Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
35 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
La descente aux enfers de son personnage, après des accusations de harcèlement, se révèle spectaculaire.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Culturopoing.com
par Eléonore Vigier
Le cinéaste parvient à distiller les prémisses d’une descente aux enfers et d’un effondrement social, où la folie et la rage viennent s’installer progressivement avant de tout détruire, dans une symphonie assourdissante.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
GQ
par Adam Sanchez
Tár est un film impitoyable, salement incommode mais heureusement exigeant. De cette exigence que l’on a vu disparaître dans le cinéma d’auteur américain, égaré en postures morales et manichéisme facile, et qu’il faudrait davantage chérir.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Figaro
par Eric Neuhoff
En chef d’orchestre au sommet de sa gloire, Cate Blanchett frôle le génie. Et contribue à faire de ce film sur l’abus de pouvoir un chef-d’œuvre.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Une chose reste sûre : de bout en bout, le scénario de ce basculement captive le spectateur sans jamais se perdre (malgré la longueur du récit, 2h38).
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Murielle Joudet
Cela faisait bien longtemps qu’un film, un vrai film d’auteur, n’avait pas autant passionné le public, qu’un personnage fictif n’avait pas suscité autant d’engouement et de commentaires.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Réalisateur rare, Todd Field signe avec « Tár » un grand film symphonique, inclassable et inquiétant, porté par une composition impériale de Cate Blanchett.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Ouest France
par Thierry Cheze
Cate Blanchett livre une nouvelle composition renversante.
Positif
par Éric Derobert
Le portrait de cette chef d’orchestre, maestra assoluta dans un monde d’hommes, est l’occasion d’une fable politique à la fois éternelle et terriblement actuelle, en même temps que la fascinante description d’un milieu fermé. [Une] éclatante réussite [...].
Télérama
par Marie Sauvion
L’Américain Todd Field signe un film tendu et hanté, d’une maîtrise folle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Une complexité qui fait tout le sel de ce film brillant, examen très contemporain des dynamiques toxiques de pouvoir et de leurs diverses conséquences.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Tár est à l’image des œuvres symphoniques qu’il met en valeur : formidablement dense, puissant et fascinant d’un bout à l’autre du récit.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par François-Xavier Taboni
Le portrait d’un personnage complexe et intimidant, qui aimante la caméra du cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Guillaume Orignac
Car le véritable ébranlement du personnage se cache derrière les péripéties de sa chute : moins une affaire de cancel culture qu’une emprise obsessionnelle des signes acoustiques qui vont progressivement lui faire perdre le sens du rythme.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Une étude de personnage portée par une Cate Blanchett stratosphérique.
Ecran Large
par Geoffrey Crété
TÁR n'est jamais aussi riche et fascinant que lorsque Todd Field laisse le spectateur se frayer un chemin dans ce labyrinthe de doutes, de troubles et de silences. Dommage que la dernière partie change de tempo, et fasse ressentir la durée anormale du film.PS : Évidemment, Cate Blanchett est renversante.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un grand film, on ne peut plus contemporain.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un portrait grinçant qui explore l’hypothèse d’un #MeToo au féminin.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Du portrait legato, sobre et circonstancié, d’une artiste-démiurge, que ne renierait pas un Michael Haneke, son film glisse spiccato vers un drame cauchemardesque à l’ironie très polanskienne.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Lucas Charrier
Grand film de maîtrise (…) C’est une œuvre en résonance avec le monde.
Le Parisien
par La Rédaction
On retiendra la mise en scène, époustouflante, et la composition sidérante de Cate Blanchett dans le rôle-titre, qui commence à lui valoir une cascade de prix d’interprétations dans les grandes cérémonies du cinéma, avec les Oscars en point de mire.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Florence Colombani
Une oeuvre passionnante et mystérieuse qui fait déjà figure de classique.
