Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Rarement un film aura exprimé avec autant de clarté qu’il n’existe aucune raison valable pour haïr quelqu’un au-delà de soi-même.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Cela s’appelle la grâce. Desplechin maîtrise son sujet de A jusqu’à Z. Les images sont sa langue naturelle. Il n’a pas peur des mots non plus. C’est un athlète complet du cinéma. On pensait qu’il était l’héritier de Truffaut. Il est en train de devenir notre Bergman.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Un an après « Tromperie », Arnaud Desplechin revient sur un terrain familier et les décors de Roubaix. Entre mélodrame et western, le cinéaste éclaire encore un puits de sentiments enfouis. Histoire d'une haine inexpliquée, « Frère et Sœur » est l'un de ses plus beaux films.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Positif
par Eithne O’Neill
Faisant écho à Rois et Reine et à Un conte de noël, Frère et Sœur innove par la clarté d’une ligne épurée qui ouvre sur un apaisement possible.
Public
par Sarah Lévy-Laithier
Un drame profondément intime et bouleversant.
Voici
par La Rédaction
Déchirant.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Tout le cinéma de Desplechin est contenu dans ce seul film (la famille, la mort, la maladie, le poids des héritages, les non-dits, l’ambivalence des sentiments, Roubaix, la littérature etc.) qui résonne peut-être comme un récit autobiographique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par La Rédaction
La beauté de Frère et soeur a rendu urgent notre désir de rencontrer Arnaud Desplechin.
Closer
par La Rédaction
Un duel/duo de comédiens bien dirigés et justes.
Elle
par Marguerite Baux
Par la grâce du duo Marion Cotillard/ Melvil Poupaud, Arnaud Desplechin revient sur ses personnages de frère et soeur ennemis pour tenter de les réconcilier.
L'Obs
par Sophie Grassin
Le film, où l’on vide l’appartement des parents en compulsant l’album de famille comme dans le documentaire « l’Aimée » (2007), solde les comptes du passé et des batailles enragées. La projection possible vers un ailleurs. Un miracle rendu possible par la grâce des deux acteurs.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Arnaud Desplechin renoue avec la veine familiale dans ce drame flamboyant et infiniment humain qui voit un frère et une sœur, séparés depuis vingt ans par une haine tenace, se retrouver au chevet de leurs parents.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un drame familial très fort.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Mathieu Macheret
La détestation que se vouent Louis et Alice a beau les éloigner, elle est aussi ce qui les « noue » l’un à l’autre, ce qui les maintient, même à distance, ce qui les anime, même dans l’autodestruction.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Yves Jaeglé
Un duel somptueux au cœur d’un film magistral sur les conflits familiaux inextricables.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Alice hait son frère, Louis. À la mort de leurs parents, le temps est venu de se demander pourquoi. Desplechin décline et approfondit un des thèmes d’Un conte de Noël, et retrouve une ferveur qui, dernièrement, avait pu souvent lui faire défaut.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Gérard Lefort
Le film dévale au fil de ce suspense torrentueux. Tanguant, menaçant de tomber à l’eau, de disparaître dans un tourbillon, jamais sûr de ce qu’il ose raconter ni certain des moyens romanesques qu’il s’autorise. Une zone d’incertitudes permanentes, riche en fictions.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Marion Cotillard, Melvil Poupaud et Golshifteh Farahani sont bouleversants devant la caméra d' Arnaud Desplechi.
Première
par Thierry Cheze
Après le décevant Tromperie, Desplechin revient en grande forme avec un film où il explore les histoires d’amour/haine familiales avec une dextérité toujours aussi fascinante. Marion Cotillard y trouve un de ses plus beaux rôles.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
À la fois grave et léger, un grand Desplechin, magnifié par des acteurs qui nous séduisent d’autant plus qu’ils restent mystérieux jusqu’au bout.
Télérama
par Samuel Douhaire
Une chronique intense et lumineuse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CNews
par La rédaction
L’atmosphère est malheureusement assez pesante et l’enjeu du récit est plombé par un rythme inégal.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Critikat.com
par Marin Gérard
Sans être un grand film, Frère et sœur est le Desplechin le plus accompli depuis Trois souvenirs de ma jeunesse.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Le film va en déstabiliser plus d’un. Desplechin assume totalement, passe de la chronique au film de genre, raconte mais n’explique pas et autorise la fiction à sortir du cadre et des conventions narratives.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Libération
par Luc Chessel
Frère et Sœur, dont tout le propos affiché est d’oublier un peu le cinéma (ou la littérature) pour enfin parler de la vie, sans défense et sans protection, fait l’inverse. Il ne semble plus filmer aucun autre espace que stylistique, aucun temps autre que grammatical (le fameux «film à l’imparfait»).
