Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un fascinant aperçu de la complexité de ce personnage polymorphe, capable du pire comme du meilleur, à la fois vieux sage aborigène et diablotin occidentalisé.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par F.F
Méditation sur la mort, le film est à la fois une belle leçon de vie et un poignant portrait d’un homme élégant et empreint de spiritualité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
Malgré quelques longueurs, le film de Molly Reynolds parvient à saisir l’esprit de l’homme derrière les personnages, et lui rend un hommage sincère et touchant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Luc Chessel
Le film s’avère donc, formatage anglo-saxon mis à part, précieux voire intéressant en ce qu’il enregistre une page de l’histoire du cinéma, à un endroit où celle-ci communique avec l’histoire de l’humanité, de sa diversité menacée, de son uniformisation par la force.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Yann Tobin
Athlète complet de la culture aborigène qu’il impose à lui seul tout autour du globe, [...] [Gulpilil] est également l’exemple tragique de porte-parole d’une communauté opprimée [...]. De tout cela, le film rend compte avec justesse et émotion.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
La trajectoire fascinante d’un homme qui, au gré de ses envies, a pioché le pire et le meilleur de sa culture d’origine et de sa culture d’adoption pour se bâtir une vie à sa mesure.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Exercice aux accents herzogiens de reconquête de soi et de défi à la mort, My Name Is Gulpilil redouble le récit d’un pur fantôme de cinéma d’un autre, bien plus puissant : celui d’une existence tout entière et d’un homme dont la vie, comme les films, n’ont cessé de puiser à la source de ce sang « sans mélange » et de ce « temps des rêves » aborigène qui firent la gloire – et peut-être aussi la déchéance – de Gulpilil.
Le Journal du Dimanche
par Bap.T.
En résulte un documentaire en forme d’autoportrait dans lequel il se raconte et revient sur son incroyable parcours, du bush à Hollywood. Classique dans sa forme, il vaut pour la personnalité attachante de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par M. Dl.
Seul bémol : la préciosité plastique du film (les dessins de Gulpilil se fondent dans l’imagerie des scanners) prend le pas sur les souvenirs de tournage et les premières incursions de l’acteur dans un autre pays.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
My Name is Gulpilil est cette histoire d’un conteur bordélique, mystique et sensible, fier de raconter qu’il a fumé son premier joint avec Bob Marley, lui qui a connu les déjeuners avec la Reine d’Angleterre et les séjours en prison.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Emmanuelle Skyvington
Une odyssée onirique et bien réelle contée par un des acteurs aborigènes les plus célèbres d’Australie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Estelle Aubin
Mais le film balaie trop vite plusieurs épisodes de sa vie (moins reluisants), son alcoolisme notamment, ses déboires avec la justice, les violences contre sa femme. Et l’on finit par avoir l’impression que David radote. Ou pire encore, s’enorgueillit.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Humanité
Un fascinant aperçu de la complexité de ce personnage polymorphe, capable du pire comme du meilleur, à la fois vieux sage aborigène et diablotin occidentalisé.
L'Obs
Méditation sur la mort, le film est à la fois une belle leçon de vie et un poignant portrait d’un homme élégant et empreint de spiritualité.
Les Fiches du Cinéma
Malgré quelques longueurs, le film de Molly Reynolds parvient à saisir l’esprit de l’homme derrière les personnages, et lui rend un hommage sincère et touchant.
Libération
Le film s’avère donc, formatage anglo-saxon mis à part, précieux voire intéressant en ce qu’il enregistre une page de l’histoire du cinéma, à un endroit où celle-ci communique avec l’histoire de l’humanité, de sa diversité menacée, de son uniformisation par la force.
Positif
Athlète complet de la culture aborigène qu’il impose à lui seul tout autour du globe, [...] [Gulpilil] est également l’exemple tragique de porte-parole d’une communauté opprimée [...]. De tout cela, le film rend compte avec justesse et émotion.
aVoir-aLire.com
La trajectoire fascinante d’un homme qui, au gré de ses envies, a pioché le pire et le meilleur de sa culture d’origine et de sa culture d’adoption pour se bâtir une vie à sa mesure.
Cahiers du Cinéma
Exercice aux accents herzogiens de reconquête de soi et de défi à la mort, My Name Is Gulpilil redouble le récit d’un pur fantôme de cinéma d’un autre, bien plus puissant : celui d’une existence tout entière et d’un homme dont la vie, comme les films, n’ont cessé de puiser à la source de ce sang « sans mélange » et de ce « temps des rêves » aborigène qui firent la gloire – et peut-être aussi la déchéance – de Gulpilil.
Le Journal du Dimanche
En résulte un documentaire en forme d’autoportrait dans lequel il se raconte et revient sur son incroyable parcours, du bush à Hollywood. Classique dans sa forme, il vaut pour la personnalité attachante de son sujet.
Le Monde
Seul bémol : la préciosité plastique du film (les dessins de Gulpilil se fondent dans l’imagerie des scanners) prend le pas sur les souvenirs de tournage et les premières incursions de l’acteur dans un autre pays.
Les Inrockuptibles
My Name is Gulpilil est cette histoire d’un conteur bordélique, mystique et sensible, fier de raconter qu’il a fumé son premier joint avec Bob Marley, lui qui a connu les déjeuners avec la Reine d’Angleterre et les séjours en prison.
Télérama
Une odyssée onirique et bien réelle contée par un des acteurs aborigènes les plus célèbres d’Australie.
Première
Mais le film balaie trop vite plusieurs épisodes de sa vie (moins reluisants), son alcoolisme notamment, ses déboires avec la justice, les violences contre sa femme. Et l’on finit par avoir l’impression que David radote. Ou pire encore, s’enorgueillit.