Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Gaspard Ulliel a magnifié de sa beauté singulière et de sa gravité particulière des rôles complexes, souvent sombres. Il avait souvent été tragique, fragile et vacillant, comme dans ce film, voyage sublime avant le grand départ.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Plus que jamais a ceci de beau : c’est un film sur la vie malgré la mort.
Marie Claire
par Vincent Cocquebert
Entre le mélodrame conjugal et la quête existentielle de son héroïne (formidable Vicky Krieps), le film d’Emily Atef trouve des résonances encore plus bouleversantes avec le décès tragique de son acteur principal Gaspard Ulliel, tout en désespoir contenu, dont c’est ici le dernier rôle.
Ouest France
par Thierry Cheze
Emily Atef aborde la fin de vie en évitant le mélo larmoyant grâce à la sensualité lumineuse qui émane de sa mise en scène et de ses interprètes.
20 Minutes
par Caroline Vié
« Plus que jamais » confronte une trentenaire à une maladie incurable. Son mari, incarné par Gaspard Ulliel, accepte mal qu’elle décide de partir seule en Norvège. Emilie Atef interroge les choix de fin de vie avec pudeur et sobriété.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Malgré un sujet lourd, traité sans misérabilisme, la comédienne luxembourgeoise Vicky Krieps, qui incarne Hélène, irradie de sa présence solaire, face à Gaspard Ulliel, plus en retenue mais tout autant bouleversant. Entre eux, se dégage une alchimie saisissante qui crève l'écran.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Elle
par Françoise Delbecq
Une "Love Story" plus fjord que jamais, interprétée par la lumineuse Vicky Krieps (à couper le souffle) et le subtil Gaspard Uliel.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Emily Atef brosse le portrait d’une femme condamnée qui ne veut plus partager sa maladie. Mais nous offre un film d’amour d’une vertigineuse sensualité, dans les grands espaces norvégiens. Le dernier rôle de Gaspard Ulliel. Bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par La Rédaction
On n’oubliera pas cet été pas comme les autres, ces paysages apaisants, cette liberté, ce rayonnement.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Emily Atef dresse le portrait impressionniste d'une femme qui désire en finir avec l'existence en toute liberté. Remarquablement interprété par Vicky Krieps et Gaspard Ulliel (dans l'un de ses derniers rôles), ce beau film, malgré la noirceur de son sujet, se distingue par sa délicatesse et son étrange douceur.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Avec son nouveau film, le dernier tourné par le regretté Gaspard Ulliel, Emily Atef creuse le sillon d’un cinéma à la simplicité sophistiquée, qui explore avec intelligence et sans céder au pathos la psychologie humaine. Vicky Krieps livre une performance lumineuse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Dans ce film où la pudeur règne partout en maître, la cinéaste fait preuve d’une rare délicatesse et refuse avec intransigeance les facilités mélodramatiques et le sensationnalisme.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Paris Match
par Yannick Vely
Beau film sur la maladie et l'acceptation de la mort, «Plus que jamais» offrait au regretté Gaspard Ulliel un très beau rôle d'homme amoureux.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Eithne O’Neill
Ces sujets douloureux, ancrés dans la réalité et a priori lugubres, sont abordés avec une finesse intuitive qui les transforme en expériences positives, voire en visions lumineuses. Face à l’imminence d’une mort prématurée, Plus que jamais nous touche et nous inspire.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Tout le récit se joue sur cet éloignement qui n’en est pas un, qui au contraire, vise la hauteur d’un amour débarrassé des contraintes habituelles. Un amour réitéré comme un serment, lourd comme un adieu.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Voici
par La Rédaction
