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Un visiteur
0,5
Publiée le 29 septembre 2006
Rien à rajouter de plus par rapport à la critique précédente de Platoune, si ce n'est que même Guy Pearce (pourtant excellent dans Memento) est mauvais. Mais bon, c'est vrai on s'est bidonné pendant 1h35.
Une honte cinématographique! De la part de l'arrière petit fils du grandiose auteur de science-fiction H.G.Wells, nous aurions pu nous attendre à quelque chose de tout aussi intéressant que le livre ayant inspiré cet effroyable navet. Mais nan! [Spoil] Ici, un film à l'américaine avec une histoire d'amour, une famille recomposée, une intrigue à trois francs six sous et illogique [Peut-on m'expliquer comment, avec 800 664 ans de décalage (oui, j'ai calculé) les Eloïs arrivent à parler Anglais! Et ne me dites pas que c'est grâce au bout de panneau retrouvé en pleine nature! Ce scénario est BIDON!] et une morale profondément débile... Bref, une adaptation cinématographique honteuse qui ne mériterais même pas d'exister.
J'ai vu ce film à sa sortie au cinéma et il m'avait laissé une impression de "sympathique navet", médiocre mais attachant. Avec le temps j'ai souhaité le revoir et c'est chose faite. En fait ce film possède un superbe potentiel sous-exploité. L'ambiance générale a quelque chose de captivant, le sujet est intéressant, mais on reste sur sa faim à bien des niveaux, comme si les auteurs avaient voulu que le spectateur comble lui-même les manques du film avec sa propre imagination : en cela je trouve qu'il n'est pas totalement raté car j'ai souvent repensé à ce film des années après l'avoir vu pour la première fois. Malgré tout il ne mérite pas une excellente note parce que la mise en scène aurait méritée d'être plus creusée, l'aspect visuel reste assez mauvais et puis on tombe beaucoup trop rapidement dans la seconde partie du film qui tourne à l'affrontement vite expédié entre les humains et les vilaines créatures, occultant tout le questionnement philosophique sur le sens de la vie promis au départ... Dommage.
Voici le film qui a la meilleure réalisation au point de vue d'un voyage dans le temps. Pas aussi drôle que les "Retour vers le futur". Mais vraiment très bien tourné et très réaliste. A voir !
Je ne comprends pas comment ce film n'a pas fonctionné au cinéma. Moi je l'ai adoré. J'ai trouvé les décors magnifiques. J'ai adoré l'effet de passer d'une époque à une autre. Pour moi je n'ai pas encore compris à l'heure actuelle pourquoi ce film n'a pas réussi. Il restera toujours dans ma collection des films cultes.
La Machine à explorer le temps (The Time Machine) est un film américain réalisé par Simon Wells, sorti en 2002 et tiré du roman de H. G. Wells Il a été nommé pour l'Oscar des meilleurs maquillages et coiffures Le réalisateur Simon Wells est l'arrière-petit-fils de H. G. Wells, l'auteur du roman sur lequel est basé le film Alan Young, qui interprétait le rôle de Filby dans la version de 1960, fait une courte apparition en tant que fleuriste le realisateur a quitte sont poste suite a un malaise et remplacer par gore werkinski une production dreamworks skg warner bros
Une histoire minimaliste mais qui reste efficace. Après les décors sont plutôt bien faits et la bande son est reussie. Mais le film manque d'ambition et d'ampleur en général.