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Faux biopic de génie sur un génie et ses excès, Tár consacre les talents de Cate Blanchett et du trop rare Todd Field.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Le film accompagne avec une sorte de lenteur fataliste et un souci du subtil détail la chute d’une cheffe d’orchestre mondialement reconnue. Mais sa matière est hétérogène et digressive.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Lamm
Etude de caractère d’une cheffe d’orchestre aussi géniale qu’abusive, le film de Todd Field dissèque le pouvoir et ses excès.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Benjamin Locoge
Film immense sur la puissance toute relative des femmes face à un monde qui ne veut pas se débarrasser du patriarcat, «Tar» se déguste comme une symphonie cinématographique des âmes complexes et tourmentées, en éternelle quête d’identité. Mais en musique s’il vous plait.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thomas Baurez
La mise en scène implacable de Todd Field avance à découvert, ne cherche aucune dissimulation.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Peignant le choc thermique entre le Vieux Monde et une société fragmentée 2.0, narrant l’hypocrisie de l’un comme de l’autre, Tár est d’une pure beauté formelle, servie par de multiples références musicales comme par une subtile tension narrative.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Julien Rousset
D’emblée, ce qui frappe, c’est la singularité de la mise en scène, sa rigueur, son austérité, sa composition en longs plans d’une netteté chirurgicale, dans une palette glaçante, mortuaire, entre le noir et le gris. On comprend que Todd Field va nous emmener loin, très loin.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 2 semaines
par C. Ch.
Un film brillant, servi par une Cate Blanchett au sommet de son art.
Critikat.com
par Alexandre Moussa
Tár, premier film de Todd Field après quinze ans de silence, n’est sans doute pas le chef-d’œuvre annoncé, mais reste un excellent Blanchett-movie, au sens où l’actrice y trouve un rôle à sa démesure.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Faut-il se comporter comme un homme quand on est une femme pour accéder au pouvoir ? C’est la question centrale de Tár de Todd Field, ascension et chute d’une cheffe d’orchestre incarnée avec brio par Cate Blanchett dans un film intéressant mais trop long pour son propre bien.
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Tár, comme Cate Blanchett, joue de l’ambiguïté avec une certaine forme de brio. On pourra néanmoins regretter que sa subtilité se cache derrière une lenteur et une longueur qui le rende si peu accessible.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Ce portrait d’une femme d’exception explore les liaisons dangereuses entre pouvoir et manipulation. Il peut rebuter par son austérité, son érudition intimidante, il agace autant qu’il fascine par sa peinture chic du milieu élitiste de la musique classique.
La Croix
par Emmanuelle Giuliani
Portée par une Cate Blanchett impérieuse, la descente aux enfers d’une cheffe d’orchestre adulée n’évite ni les longueurs, ni les poncifs.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
20 Minutes
La descente aux enfers de son personnage, après des accusations de harcèlement, se révèle spectaculaire.
Culturopoing.com
Le cinéaste parvient à distiller les prémisses d’une descente aux enfers et d’un effondrement social, où la folie et la rage viennent s’installer progressivement avant de tout détruire, dans une symphonie assourdissante.
GQ
Tár est un film impitoyable, salement incommode mais heureusement exigeant. De cette exigence que l’on a vu disparaître dans le cinéma d’auteur américain, égaré en postures morales et manichéisme facile, et qu’il faudrait davantage chérir.
Le Figaro
En chef d’orchestre au sommet de sa gloire, Cate Blanchett frôle le génie. Et contribue à faire de ce film sur l’abus de pouvoir un chef-d’œuvre.
Le Journal du Dimanche
Une chose reste sûre : de bout en bout, le scénario de ce basculement captive le spectateur sans jamais se perdre (malgré la longueur du récit, 2h38).
Le Monde
Cela faisait bien longtemps qu’un film, un vrai film d’auteur, n’avait pas autant passionné le public, qu’un personnage fictif n’avait pas suscité autant d’engouement et de commentaires.
Les Echos
Réalisateur rare, Todd Field signe avec « Tár » un grand film symphonique, inclassable et inquiétant, porté par une composition impériale de Cate Blanchett.
Ouest France
Cate Blanchett livre une nouvelle composition renversante.
Positif
Le portrait de cette chef d’orchestre, maestra assoluta dans un monde d’hommes, est l’occasion d’une fable politique à la fois éternelle et terriblement actuelle, en même temps que la fascinante description d’un milieu fermé. [Une] éclatante réussite [...].
Télérama
L’Américain Todd Field signe un film tendu et hanté, d’une maîtrise folle.
Voici
Une complexité qui fait tout le sel de ce film brillant, examen très contemporain des dynamiques toxiques de pouvoir et de leurs diverses conséquences.
aVoir-aLire.com
Tár est à l’image des œuvres symphoniques qu’il met en valeur : formidablement dense, puissant et fascinant d’un bout à l’autre du récit.
Bande à part
Le portrait d’un personnage complexe et intimidant, qui aimante la caméra du cinéaste.