Entre le mélodrame conjugal et la quête existentielle, Plus que jamais, tout dernier film de Gaspard Ulliel, derrière ses résonances tragiques, touche en plein coeur.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Une ode à l’amour et à la vie qui pose avec pudeur la question du droit de chacun à disposer de sa fin de vie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Le souci d’exactitude constant du film pourrait devenir franchement étouffant s’il n’était porté par une Vicky Krieps qui, après Phantom Thread ou Serre-moi fort, insuffle de nouveau dans chaque plan une sensibilité vibrante.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Si le scénario n’échappe pas toujours à une certaine raideur théorique, la caméra d’Emily Atef capte la vie, sa fragilité comme sa force de résilience. Face à elle, une Vicky Krieps instinctive et impulsive, révoltée et résignée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Un film pudique, oppressant et doux, simple et lumineux, sur une jeune femme condamnée par sa maladie, marqué par le dernier rôle de Gaspard Ulliel.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Entre Paris et les fjords, une lente et lumineuse agonie se déroule avec grâce et douceur. Le film pâtit de la disparition brutale de son acteur. C'est elle qui meurt, mais on a l'impression d'assister à ses derniers instants à lui.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Emily Atef signe un mélodrame touchant, quoique attendu [...] qui vaut pour l’interprétation de Vicky Krieps, entre force et vulnérabilité, et surtout Gaspard Ulliel, lumineux, minimaliste et plus subtil que sa partenaire dans un rôle moins évident.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Murielle Joudet
Car Plus que jamais ne peut être qu’une étrange expérience de cinéma, puisqu’il figure la dernière apparition de son acteur Gaspard Ulliel, mort accidentellement dans la neige à l’âge de 37 ans.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
On voudrait essayer de voir le film tel qu’il est, mais c’est un autre qui s’offre à nous. Un changement s’opère, une inversion de tous les éléments prend possession du film, court- circuité par des forces qui le dépassent. On regarde Gaspard Ulliel une dernière fois et ce que l’on voit à l’image n’est plus l’histoire d’une femme mourante mais celle d’une femme sommée de s’éloigner de l’être aimé pour supporter son absence.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Critikat.com
par Julie Mengelle
La linéarité de Plus que jamais enferme le film dans une résolution faussement ouverte.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Télérama
par Marie Sauvion
Mélo délicat, tellement qu’il en devient parfois atone, Plus que jamais étire sa première partie, urbaine, sombre, étouffante, plus que de raison. C’est dans la seconde, baignée de lumière, que le long métrage sort enfin du cadre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dernières Nouvelles d'Alsace
Gaspard Ulliel a magnifié de sa beauté singulière et de sa gravité particulière des rôles complexes, souvent sombres. Il avait souvent été tragique, fragile et vacillant, comme dans ce film, voyage sublime avant le grand départ.
Le Dauphiné Libéré
Plus que jamais a ceci de beau : c’est un film sur la vie malgré la mort.
Marie Claire
Entre le mélodrame conjugal et la quête existentielle de son héroïne (formidable Vicky Krieps), le film d’Emily Atef trouve des résonances encore plus bouleversantes avec le décès tragique de son acteur principal Gaspard Ulliel, tout en désespoir contenu, dont c’est ici le dernier rôle.
Ouest France
Emily Atef aborde la fin de vie en évitant le mélo larmoyant grâce à la sensualité lumineuse qui émane de sa mise en scène et de ses interprètes.
20 Minutes
« Plus que jamais » confronte une trentenaire à une maladie incurable. Son mari, incarné par Gaspard Ulliel, accepte mal qu’elle décide de partir seule en Norvège. Emilie Atef interroge les choix de fin de vie avec pudeur et sobriété.
CNews
Malgré un sujet lourd, traité sans misérabilisme, la comédienne luxembourgeoise Vicky Krieps, qui incarne Hélène, irradie de sa présence solaire, face à Gaspard Ulliel, plus en retenue mais tout autant bouleversant. Entre eux, se dégage une alchimie saisissante qui crève l'écran.
Elle
Une "Love Story" plus fjord que jamais, interprétée par la lumineuse Vicky Krieps (à couper le souffle) et le subtil Gaspard Uliel.
La Voix du Nord
Emily Atef brosse le portrait d’une femme condamnée qui ne veut plus partager sa maladie. Mais nous offre un film d’amour d’une vertigineuse sensualité, dans les grands espaces norvégiens. Le dernier rôle de Gaspard Ulliel. Bouleversant.
Le Parisien
On n’oubliera pas cet été pas comme les autres, ces paysages apaisants, cette liberté, ce rayonnement.
