Ce film est une oeuvre qui représente la barbarie humaine à son paroxysme il en répugnera plus d'un, tellement certaines scènes sont dures à regarder et surtout à supportés.
Tortures physiques et morales insupportables et inimaginable, délires scato horribles pourtant tout ceci à exister et existe peut être toujours qui sait?
Que faut il voir dans ce film? La dénonciation de l'anarchie du pouvoir que détienne quatre seigneurs qui n'en font qu'a leurs têtes afin de réaliser des fantasmes complètement tordues et dégueulasses. Et une métaphore sexuelle de la politique.
Qu'est-ce que le film nous dit sur l'humanité? Que l'homme est profondément mauvais? Car le film est pessimiste.
En effet aucuns espoirs ne ressorts de ce film le seul moyen d'échapper à l'horreur c'est de se tuer et c'est d'ailleurs ce que fait une femme qui n'était pourtant que spectatrice de la sauvagerie.
Même les jeunes hommes qui ont été raflés dans les villages comme les esclaves qui sont l'objet du triste spectacle finisse par se prendre à cet effroyable jeux et à devenir aussi cruels que leurs maîtres.
Un film très dérangeant voir traumatisant voilà pourquoi je ne sais pas trop quelle note lui mettre, car c'est sûr je n'ai pris aucun plaisir à regarder ce film et pourtant ce film semble avoir un véritable message politique que je n'ai pas encore réussie à véritablement trouver.
Trop de bruit pour rien, film soit-disant macabre et viscéral. Quasi tout le long Pasolini se fout pas mal de nous, une femme ne fait que conter des histoires sexe sans pour autant y donner des détails plus profonds car c'est la règle, personnellement tout cela on s'en contrefous et pour ce qui est des scènes perverses à part une, voir deux, c'est pas si choquant que ça, à la limite on peut le peut ressentir pour les passages à la fin. Mais franchement au final, Salo ou les 120 journées de Sodome c'est salaud et les 120 journées de l'ennui.
j'adore la scène ou s'qu'y mangent du caca, hinhinhin ca m'excite le bout du dard, non bien sur, je déconne, bon, ouais ok c'est inspiré de l'oeuvre de sade, mais je crois que le livre doit être suffisamment dégueu sans qu'y'ai besoin de faire un film de bourrin, perso je peux tres bien imaginer des images horribles tout seul, si pasolini voulait faire le film le plus irregardable ben... t'as gagné mon pote !!! c'est indigeste, ca donnerait la colique a un inquisiteur sadico-pervers, pourtant je crache pas sur le trash qui crache, mais bon, seul plaisir : voir des zessegon avec des touffes plus grandes que la mèche a titeuf, ca me fait poser cette question "pourquoi n'ai je pas eu une vie sexuelle dans les années 70 ?" période de la moustache-reine, et du pubis fourni. mon zob aurait paru plus petit.
Le film est un grand classique du cinéma et le livre un chef d'oeuvre de la littérature. Il faut voir ce film en ayant à l'esprit que le Marquis a écrit cette histoire à la fin du 18eme.
Il y a de ses films dont les noms une fois évoqués, sont immédiatement rangés par un rapide processus mental - presque un réflexe - dans la catégorie des films chocs, polémiques, qui finalement ont plus fait parler d'eux pour leur transgression des code moraux, que leurs qualités artistiques ou leur portée politique. Salo fait indéniablement partie de cette injuste caste des films controversés. Censuré, décrié, très vite le film aura fait parler de lui, l'assassinat de son auteur peu avant la sortie en salle accordant encore d'avantage de singularité au "mythe".
Inutile de le nier, Salo contient des scènes d'une violences physiques extrêmes, renferme son lot de perversions et d'humiliations, toujours montrées avec une inhumaine froideur d'où naît un malaise à la limite du dégout. Aucune complaisance donc, dans cet étalage de crudités abjects privé de toute forme d'érotisme. Seul la dureté des traitements infligés et la répugnance qui en résulte doivent retenir l'attention du spectateur. Il y a une forme de transgression derrière cela. Pasolini cherche à franchir les lois tacites que le cinéma s'était imposé, à savoir ce que l'on peut ou ne peut pas montrer à l'écran. Une façon de démonter les mécanismes d'intolérance du spectateur. Mais ceci n'est qu'un schème annexe. Le but premier de Salo, se situe ailleurs.
Pier Paolo Pasolini est un cinéaste de gauche, pour ne pas dire d'extrême gauche. Dans les années 70, l'Italie est aux mains de la démocratie chrétienne, parti politique qui manifeste son mécontentement face à l'opposition par de violentes répressions, que les actes terroristes à répétitions n'ont pas atténués...bien au contraire. Pour Pasolini, le pouvoir en place n'est qu'un prolongement du fascisme de Mussolini. Ainsi, cette guerre politique se trouve être en plein coeur des réflexions de l'artiste italien lorsque l'idée de Salo lui trotte dans la tête. Le parallèle entre le fascisme et le film, une fois remis dans son contexte, est d'une évidence rare, et transforme une fiction perverse en un véritable pamphlet politique.
