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L’énergie qui se dégage d’Une histoire d’amour apporte une chaleur unique à un film généreux, également porté par Marica Soyer, et Juliette Delacroix, éblouissantes de naturel en amantes comblées puis désunies.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
En adaptant la pièce au cinéma, Alexis Michalik a su se défaire de l'unité de temps, de lieu et d'action pour en faire un film émouvant et intense. Sans rien perdre en drôlerie. Une gageure.
Alexis Michalik capte l’air du temps dans un mélodrame lesbien, sans tomber dans la récupération, mais en construisant des personnages forts sur une histoire originale aux émotions inédites et nuancées.
Vivre, c’est aimer, et cette phrase toute simple, Michalik et sa troupe l’incarnent pleinement dans ce film qui donne envie de s’ouvrir et de ne pas jouer petit bras, mais plutôt de courir vite dans son existence pour ne pas en perdre une miette.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Au-delà de leurs prestations souvent bouleversantes, Juliette Delacroix et Marica Soyer, avec fraîcheur et énergie, cassent les habitudes d'un cinéma français qui a trop souvent tendance à fonctionner comme une petite troupe.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Séparation, cancer, mort brutale, alcoolisme… Au risque d’agacer, Michalik n’épargne pas ses personnages. Mais Une histoire d’amour a un charme indéniable.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Malgré les efforts des actrices et la fluidité d’une caméra qui semble danser avec ses protagonistes, la première partie peine à faire partager leur passion. Plus originale, la seconde satisfait mieux l’ambition du projet, par son mélange de tons entre comédie, émotion et onirisme [...].
L’homme-orchestre du théâtre contemporain adapte au cinéma l’une de ces pièces et en profite pour revisiter les codes de la comédie romantique et du mélodrame.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Séparation, maladie, deuil, fantômes… La barque est chargée, mais le passage à l’écran lui fait gagner en scènes subsidiaires et en légèreté. C’est ce qu’on retiendra malgré des tas de choses dispensables (séquences de danse et bons mots faciles : « Avec deux mamans, elle ne votera pas à droite »).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les sentiments ont beau être exacerbés, l’intrigue reste plombée par des personnages tellement écrasés par leurs douleurs qu’ils exaspèrent plus qu’ils n’émeuvent.
James L. Brooks aurait pu être ici un lointain modèle, si la manipulation du spectateur n’avait pas pris la place de l’humanisme, et les traits d’esprit filmés comme des slogans publicitaires, celle de la mise en scène.
On pourrait presque se laisser charmer par cet imaginaire d’adolescent fleur bleue si seulement Michalik ne donnait pas l’impression de doper son mélo à coups d’idées visuelles qu’on croyait réservées aux spots publicitaires pour des compagnies d’assurances.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Alexis Michalik a beau être le chouchou du théâtre français, son deuxième long métrage ne brille ni par l’originalité de sa mise en scène, ni par la finesse de son écriture. Empêtré dans ses grosses ficelles, ce mélodrame sonne faux du début à la fin.
Personnages réduits à des archétypes, rebondissements téléphonés, chantage à l’émotion… tout ce qui ne fonctionnait pas dans la pièce éclate ici plein écran. En changeant de registre, Michalik a perdu de sa fougue et de sa superbe.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
L’énergie qui se dégage d’Une histoire d’amour apporte une chaleur unique à un film généreux, également porté par Marica Soyer, et Juliette Delacroix, éblouissantes de naturel en amantes comblées puis désunies.
BIBA
En adaptant la pièce au cinéma, Alexis Michalik a su se défaire de l'unité de temps, de lieu et d'action pour en faire un film émouvant et intense. Sans rien perdre en drôlerie. Une gageure.
Franceinfo Culture
Alexis Michalik capte l’air du temps dans un mélodrame lesbien, sans tomber dans la récupération, mais en construisant des personnages forts sur une histoire originale aux émotions inédites et nuancées.
Le Parisien
Vivre, c’est aimer, et cette phrase toute simple, Michalik et sa troupe l’incarnent pleinement dans ce film qui donne envie de s’ouvrir et de ne pas jouer petit bras, mais plutôt de courir vite dans son existence pour ne pas en perdre une miette.
Les Echos
Au-delà de leurs prestations souvent bouleversantes, Juliette Delacroix et Marica Soyer, avec fraîcheur et énergie, cassent les habitudes d'un cinéma français qui a trop souvent tendance à fonctionner comme une petite troupe.
Ouest France
Le film ne contourne pas toujours l'écueil du mélo mais est porté par deux comédienne magnifiques.
Public
On ne ressort pas indemne de cette histoire de vie et d'amour pleine d'émotions, mais également d'humour et de fantaisie.
TF1 News
Une magnifique histoire d'amour entre deux femmes, qui nous fait passer du rire aux larmes en un clin d'œil.
La Croix
Séparation, cancer, mort brutale, alcoolisme… Au risque d’agacer, Michalik n’épargne pas ses personnages. Mais Une histoire d’amour a un charme indéniable.
Le Figaro
Saluons le jeu des comédiens (les mêmes que la pièce), empreint de justesse avec de beaux élans de sincérité.
Positif
Malgré les efforts des actrices et la fluidité d’une caméra qui semble danser avec ses protagonistes, la première partie peine à faire partager leur passion. Plus originale, la seconde satisfait mieux l’ambition du projet, par son mélange de tons entre comédie, émotion et onirisme [...].
Télérama
Le ridicule n’est jamais loin mais le film emporte l’adhésion grâce à des pointes d’humour bienvenues et au charme de son casting.
aVoir-aLire.com
L’homme-orchestre du théâtre contemporain adapte au cinéma l’une de ces pièces et en profite pour revisiter les codes de la comédie romantique et du mélodrame.
L'Obs
Séparation, maladie, deuil, fantômes… La barque est chargée, mais le passage à l’écran lui fait gagner en scènes subsidiaires et en légèreté. C’est ce qu’on retiendra malgré des tas de choses dispensables (séquences de danse et bons mots faciles : « Avec deux mamans, elle ne votera pas à droite »).
Le Journal du Dimanche
Les sentiments ont beau être exacerbés, l’intrigue reste plombée par des personnages tellement écrasés par leurs douleurs qu’ils exaspèrent plus qu’ils n’émeuvent.
Télé Loisirs
Malgré quelques situations comiques, le pathos, omniprésent, plombe le film.
Cahiers du Cinéma
James L. Brooks aurait pu être ici un lointain modèle, si la manipulation du spectateur n’avait pas pris la place de l’humanisme, et les traits d’esprit filmés comme des slogans publicitaires, celle de la mise en scène.
Le Monde
On pourrait presque se laisser charmer par cet imaginaire d’adolescent fleur bleue si seulement Michalik ne donnait pas l’impression de doper son mélo à coups d’idées visuelles qu’on croyait réservées aux spots publicitaires pour des compagnies d’assurances.
Les Fiches du Cinéma
Alexis Michalik a beau être le chouchou du théâtre français, son deuxième long métrage ne brille ni par l’originalité de sa mise en scène, ni par la finesse de son écriture. Empêtré dans ses grosses ficelles, ce mélodrame sonne faux du début à la fin.
Première
Personnages réduits à des archétypes, rebondissements téléphonés, chantage à l’émotion… tout ce qui ne fonctionnait pas dans la pièce éclate ici plein écran. En changeant de registre, Michalik a perdu de sa fougue et de sa superbe.