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    Tár
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    Cris Pour Les Intimes
    Cris Pour Les Intimes

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 février 2023
    Bande annonce et synopsis attrayants, je me laisse tenter. Min dieu quelle erreur !!!
    C'est long... mais que c'est long... In..ter..mi..nable !!! 2h38 qui pourraient se réduire à 1h30. On attend impatiemment la fameuse descente aux enfers que nous annonce le synopsis, et elle arrive 2h20 après le début du film. Et qui plus est, sans le moindre détail de l'événement à l'origine de cette chute. Sauf à être un adorateur de Kate et ou du réalisateur, FUYEZ !!!!
    Sofia Benbella
    Sofia Benbella

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 février 2023
    Le plus nul de tous les films je me suis tellement ennuyé que j avais juste hâte qu il se termine !!!
    Aucune séance n est terminée jusqu au bout il est trop long sii seulement j avais su je n aurai jamais gaspillé mon après midi a regarder un film si ennuyeux je ne le conseille à personne
    Pascale Pellegrin
    Pascale Pellegrin

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 février 2023
    A la fois grandiose et étrange
    Cate Blanchett excellente
    Au départ j ai eu un peu de mal mais peu à peu s installe une atmosphère particulière qui laisse présager quelque chose d un peu lourd
    Le fond est intéressant et nous laisse entrevoir le monde de la musique un peu opaque
    Sur la forme je trouve qu il y a des longueurs et parfois c est pour moi un peu brouillon et donc difficile à comprendre
    Mais il faut le voir car très très intéressant !
    baybays
    baybays

    2 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 février 2023
    Trop long, faussement intello, peu d'histoire... Film qui aurait pu être bien mais finalement pénible. Heureusement qu'il y a Cate mais ça ne suffit pas.
    Alexandre Cacheux
    Alexandre Cacheux

    55 abonnés 531 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 février 2023
    Grandeur et décadence d'une femme chef d'orchestre. Il n'y a pas loin du Capitole à la roche tarpéienne...
    Film à l'esthétique fascinante et au montage particulier. Tár est une expérience cinématographique singulière.
    Ça passe ou ça casse...
    Cate Blanchett est tout simplement époustouflante.
    SYLVIE B.
    SYLVIE B.

    25 abonnés 196 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 février 2023
    Cate Blanchett , une pure merveille, nul doute qu'un oscar lui revienne . Mais le film est un peu long malgré tout
    Maxime Cochard
    Maxime Cochard

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 février 2023
    Il entre d’ores et déjà dans la catégorie des meilleurs films de 2023 et pourrait se hisser encore plus haut. Cela tient en moins de dix mots : Tár de Todd Field est un chef d’œuvre.

    Nous voilà devant le faux biopic d’une chef d’orchestre aussi géniale que glaciale, Lydia Tár. Elle dirige la philharmonie de Berlin. Le film commence par deux grandes scènes qui donnent le ton, comme deux mouvements denses et superbes d’une symphonie d’aujourd’hui. D’abord une « masterclass » entre Lydia Tár et un journaliste, qui permet de dresser le portrait de l’héroïne : sommité de la musique, chef acclamé, auteur d’un futur livre sur elle-même — Tár by Tár, rien que ça.

    Ensuite un cours à Julliard, conservatoire supérieur privé de musique de New York de réputation internationale, où Cate Blanchett virevolte devant ses élèves dans un plan séquence virtuose de dix minutes. Oratrice magnétique, elle exécute l’un de ses élèves, un millenial woke qui se refuse à jouer Bach car c’est un « homme blanc cisgenre ». Le décor est planté.

    Travail acharné

    Dans une mise en scène âpre et épurée, on suit le chef d’orchestre, abrupt parce que génial, de Berlin à New York, en voiture avec chauffeur, dans sa vie : répétitions, scènes conjugales, moments de solitude. Lignes pures, modernité somptueuse. Nous sommes dans un univers d’élite intellectuelle, de travail acharné, de rivalités sinistres, aussi.

    Lydia Tár, élève de Bernstein et spécialiste de Gustav Mahler, a les défauts qu’on prête aux grands hommes : Todd Field propose le portrait d’une personnalité écrasante, tyrannique et peut-être perverse. Peut-être, car le film sème des indices sans jamais trancher. Il ne se départit pas de la nécessaire subtilité, d’un sens de la nuance qui l’éloigne des pensums didactiques. Il n’y a pas là de démonstration. Simplement la radiographie éminemment pertinente de notre époque.

