va chercher comment remonter le temps et éviter l’accident. Dans le livre, il n’est pas question de retourner dans le passé, mais bien d’explorer le futur. On y arrivera par inadvertance et notre protagoniste fera face aux gentils Elois et aux méchants Morlocks du XXIème siècle. Guy Pearce, pourtant mémorable deux ans plus tôt dans “Memento” de Christopher Nolan, agace ici par des mimiques exagérées et peu crédibles. Si les paysages se veulent grandioses et épiques, ils sont en fait laids et bien loin de l’univers décrit dans le roman de H. G. Wells. “La Machine à explorer le temps” version 2002 ne fait pas honneur à l'œuvre et nous vous conseillons plutôt le long-métrage de George Pal sorti en 1960. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com