Le film met en scène des hommes de pouvoir qui s'exerce à asseoir leur domination par pure jouissance. La symbolique fasciste se répercute donc dans cette relation sadomasochiste. Les captifs, comparables au peuple, sont réduits à l'état d'animal, d'homme-objets, à une masse de corps impuissants et serviles destinés à satisfaire les désirs toujours plus extrêmes de leur bourreaux. Pasolini nous dit : "voilà ce qu'est le fascisme". Et la grande force de cette accusation, est d'y impliquer physiquement le spectateur. Car le dégout que ce dernier ressent en visionnant les images, l'oblige à exécrer le triste spectacle qui défile sous ses yeux, et condamner les pratiques du régimes que Pasolini dénonce. Ainsi, les innombrables critiques assassines dont furent l'objet Salo, prouve que le film a atteint son but. Pasolini, grand visionnaire cherche également avec ce film, à dénoncer ce qu'il appelle "une nouvelle forme de fascisme". Le consumérisme. Ici, le sexe n'est que marchandise à consommer. Pas de passion, pas d'érotisme. Voilà pourquoi le film est aussi froid. Tout amour sincère, toute la beauté de l'acte sexuel passionné est irrémédiablement détruit à l'exemple de ces deux jeunes mariés qui décident de faire l'amour, mais que l'on arrête immédiatement. La destruction est peut-être bien la jouissance ultime pour ces quatre seigneurs.
Oui, le film est dur. Mais il n'en demeure pas moins un film magistralement orchestré, doté d'une construction narrative réfléchie, et d'un message politique évident.
J'ai comme l'impression d'avoir perdu mon temps. J'ai autre chose à faire dans ma vie que de voir des gens manger leurs excréments pendant 2h. "C'est un classique du genre, les scènes sont insoutenables !" --> Euh, non. J'suis pas mal une chochotte mais là euh c'etait juste pas mal chiant. "Ca dénonce la société nazie de l'époque !" --> Non. C'est des gens qui mangent leur caca. Ca dénonce juste les gens qui mangent leur caca, à la limite, j'vous l'accorde.
35 ans après, le film choque toujours autant le spectateur... Il ne fallait qu'oser comme l'à fait Pasolini pour bien dénoncer la société fasciste. Mais, peut-être hormis quelques minutes, il n'y à pas de violence visuelle à proprement parler, mais de la violence psychologique. Et c'est narré avec une telle poésie que ça nous mets mal à l'aise. Un film culte dont on n'en ressors pas indemne, à ne pas mettre entre toutes les mains...
Certains considèrent Pasolini comme un génie, moi je le considère comme un gros tas de merde puant. Franchement, regardez Oedipe Roi ou Théorème et dites-moi si c'était pas les moments les plus chiants de votre misérable existence ! Les 120 Journées de Sodome, c'est pareil ! C'est lent, c'est moche, c'est ennuyeux, c'est même pas sulfureux ! Sans déconner je ferai mater ça à mes enfants, ça les fera marrer ! Ça a tellement vieilli, c'est juste ridicule et irregardable. Et c'est la preuve que Pasolini est mauvais ! Les véritables chefs-d'oeuvre ne vieillissent jamais, tout l'inverse de ce pédéraste dégénéré. Si vous voulez voir un film intéressant et qui décalque la tête, regardez Canine !
Certainement l’un des films le plus choquant que j’ai vu. L’histoire se déroule à Salo en Italie, État fasciste fondé en 1943 par Mussolini et contrôlé par la Wehrmacht, où 4 individus riche et puissant décident de rassembler 9 garçons et 9 filles dans un manoir pour assouvir leur perversion les plus vils. Il est intéressant de préciser que ces 4 personnes exercent des fonctions ayant accès au pouvoir : duc, évêque, juge et président. Ainsi la religion, la noblesse, la justice et la politique est pointé du doigt par le réalisateur et dénonce les horreurs de la société bourgeoise vis-à-vis du fascisme. On peut y voir une perversion de l’homme, du mal et des atrocités qu’il est capable de faire : une perversion physique (humiliations, tortures), et une perversion du pouvoir (le totalitarisme exercé par les 4 individus). On assiste à des scènes particulièrement horrible et à vomir, où la cruauté et le sadisme est de plus en plus palpable avec des scènes d’humiliation, de viols, scatophilie et torture, bref un film à déconseillé aux âmes sensibles. Personnellement ce film ne m’a pas vraiment emballé, malgré que la critique du réalisateur soit intéressante, bien évidemment ce film n’est pas fait pour plaire, mais au contraire ce film inspire le dégout, de la révolte et de la haine. D’ailleurs je pense que ce film ne mérite aucune note, comment peut-on noté un film qui a pour but qu’on le déteste ? Donc, ce film ne m’a pas vraiment plu mais néanmoins, je respecte ce film qui réussi à adapter une œuvre de Sade et la transpose en une critique du fascisme et du totalitarisme, de manière révulsante mais efficace.
On croirais revoir Les Petits Mouchoirs... Quel intérêt à montrer le quotidien des vacances d'un groupe de riches dans leur villa Florentine ... Film d'une banalité affligeante, sans aucune originalité qui se permet même d'avoir vieilli.