    Cate Blanchett a dû elle-même fournir un travail titanesque pour jouer le rôle. Plonger dans l’univers de la très grande musique. Se pénétrer de la gestuelle d’un chef, d’un pianiste. Jongler avec l’anglais, l’allemand et ici ou là le français. Entrer dans la peau d’une psychotique. L’actrice, engagée corps et âme dans le projet, en est d’ailleurs également la co-productrice. Pour cette performance hors du commun, chacun s’attend à la voir récolter une myriade de récompenses — après les Golden Globes — totalement méritées.

    La culture de l’effacement en pleine lumière

    Et Tár pourrait bien être le premier grand film sur la cancel culture, dit-on déjà. Il porte aussi sur un personnage borderline, drogué au travail et au succès, qui s’enferme petit à petit dans sa folie. C’est en outre une réflexion sur la création et les créateurs. Sur le pouvoir, enfin. Rivalités, haines et désirs. Carriérisme, opportunisme et chausse-trapes existent dans tous les groupes humains, mais dans ce milieu-là, ils ont l’excuse d’être censés servir rien moins que l’art.

    Avec cette fresque de près de trois heures dépourvue de la moindre longueur — c’est un exploit ­—, la critique est à juste titre dithyrambique. Mais Tàr reste un objet filmique mal identifié au sein d’une production hollywoodienne globalement archi-politiquement correcte. Aussi certains ont-ils du mal à y retrouver leurs petits. Marin Alsop, chef d’orchestre américain, a été la première à déterrer la hache de guerre : « Sur beaucoup d’aspects, Tàr semblait s’inspirer de ma vie. Mais après l’avoir visionné […] j’ai été offensée : en tant que femme, en tant que cheffe d’orchestre, en tant que lesbienne ». Offensant, le mot est lâché. Comme la meilleure preuve que le film et son héroïne, en décrivant froidement les mécanismes de la culture de l’effacement, tapent en plein dans le mille.

    Le retour de Jdanov

    Le grand tort du long métrage, selon les nouveaux maîtres penseurs, est en effet de montrer une femme imparfaite et même capable de coups bas. Ce faisant, Todd Field et Cate Blanchett tournent le dos au jdanovisme contemporain qui exige que chaque fiction ne décrive que des personnages positifs, bienveillants et conformes à la doxa : « Avoir l’opportunité de représenter une femme dans ce rôle et en faire une agresseuse, j’ai trouvé cela navrant. Je pense que toutes les femmes et féministes devraient être dérangés [sic] par ce type de représentation », poursuit Alsop — confondant fiction et réalité — courageusement relayée par Radio France.

    Certains préfèrent d’ailleurs croire que Tàr s’inscrit dans le grand consensus « sororal » des années 2020. Ce film qui met en scène une héroïne géniale et écrasante, qui rejette explicitement le féminisme victimaire, ne serait-il pas, en réalité, un film « sur la puissance toute relative des femmes face à un monde qui ne veut pas se débarrasser du patriarcat ? », se demande ainsi gravement Paris Match.

    Ou comment les lunettes idéologiques du moment peuvent empêcher de comprendre, et même tout simplement de voir, une œuvre décisive.
    Sabine
    Sabine

    7 abonnés 118 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 février 2023
    Il y a énormément de choses qui m'ont plu dans ce film. Tout d'abord l'esthétisme. L'image est sobre mais belle (cadrage, éclairage, mouvements de caméra). C'est très construit et particulièrement bien filmé. Ensuite l'ambiance mystérieuse et un peu angoissante mais sans excès. J'ai aimé le rythme, les différentes phases. Enfin l'histoire, troublante et pathétique. La présence de la musique classique (Mahler en plus) ajoute beaucoup. Cela donne une autre dimension émotionnelle comme dans Un cœur en hiver, ou à la Pianiste, films qui associaient déjà à la musique classique, la froideur. Est-ce l'exigence évidente de la musique classique qui amènerait certains de ceux qui la pratiquent intensément à avoir des comportements arrogants, voire misanthropes ? Quoiqu'il en soit le personnage interprétée par Cate Blanchett, qui est quasiment de tous les plans, est dérangeant mais fascinant. Un film que j'ai envie de revoir...
    mister Yepi
    mister Yepi

