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Alienor S
2 abonnés
15 critiques
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1,0
Publiée le 23 mai 2022
Nul Je suis partie au bout d d'une heure Hystérique Surjoue Invraisemblable Marion Cotillard parle entre ses dents Ses sourires sont factices Personnages outranciers Comment peut on encenser ce film?
Encore détentrice de la carte illimitée (peut-être pas pour longtemps) et ne sachant que voir étant donné les nombreux navets son nous sert, j'ai voulu tenter ce film inepte. Déstructuré au possible, personnages et situations ridicules, d'un ennui mortel , ce ratage que je n'ai pu suivre jusqu'à la fin va peut-être marquer la fin de mon abonnement. On s'étonne que la public délaisse les salles .. Quoi de plus normal? ET si on laissait leur chance aux gens non connus ?
film ennuyeux et pretentieuxt on ne ressent aucune émotion. l'interpretation des acteurs est mediocre longs gros plans sur les visages avec des yeux ahuris. c'est un film bobo , dans toute sa splendeur
Je ne suis pas fan de Desplechin que je trouve surcoté comme Albert Dupontel mais là ce film me l’a confirmer davantage. «Frère et Soeur» est un récit lent, mollasson, sans envergure et amer qui ne se révèle pas si palpitant que cela. Emporter par deux acteurs pourtant assez excellent en général. Si Melvil Poupau cabotine, Marion Cotillard se manifeste comme souvent époustouflante. Sa prestation incandescente est à vous briser le cœur. Elle est pour moi la seule force du film dans un vide complet artistique et philosophique de bas étage signé Desplechin.
Pour exprimer rapidement ce que nous avons pensé de ce film : Il est NUL !! Les acteurs sont beaux et jouent bien, mais à part ça ?!! Pas de scénario, aucune explication à tout ce qui se passe dans ce film, les morts, les accidents, cette mère qui n’a pas aimé ses enfants, cette haine entre frère et sœur. Arnaud Desplechin s’est regardé le nombril, et ses acteurs avec lui. Résultat : du pathos pendant 1h30, noyé dans une grosse couche de pathos !! De ce film, il ne restera rien. Il ne rend pas service au cinéma français ! A oublier d’urgence ! D’ailleurs c’est déjà fait
On ne peut pas enlever à Desplechin la fluidité de sa mise en scène, sa capacité à glisser sur les visages et les situations avec une grâce parfois surnaturelle.
Pour le reste, ce film est raté et c'est très curieux qu'il ait eu l'honneur de la compétition à Cannes 2022 alors que Trois histoires de ma jeunesse, bien meilleur, ne l'avait pas eu.
Le jeu de Marion Cotillard et de Melvil Poupaud ne permet à aucun moment ne donner corps à ce couple, et de comprendre la véritable consistance de leur relation. Finalement, la nature de leur haine mutuelle n'est jamais vraiment compréhensible, et leur rabibochage sur le sol d'un supermarché n'est guère crédible.
Il y a beaucoup de maladresses dans le film, assez peu habituelles chez Desplechin : la scène du vol au-dessus de Lille est par exemple d'un ridicule consommé. Les flashbacks en regardant les albums photos sont aussi d'une lourdeur inhabituelle chez le réalisateur nordiste. Et enfin le personnage de la jeune roumaine n'apporte à mon avis strictement rien au film.
Il règne aussi dans le film une ambiance bobo (drogue, alcool, cigarettes, état d'âme d'artistes) qui sent un peu l'entre soi.
A noter qu'un des rares points forts du film est la prestation réussie de Patrick Timsit dans le rôle du copain compréhensif, qui parvient à ménager la chèvre et le chou au milieu de cette famille compliquée.
Un échec, le deuxième consécutif après le pauvre Tromperie.
Une ambiance pesante dès le départ. Un conflit familial. On ne sait pas pourquoi mais c’est violent, c’est profond, ce n’est pas de la petite querelle passagère d’autant que le spectateur en est pris à témoin lors du deuil d’un enfant. De quoi capter l’attention pour la suite pour comprendre. La suite ce sera un accident automobile. Il est indéniable que sur le plan de la mise en scène, c’est tourné avec un grand réalisme qui fait d’ailleurs froid dans le dos. Spectateurs ayant pu vivre déjà une telle situation, attention à ce que ça ne réveille pas un traumatisme. Ça mériterait un avertissement. Le voilà ici avec mes quelques mots. Bon et puis après ? La détestation absolue, la haine même, entre le frère et la sœur restent omniprésents alors que la famille se rassemble pour la disparition accidentelle du père et de la mère. Décidément, les deuils successifs servent de fil conducteur à la narration de cette tension entre le frère et la sœur. Mais on ne sait toujours pas pourquoi. Par moment, il y a quelques éléments d’explication qui semblent émerger. Mais las... On entend parler de nudité, celle de l’interdit religieux. Bon sang, nudité... Y aurait-il eu quelque chose entre le frère et la sœur que la morale et la loi (pas seulement celle de Dieu) réprouve et sanctionne même ? On ne saura pas. En permanence on attend pourtant pour savoir. A la façon d’un thriller on se dit que c’est à la fin que tout va se révéler, que les pièces du puzzle vont s’assembler. Mais las encore. Allez-y au cas où ce serait moi qui ai raté quelque chose, mais je crains que le cinéma dit d’auteur ait encore fait le choix de l’abscons en reportant toute la charge de la bonne compréhension sur les spectateurs. Même l’allégorique, on n’y a pas échappé ! Ceux qui me lisent savent que je considère que l’allégorie dans un scénario c’est pour palier à la difficulté (ou à la paresse) de développer le propos.