Par où commencerais-tu si tu pouvais explorer le temps à ta guise? Les possibilités sont infinies. Toutes ces choses que l'on souhaiterait corriger, ces drames à éviter, ces instants magiques à revivre et revivre encore jusqu'à l'overdose. Si un tel prodige était humainement possible, il y aurait de sacrées autoroutes dans les couloirs du temps! Malheureusement, ou fort heureusement, à toi de voir, cela ne s'est encore jamais produit, sans faute de s'y être essayer. La Machine à explorer le temps de Simon Wells n'a rien d'un phénomène nouveau. Elle tire son inspiration du roman de H. G. Wells, 1895. C'est dire si ce phantasme ne date pas d'hier. Si le passé demeure immuable, figé quant aux évènements qui le constituent, le futur, à l'inverse, reste à écrire, et se décline dans nos mœurs de multiples façons. Certains imaginent un monde apocalyptique où le chaos règne en maitre, d'autres voient plutôt l’avènement du progrès dans des villes futuristes révolutionnaires. Il y a aussi la possibilité d'un retour vers la nature, où l'homme s’acclimaterait du stricte minimum, vivant dans des huttes rudimentaires à flans de falaise. Alexander Hartdegen, génial inventeur du 19ème siècle, sera le premier témoin de toutes ces débâcles successives, étendues sur des millénaires d'évolution. Suite au fiasco entreprit afin de ramener à la vie sa petite amie, il comprendra que le destin d'un individu est catégoriquement irréversible, mais aussi que la cruauté et la domination sont intemporelles. Le meilleur des monde en serait forcément constitué, équilibré peut être, de ces fondations branlantes qui font la nature humaine. Ce film suggère en plus de divertir. Il apporte une vision concrète d'un futur lointain qui nous dépasse. Guy Pearce est aux manettes de cette machine infernale défiant la volonté de Dieu. Un voyage extraordinaire dont l'arrivée n'est pas uniquement décevante. L'amour aurait lui aussi traversé les âges. A toi d'en juger. Du grand spectacle. 4/5
On regrettera vraiment un gros vide dans l'écriture car il ne faudrait pas grand chose pour qu'il soit vraiment bon .... Assez surpris de la descente qu'il a eu dans les critiques
Simon Wells est l’arrière-petit-fils de l’écrivain H.G. Wells. Il est donc assez compréhensible que Dreamworks, après le désistement de Steven Spielberg, l'ait choisi pour réaliser une nouvelle version du roman de son aïeul, La Machine à explorer le temps. Wells réussit plutôt sa mission en signant un très sympathique divertissement n’hésitant pas à rappeler ses originesspoiler: (l’hologramme évoque le livre ainsi que l’adaptation de George Pal de 1960) et à faire des références à d’autres œuvres de science-fictionspoiler: (le même hologramme qui salue comme dans Star Trek) . Ainsi, même si elle n’est pas une des œuvres marquantes du genre, La Machine à explorer le temps version 2002 réussit à être très divertissante et à offrir des visions intéressantes du futur (notamment l’idée, issue du roman, que celui-ci retrouve, comme c’était le cas au début de la préhistoire, différentes races d’êtres humains). La première (et unique à ce jour) réalisation de Simon Wells qui ne soit pas un film d’animation est donc une belle adaptation à voir en famille et permettant de se familiariser avec l’œuvre d’H.G. Wells.
'La Machine à explorer le temps- The Time Machine" film de S.F américain réalisé par Simon Wells, sorti en 2002. Adaptation du roman de H. G. Wells "The Time Machine: An Invention" publié en 1895, devenu un classique de la littérature de SF sur le voyage dans le temps. Le film est une réactualisation au cinéma de la première adaptation réalisée en 1980 par George Pal. Le réalisateur de la version de 2002, Simon Wells, est l'arrière-petit-fils de H. G. Wells. Un film bien réalisé, mais qui ne vaut pas le grand classique de 1960. Avec Guy Pearce, Sienna Guillory, Samantha Mumba et une apparition de Alan Young dans un petit rôle, acteur qui jouait Filby dans le le film de 1960. Le réalisateur Simon Wells, qui avait réalisé jusque là des dessins-animés déclare lui-même que le film est un « grand film ridicule » et que ce premier long métrage avec des acteurs réels était un trop gros projet pour lui, il termina le film en faisant un burn-out. Le film, bien qu'il n'a pas connu un grand succès, reste cependant honnête et regardable.