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The Good girl parvient à traiter de l'ennui sans être lui-même ennuyeux (...). La richesse des répliques, la justesse de l'interprétation et les particularités des différents personnages, tant les premiers que les seconds rôles, font de cette seconde collaboration Mike White-Miguel Arteta une totale réussite, subtile et sans artifices.
Appréciée à Sundance et à Deauville, cette tranche de vie douce-amère comporte ce qui fait le prix des meilleurs films indépendants américains : une sincérité dans la façon de traiter un sujet grave, ici l'adultère (...) ; des personnages denses (...) ; une subtilité dans la direction d'acteurs (...).
La critique complète est disponible sur le site Positif
(...) Un petit film bien foutu qui, parmi les Hulk et autres Drôles de dames 2, représente vaillamment ce courant minoritaire du cinéma américain qui s'intéresse aux grands problèmes des petites gens.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ce petit film sait ainsi faire entendre en sourdine sa voix discordante. Il bouscule gentiment le conformisme, pour en montrer finalement le triomphe mortifère.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Le film de Miguel Arteta se construit autour d'une héroïne moins rassurante qu'il n'y paraît. Au bout du compte, The Good Girl, malgré quelques moments drôles, n'est pas vraiment une comédie, et est à l'évidence dépourvu de romantisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Un éclat qui vire à l'incendie, le scénario signé White évitant le piège d'un romantisme neuneu, préférant s'avancer dans un environnement de plus en plus noir et décalé, quelque part entre les frères Coen et American Beauty.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
(...) Le scénario, qui montre d'abord crûment la réalité, tourne à la fiction limite, à coups de meilleur ami dérangé, hold-up, grossesse douteuse... Tout cela sans que Jennifer Aniston ne montre la moindre émotion, ce qui parfois est drôle, mais donne surtout l'impression d'un décalage qui n'a pas lieu d'être.
Histoire d'adultère, histoire ordinaire, cette tragi-comédie pessimiste dans la grisaille de l'Amérique profonde est avant tout un portrait de femme étonnant. Ramassée en elle-même, ambiguë, décoiffée, Jennifer Aniston est épatante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ici, c'est plutôt la dépression et l'étroitesse de la vie quotidienne qui inspirent el réalisateur et son metteur en scène. Avec un certain brio et un traitement très réaliste, toutefois plus consensuel et bien moins grinçant que leur film précédent.
Hélas, il faut plus que le maigre talent du réalisateur pour oublier, sous la blouse de travail de la caissière texane, la médiatique épouse de Brad Pitt.
A ceux qui craignent d'avance le spectacle de l'ennui et de la banalité, on déconseille le film, à moins qu'ils ne soient lassés des fausses démonstrations de force de quelques productions US récentes ou des recettes "auteuristes" qui font ce qu'on considère aujourd'hui comme "le meilleur cinéma américain".
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
MCinéma.com
The Good girl parvient à traiter de l'ennui sans être lui-même ennuyeux (...). La richesse des répliques, la justesse de l'interprétation et les particularités des différents personnages, tant les premiers que les seconds rôles, font de cette seconde collaboration Mike White-Miguel Arteta une totale réussite, subtile et sans artifices.
Positif
Appréciée à Sundance et à Deauville, cette tranche de vie douce-amère comporte ce qui fait le prix des meilleurs films indépendants américains : une sincérité dans la façon de traiter un sujet grave, ici l'adultère (...) ; des personnages denses (...) ; une subtilité dans la direction d'acteurs (...).
Première
(...) Un petit film bien foutu qui, parmi les Hulk et autres Drôles de dames 2, représente vaillamment ce courant minoritaire du cinéma américain qui s'intéresse aux grands problèmes des petites gens.
Aden
Ce petit film sait ainsi faire entendre en sourdine sa voix discordante. Il bouscule gentiment le conformisme, pour en montrer finalement le triomphe mortifère.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Miguel Arteta évoque l'ennui, la dépression, le désir d'amour et l'envie d'ailleurs avec justesse et sobriété.
Le Monde
Le film de Miguel Arteta se construit autour d'une héroïne moins rassurante qu'il n'y paraît. Au bout du compte, The Good Girl, malgré quelques moments drôles, n'est pas vraiment une comédie, et est à l'évidence dépourvu de romantisme.
Les Inrockuptibles
Une comédie à rebrousse-poil dans un bled du Texas, par les auteurs de Chuck & Buck. (...) Un bon film.
Novaplanet.com
Un éclat qui vire à l'incendie, le scénario signé White évitant le piège d'un romantisme neuneu, préférant s'avancer dans un environnement de plus en plus noir et décalé, quelque part entre les frères Coen et American Beauty.
Ouirock.com
(...) Le scénario, qui montre d'abord crûment la réalité, tourne à la fiction limite, à coups de meilleur ami dérangé, hold-up, grossesse douteuse... Tout cela sans que Jennifer Aniston ne montre la moindre émotion, ce qui parfois est drôle, mais donne surtout l'impression d'un décalage qui n'a pas lieu d'être.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Jennifer Aniston, enfin sortie de "Friends", est parfaite : elle est la seule raison raison d'exister de ce film. Ou de le voir.
Télérama
Histoire d'adultère, histoire ordinaire, cette tragi-comédie pessimiste dans la grisaille de l'Amérique profonde est avant tout un portrait de femme étonnant. Ramassée en elle-même, ambiguë, décoiffée, Jennifer Aniston est épatante.
Zurban
Ici, c'est plutôt la dépression et l'étroitesse de la vie quotidienne qui inspirent el réalisateur et son metteur en scène. Avec un certain brio et un traitement très réaliste, toutefois plus consensuel et bien moins grinçant que leur film précédent.
Cahiers du Cinéma
Hélas, il faut plus que le maigre talent du réalisateur pour oublier, sous la blouse de travail de la caissière texane, la médiatique épouse de Brad Pitt.
Chronic'art.com
A ceux qui craignent d'avance le spectacle de l'ennui et de la banalité, on déconseille le film, à moins qu'ils ne soient lassés des fausses démonstrations de force de quelques productions US récentes ou des recettes "auteuristes" qui font ce qu'on considère aujourd'hui comme "le meilleur cinéma américain".
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr