Ce film est bof on connait l'histoire elle est devinable a l'avance les personage sont banales voir lourd et le scénario est nase l'heroine a de quoi nous enervé un film classique voir trop le voir une fois suffit
Quand les parents de Ruby et de son jeune frère Rhett sont tués dans un accident de voiture, leurs meilleurs amis, Erin et Terry Glass, deviennent leurs tuteurs. Les Glass promettent à Ruby et Rhett une vie bien meilleure en Californie pour leur faire oublier ce terrible événement. Tout ce que les enfants ont à faire, c'est de se laisser conduire en limousine vers une luxueuse villa de Malibu. Les Glass se montrent très attentionnés et répondent à tous leurs besoins : de nouveaux vêtements à la mode pour Ruby, deux consoles de jeux et un poste de télévision pour Rhett... Mais plus Ruby apprend à les connaître, moins elle se sent en sécurité. Elle va même jusqu'à soupçonner Erin et Terry d'y être pour quelque chose dans la mort de leurs parents. " La Prison de verre " est le tout premier long-métrage de Daniel Sackheim, à défaut d'être un timide coup d'essai, ce film n'est en aucun cas un coup de maître. Trop engoncé dans son classicisme, ce thriller psychologique use de tous les ingrédients propice à la réussite de l'entreprise, décors de rêve, personnages en apparences lisses, tension croissante, ambigüité dans les rapportes humains et rebondissement inattendus. Mais hélas, le scénario, bien trop prévisible et téléphoné, gâte très vite les déjà très faibles chances de succès du film. L'ennui s'installe donc rapidement. Un galop d'essai scabreux et extrêmement malhabile.
Voila l'exemple type parfait du thriller ancien: pas de "vrais" rebondissements, un suspence jusqu'à la dernière seconde, des protagonistes qui se collent parfaitement à leurs personnages et une ambiance glauque et très froide, autrement dit, un agréable divertissement!
Ce film d'une mièvrerie catastrophique ne révolutionnera jamais le genre. Les acteurs s'amusent comme ils veulent, mais l'histoire est d'une platitude innomable.
L'ambiance étrange, inquiétante et claustro qui se dégage du film est son principal (pour ne pas dire unique) atout. Les acteurs font se qu'ils peuvent pour rendre intéressante cette histoire aussi invraisemblable que prévisible. La réalisation est un peu molle et les personnages caricaturaux.
Rythme manquant de vitalité, séquences prévisibles, scènes de suspense qui ne parvient pas une seconde à nous faire frémir. Au final l'héroïne parvient à sauver le film par sa prestation remarquable ainsi qu'à son joli minois. Un bon thriller certes se laissant regarder aisément mais on reste sur sa faim.
Première réalisation pour Steve Antin, spécialiste des séries télévisées (il en a réalisé une dizaine), avec La Prison de verre (2002), il réalise un thriller « gentillet » dans le sens où le scénario, bien qu’étant relativement intéressant et original, la mise en scène, quant à elle, ne brille pas et reste classique du début à la fin. L’univers récrée ici, notamment dans les décors, est réussi, avec cette pièce maîtresse qu’est la fameuse prison de verre, cette maison faite de béton, de verre et d'acier aux lignes épurées, à l’ambiance glaciale et aseptisée. Son casting aussi est plutôt intéressant avec un duo crédible : Diane Lane & Stellan Skarsgard aux côtés de Leelee Sobieski. Mais malgré cela, aucune tension ne se fait ressentir, l’ensemble est relativement mou et la fin en rajoute des tonnes. A noter aussi qu’il existe un second opus sobrement intitulé La Prison de verre 2 (2006), un DTV sans grand intérêt.
"La Prison de verre" est un thriller qui fait monter la tension à un niveau acceptable jusqu'au dernier quart d'heure qui tombe dans des clichés débiles.
Un petit thriller de base réalisé par un réalisateur ayant fait ses preuves à la T.V. qui se laisse regarder même si ça ressemble plus à un téléfilm de luxe qu'autre chose entièrement balisé de A à Z et donc sans surprise. On peut se dire que Leelee Sobieski est plutôt mignonne tandis que le couple Lane/stellan skarsgard s'en sort bien mais ce n'est pas suffisant pour donner plus d'ampleur à un récit limité.