Les Echos
Emily Atef dresse le portrait impressionniste d'une femme qui désire en finir avec l'existence en toute liberté. Remarquablement interprété par Vicky Krieps et Gaspard Ulliel (dans l'un de ses derniers rôles), ce beau film, malgré la noirceur de son sujet, se distingue par sa délicatesse et son étrange douceur.
Les Fiches du Cinéma
Avec son nouveau film, le dernier tourné par le regretté Gaspard Ulliel, Emily Atef creuse le sillon d’un cinéma à la simplicité sophistiquée, qui explore avec intelligence et sans céder au pathos la psychologie humaine. Vicky Krieps livre une performance lumineuse.
Marianne
Dans ce film où la pudeur règne partout en maître, la cinéaste fait preuve d’une rare délicatesse et refuse avec intransigeance les facilités mélodramatiques et le sensationnalisme.
Paris Match
Beau film sur la maladie et l'acceptation de la mort, «Plus que jamais» offrait au regretté Gaspard Ulliel un très beau rôle d'homme amoureux.
Positif
Ces sujets douloureux, ancrés dans la réalité et a priori lugubres, sont abordés avec une finesse intuitive qui les transforme en expériences positives, voire en visions lumineuses. Face à l’imminence d’une mort prématurée, Plus que jamais nous touche et nous inspire.
Sud Ouest
Tout le récit se joue sur cet éloignement qui n’en est pas un, qui au contraire, vise la hauteur d’un amour débarrassé des contraintes habituelles. Un amour réitéré comme un serment, lourd comme un adieu.
Voici
Entre le mélodrame conjugal et la quête existentielle, Plus que jamais, tout dernier film de Gaspard Ulliel, derrière ses résonances tragiques, touche en plein coeur.
aVoir-aLire.com
Une ode à l’amour et à la vie qui pose avec pudeur la question du droit de chacun à disposer de sa fin de vie.
Cahiers du Cinéma
Le souci d’exactitude constant du film pourrait devenir franchement étouffant s’il n’était porté par une Vicky Krieps qui, après Phantom Thread ou Serre-moi fort, insuffle de nouveau dans chaque plan une sensibilité vibrante.
L'Obs
Si le scénario n’échappe pas toujours à une certaine raideur théorique, la caméra d’Emily Atef capte la vie, sa fragilité comme sa force de résilience. Face à elle, une Vicky Krieps instinctive et impulsive, révoltée et résignée.
La Croix
Un film pudique, oppressant et doux, simple et lumineux, sur une jeune femme condamnée par sa maladie, marqué par le dernier rôle de Gaspard Ulliel.
Le Figaro
Entre Paris et les fjords, une lente et lumineuse agonie se déroule avec grâce et douceur. Le film pâtit de la disparition brutale de son acteur. C'est elle qui meurt, mais on a l'impression d'assister à ses derniers instants à lui.
Le Journal du Dimanche
Emily Atef signe un mélodrame touchant, quoique attendu [...] qui vaut pour l’interprétation de Vicky Krieps, entre force et vulnérabilité, et surtout Gaspard Ulliel, lumineux, minimaliste et plus subtil que sa partenaire dans un rôle moins évident.
Le Monde
Car Plus que jamais ne peut être qu’une étrange expérience de cinéma, puisqu’il figure la dernière apparition de son acteur Gaspard Ulliel, mort accidentellement dans la neige à l’âge de 37 ans.
Les Inrockuptibles
On voudrait essayer de voir le film tel qu’il est, mais c’est un autre qui s’offre à nous. Un changement s’opère, une inversion de tous les éléments prend possession du film, court- circuité par des forces qui le dépassent. On regarde Gaspard Ulliel une dernière fois et ce que l’on voit à l’image n’est plus l’histoire d’une femme mourante mais celle d’une femme sommée de s’éloigner de l’être aimé pour supporter son absence.
Critikat.com
La linéarité de Plus que jamais enferme le film dans une résolution faussement ouverte.
Télérama
Mélo délicat, tellement qu’il en devient parfois atone, Plus que jamais étire sa première partie, urbaine, sombre, étouffante, plus que de raison. C’est dans la seconde, baignée de lumière, que le long métrage sort enfin du cadre.