Bande à part
Rarement un film aura exprimé avec autant de clarté qu’il n’existe aucune raison valable pour haïr quelqu’un au-delà de soi-même.
Le Figaro
Cela s’appelle la grâce. Desplechin maîtrise son sujet de A jusqu’à Z. Les images sont sa langue naturelle. Il n’a pas peur des mots non plus. C’est un athlète complet du cinéma. On pensait qu’il était l’héritier de Truffaut. Il est en train de devenir notre Bergman.
Les Echos
Un an après « Tromperie », Arnaud Desplechin revient sur un terrain familier et les décors de Roubaix. Entre mélodrame et western, le cinéaste éclaire encore un puits de sentiments enfouis. Histoire d'une haine inexpliquée, « Frère et Sœur » est l'un de ses plus beaux films.
Positif
Faisant écho à Rois et Reine et à Un conte de noël, Frère et Sœur innove par la clarté d’une ligne épurée qui ouvre sur un apaisement possible.
Public
Un drame profondément intime et bouleversant.
Voici
Déchirant.
aVoir-aLire.com
Tout le cinéma de Desplechin est contenu dans ce seul film (la famille, la mort, la maladie, le poids des héritages, les non-dits, l’ambivalence des sentiments, Roubaix, la littérature etc.) qui résonne peut-être comme un récit autobiographique.
Cahiers du Cinéma
La beauté de Frère et soeur a rendu urgent notre désir de rencontrer Arnaud Desplechin.
Closer
Un duel/duo de comédiens bien dirigés et justes.
Elle
Par la grâce du duo Marion Cotillard/ Melvil Poupaud, Arnaud Desplechin revient sur ses personnages de frère et soeur ennemis pour tenter de les réconcilier.
L'Obs
Le film, où l’on vide l’appartement des parents en compulsant l’album de famille comme dans le documentaire « l’Aimée » (2007), solde les comptes du passé et des batailles enragées. La projection possible vers un ailleurs. Un miracle rendu possible par la grâce des deux acteurs.
La Croix
Arnaud Desplechin renoue avec la veine familiale dans ce drame flamboyant et infiniment humain qui voit un frère et une sœur, séparés depuis vingt ans par une haine tenace, se retrouver au chevet de leurs parents.
La Voix du Nord
Un drame familial très fort.
Le Monde
La détestation que se vouent Louis et Alice a beau les éloigner, elle est aussi ce qui les « noue » l’un à l’autre, ce qui les maintient, même à distance, ce qui les anime, même dans l’autodestruction.
Le Parisien
Un duel somptueux au cœur d’un film magistral sur les conflits familiaux inextricables.
Les Fiches du Cinéma
Alice hait son frère, Louis. À la mort de leurs parents, le temps est venu de se demander pourquoi. Desplechin décline et approfondit un des thèmes d’Un conte de Noël, et retrouve une ferveur qui, dernièrement, avait pu souvent lui faire défaut.
Les Inrockuptibles
Le film dévale au fil de ce suspense torrentueux. Tanguant, menaçant de tomber à l’eau, de disparaître dans un tourbillon, jamais sûr de ce qu’il ose raconter ni certain des moyens romanesques qu’il s’autorise. Une zone d’incertitudes permanentes, riche en fictions.
Ouest France
Marion Cotillard, Melvil Poupaud et Golshifteh Farahani sont bouleversants devant la caméra d' Arnaud Desplechi.
Première
Après le décevant Tromperie, Desplechin revient en grande forme avec un film où il explore les histoires d’amour/haine familiales avec une dextérité toujours aussi fascinante. Marion Cotillard y trouve un de ses plus beaux rôles.
Télé 7 Jours
À la fois grave et léger, un grand Desplechin, magnifié par des acteurs qui nous séduisent d’autant plus qu’ils restent mystérieux jusqu’au bout.
Télérama
Une chronique intense et lumineuse.
CNews
L’atmosphère est malheureusement assez pesante et l’enjeu du récit est plombé par un rythme inégal.
Critikat.com
Sans être un grand film, Frère et sœur est le Desplechin le plus accompli depuis Trois souvenirs de ma jeunesse.
Paris Match
Le film va en déstabiliser plus d’un. Desplechin assume totalement, passe de la chronique au film de genre, raconte mais n’explique pas et autorise la fiction à sortir du cadre et des conventions narratives.
Libération
Frère et Sœur, dont tout le propos affiché est d’oublier un peu le cinéma (ou la littérature) pour enfin parler de la vie, sans défense et sans protection, fait l’inverse. Il ne semble plus filmer aucun autre espace que stylistique, aucun temps autre que grammatical (le fameux «film à l’imparfait»).