Cahiers du Cinéma
Car le véritable ébranlement du personnage se cache derrière les péripéties de sa chute : moins une affaire de cancel culture qu’une emprise obsessionnelle des signes acoustiques qui vont progressivement lui faire perdre le sens du rythme.
CinemaTeaser
Une étude de personnage portée par une Cate Blanchett stratosphérique.
Ecran Large
TÁR n'est jamais aussi riche et fascinant que lorsque Todd Field laisse le spectateur se frayer un chemin dans ce labyrinthe de doutes, de troubles et de silences. Dommage que la dernière partie change de tempo, et fasse ressentir la durée anormale du film.PS : Évidemment, Cate Blanchett est renversante.
Franceinfo Culture
Un grand film, on ne peut plus contemporain.
L'Humanité
Un portrait grinçant qui explore l’hypothèse d’un #MeToo au féminin.
L'Obs
Du portrait legato, sobre et circonstancié, d’une artiste-démiurge, que ne renierait pas un Michael Haneke, son film glisse spiccato vers un drame cauchemardesque à l’ironie très polanskienne.
La Septième Obsession
Grand film de maîtrise (…) C’est une œuvre en résonance avec le monde.
Le Parisien
On retiendra la mise en scène, époustouflante, et la composition sidérante de Cate Blanchett dans le rôle-titre, qui commence à lui valoir une cascade de prix d’interprétations dans les grandes cérémonies du cinéma, avec les Oscars en point de mire.
Le Point
Une oeuvre passionnante et mystérieuse qui fait déjà figure de classique.
Les Fiches du Cinéma
Faux biopic de génie sur un génie et ses excès, Tár consacre les talents de Cate Blanchett et du trop rare Todd Field.
Les Inrockuptibles
Le film accompagne avec une sorte de lenteur fataliste et un souci du subtil détail la chute d’une cheffe d’orchestre mondialement reconnue. Mais sa matière est hétérogène et digressive.
Libération
Etude de caractère d’une cheffe d’orchestre aussi géniale qu’abusive, le film de Todd Field dissèque le pouvoir et ses excès.
Paris Match
Film immense sur la puissance toute relative des femmes face à un monde qui ne veut pas se débarrasser du patriarcat, «Tar» se déguste comme une symphonie cinématographique des âmes complexes et tourmentées, en éternelle quête d’identité. Mais en musique s’il vous plait.
Première
La mise en scène implacable de Todd Field avance à découvert, ne cherche aucune dissimulation.
Rolling Stone
Peignant le choc thermique entre le Vieux Monde et une société fragmentée 2.0, narrant l’hypocrisie de l’un comme de l’autre, Tár est d’une pure beauté formelle, servie par de multiples références musicales comme par une subtile tension narrative.
Sud Ouest
D’emblée, ce qui frappe, c’est la singularité de la mise en scène, sa rigueur, son austérité, sa composition en longs plans d’une netteté chirurgicale, dans une palette glaçante, mortuaire, entre le noir et le gris. On comprend que Todd Field va nous emmener loin, très loin.
Télé 2 semaines
Un film brillant, servi par une Cate Blanchett au sommet de son art.
Critikat.com
Tár, premier film de Todd Field après quinze ans de silence, n’est sans doute pas le chef-d’œuvre annoncé, mais reste un excellent Blanchett-movie, au sens où l’actrice y trouve un rôle à sa démesure.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Faut-il se comporter comme un homme quand on est une femme pour accéder au pouvoir ? C’est la question centrale de Tár de Todd Field, ascension et chute d’une cheffe d’orchestre incarnée avec brio par Cate Blanchett dans un film intéressant mais trop long pour son propre bien.
Le Dauphiné Libéré
Tár, comme Cate Blanchett, joue de l’ambiguïté avec une certaine forme de brio. On pourra néanmoins regretter que sa subtilité se cache derrière une lenteur et une longueur qui le rende si peu accessible.
Télé 7 Jours
Ce portrait d’une femme d’exception explore les liaisons dangereuses entre pouvoir et manipulation. Il peut rebuter par son austérité, son érudition intimidante, il agace autant qu’il fascine par sa peinture chic du milieu élitiste de la musique classique.
La Croix
Portée par une Cate Blanchett impérieuse, la descente aux enfers d’une cheffe d’orchestre adulée n’évite ni les longueurs, ni les poncifs.