Film de colères, d'hystéries pour écorchés bobos. Les 5 premières minutes nous mettent l'eau à la bouche. Mais cela fait pschitt car cela part dans tous les sens : les scènes se succèdent, comme juxtaposées, comme les chapitres d'un roman de Marguerite Duras. Tentative de suicide, amputation, interview écourtée, balade à cheval du psychiatre, haine inexpliquée, frère gay, évanouissements, fuites,... Cotillard déprime, Poupaud boit et nous spectateurs, nous rongeons notre frein en silence...
Alice (Marion Cotillard) et Louis (Melvil Poupaud) sont frère et sœur. Ils s’entendaient très bien dans leur jeunesse mais se détestent à présent. Ils vont être amenés à se croiser suite à l’accident de leurs parents. Dès le début du film, j’ai tiqué sur le jeu des acteurs, tout me semblait sonner faux, cette première impression ne m’a pas quittée de tout le film, quelle que soit la scène, et l’interprète. Les situations sont créées pour le besoin de l’histoire mais n’ont rien de vrai et naturel (spoiler: la réconciliation du frère et de la sœur arrive d’un coup ), les personnages passent d’une humeur à l’autre sans raison, les dialogues sont fabriqués (spoiler: exemple lorsque le pharmacien parle du mauvais temps à Marion Cotillard qui vient chercher des antidépresseurs, répondant que le temps est à l’image de son humeur ). Quant à la fin du film, spoiler: elle m’a laissée sur ma “faim” (aucune explication détaillée de l'origine de la brouille entre les deux, juste des évidences qu’on imaginait dès le début, sans avoir besoin de tout un film) .
Un "Desplechin" est toujours attendu !!! Qui plus est en sélection à Cannes, je me délectais à l'avance.... Quelle déception !!!! Le titre, ainsi que la B.A. faisaient bonne figure, mais le visionnage est pénible, j'avoue. Un scénario ? pas vu, pas compris.....On ne sait pas pourquoi cette haine entre Alice (Marion Cotillard) et Louis (Melvil Poupaud), même s'il y a cette perte d'un enfant à 6 ans, mais aucun indice ne laisse une piste, sinon une sérieuse atteinte mentale la concernant. Vraiment dommage, car ce Casting alléchant nous laisse sur notre faim - je suis curieux de lire peut être ce que je n'ai pas compris.... La meilleure impression de ce film, c'est bien Patrick Timsit dans un rôle à contre courant, parfait. Un raté fâcheux dans ce "Cannes 2022" vraiment déconcertant, qui me fait penser à la dernière défaite du PSG face au Real (Sauf que là on a compris)....!!**
Ce film est époustouflant... car je crois n'en avoir jamais vu d'autre où chaque scène, du début à la fin, sonne faux ! Les acteurs, qui sont tous connus et ont tous pu être bons dans d'autres films, sont ici très mauvais, outranciers, passant du rire aux larmes en une seconde, de la maladie à la pleine santé, de la haine à l'amour, de la normalité aux idées suicidaires... Melvil Poupaud, Marion Cotillard (rictus permanent avec yeux plissés et bouche relevée, chuchotement ridicule), Golshifteh Farahani et le jeune homme à la tête de hobbit, ils sont tous mauvais : la faute, très probablement, au scénario qui ne tient pas debout. JAMAIS PLUS je ne me fierai aux critiques Presse. Ce film sonne la fin de mon intérêt pour celles-ci. On voit bien qu'elles sont dictées par autre chose que la qualité du film (tiens, ça fait furieusement penser à Illusions Perdues !)
Une vraie déception ! rien mais rien dans ce film n'est intéressant....tout reste beaucoup trop superficiel , il y a des longueurs inutiles et aucun dénouement surprenant vient expliquer les raisons de cette brouille entre frère et sœur. Une perte de temps et d'argent !
En 2022, Arnaud Desplechin signe un long-métrage sur le thème de la famille et plus particulièrement les relations délétères entre un frère et une sœur (Melvil Poupaud et Marion Cotillard). Les deux acteurs portent le film à eux seuls même si la prestation à contre-emploi de Patrick Timsit mérite d’être soulignée. La première partie plutôt dramatique demeure bien ficelée, mais le récit finit par s’éparpiller dans une succession d’intrigues secondaires et souvent inutiles. Avec ce parti pris de ne pas dévoiler l’origine de la discorde, le réalisateur axe uniquement son sujet sur la haine fraternelle sans permettre au spectateur d’en mesurer l’intensité. Bref, une œuvre qui frise l’hystérie sans jamais fournir d’antidote.