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 février 2023
    Mon sentiment est que ce film a été réalisé pour que Cate Blanchett ait l'Oscar (ou l'Emmy, ou le Golden Globe). Les thèmes qui m'ont attirés, 1, les relations de pouvoir dans l'univers de la musique classique (de très haut niveau), 2, la façon dont on "fabrique" cette musique, sont finalement éclipsés par de longues scènes sur les réflexions, commentaires, humeurs de Lydia Tar. On aurait élagué le film d'une vingtaine de minutes (je pense notamment à cet entretien initial qui dure des plombes et ne sert à rien), tout aurait été plus léger, plus cohérent, moins ennuyeux... Même le passage sur la cancel culture est traité de manière un peu anecdotique... Bon, ça n'est pas un navet pour autant, Blanchett est une excellent actrice, mais elle écrase trop les autres personnages, pas par son talent, mais par la place trop importante que lui donne le réalisateur. Content de voir Noémie Merlant se faire une place au milieu de tout ça, après sa très bonne prestation dans l'Innocent.
    cortomanu
    cortomanu

    72 abonnés 414 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 février 2023
    Pourquoi de plus en plus de films sont ils inutilement longs ?
    Tár ne répond pas à la question mais n'échappe pas à cette désagréable et inutile manie.
    Ça commence par un générique en début de films qui n'en finit pas.
    Ça continue par des scènes de verbiage musicologiques qui ne sont pas toutes indispensables pour camper les personnages et les situations.
    C'est dommage car le rythme n'est déjà pas très rapide. Si l'atmosphère froide et étouffante attachée au personnage de Tár est bien rendue, était il nécessaire d'enfoncer le clou à répétition ? Par exemple, pourquoi répéter les scènes un peu fantastiques où de rêves alors qu'une où deux auraient suffit pour faire impression. Hitchcock n'avait besoin que d'un plan de 10 secondes pour marquer son spectateur de façon inoubliable.
    C'est franchement dommage car Cate Blanchett et tout le casting est nickel.
    Un bon film qui a failli être un très très bon film.
    Alolfer
    Alolfer

    120 abonnés 1 094 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 février 2023
    Vu au cinéma , Tar de Todd Field va être surtout être marquant par Cate Blanchett et la réalisation. Et encore, je trouve le film assez mou (surtout au milieu du film, et la fin) Dommage car le film commençait bien . Cate Blanchett est surprenante dans son rôle (elle porte le film à elle toute seule)
    VeganForAnimalRights
    VeganForAnimalRights

    130 abonnés 216 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 février 2023
    On ne sait trop si le réalisateur est un misogyne qui s'ignore (voire qui se revendique comme tel, par-delà une bien-pensance qu'il conchie d'ailleurs merveilleusement) ou s'il est un féministe qui a voulu dénoncer la misogynie sociale. Pourquoi l'héroïne n'est-elle forte qu'en apparence ? Pourquoi a-t-on cru bon d'en faire une lesbienne jouant le rôle d'un homme dans son couple, au point de la faire se présenter elle-même comme "le père" de sa fille ? Pourquoi la question de l'âge et de la beauté est-elle omniprésente, à travers le personnage rebutant de la voisine (laide, frisant la débilité) et de sa mère, parangon de la déchéance - mais aussi à travers celui de la jeune virtuose élue, qui renvoie Tar à sa propre finitude ? Pourquoi, enfin, en faire une hystérique (poncif sexiste), une manipulatrice et une harceleuse sexuelle, quand ce sont majoritairement les hommes qui se rendent coupables de tels actes ?...
    Autant d'éléments suspects qui n'ont pas échappé à la sagacité de Marin Alsop, la célèbre cheffe d'orchestre américaine, à propos de "Tar".
    Lainlain
    Lainlain

    4 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 février 2023
    Un film qui commence par le générique de fin et qui n'a effectivement ni queue ni tête. Trop long, dialogues plats, une manière de filmer décousue, une intrigue alibi. Un film prétentieux sur la musique dans lequel on s'ennuie et où l'on ne comprend presque rien. Et je n'étais manifestement pas le seul dans la salle...
    GUY5ATTLAN
    GUY5ATTLAN

    1 abonné 12 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 février 2023
    ce film est une nullité je l ai vu avec ma fille tous les deux on s est retenus de ne pas partir au milieu du film en fait il n y a pas d'histoire
    en fait je l ai vu après une bonne critique de première le magazine . que dire du manque de scenario
    dommage j aime bien cate blanchet
    Jacques Chaussepied
    Jacques Chaussepied

    1 abonné 4 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 février 2023
    Chef d'œuvre. Austère, mais complexe et riche. Cate Blanchett admirable. Je suis sorti sur un petit nuage.
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