AlloCiné
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Votre avis sur Le Colibri ?
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Le Colibri, d'après le livre best-seller italien des années 2000, nous montre l'évolution dans le temps d'amis d'enfance, deux notamment qui ont toujours été amoureux mais ne sont jamais passés aux actes. Le film est traversé par plusieurs suicides, un peu sombres.
Excellent casting : -Nanni Moretti en psychanalyste ; Pierfrancesco Favino en acteur principal qui incarne l'homme quinqua mûr, posé ; Bérenice Bejo en femme inaccessible qui se donne à l'un des frères par la chair et à l'autre par le cœur.
C'est pas mal mais la couleur d'ensemble est assez sombre avec plusieurs morts (suicide, mort naturelle, euthanasie...)
Excellent casting : -Nanni Moretti en psychanalyste ; Pierfrancesco Favino en acteur principal qui incarne l'homme quinqua mûr, posé ; Bérenice Bejo en femme inaccessible qui se donne à l'un des frères par la chair et à l'autre par le cœur.
C'est pas mal mais la couleur d'ensemble est assez sombre avec plusieurs morts (suicide, mort naturelle, euthanasie...)
FORMIDABLE !! Emouvant, vrai; enfin bref une belle histoire de vie.
C'est avec plaisir que j'ai vu ce film.
De plus, la musique finale de film est magnifique à écouter également.
Allez voir ce film ; cela permet après d'avoir une réflexion sur sa propre vie et ce que l'on en fait......
C'est avec plaisir que j'ai vu ce film.
De plus, la musique finale de film est magnifique à écouter également.
Allez voir ce film ; cela permet après d'avoir une réflexion sur sa propre vie et ce que l'on en fait......
Scénario issu d un roman.vu sa complexité, il était certainement difficile de transcrire cette histoire en deux heures de film.malgré les acteurs et les décors, j ai décroché parfois . Je suis
sorti avec un sentiment confus d inachevé et de petite lourdeur. Dommage.
sorti avec un sentiment confus d inachevé et de petite lourdeur. Dommage.
Séduite par ce film fait de come back qui nous permettent de bien relier cette histoire dramatique. Acteurs incroyables, émotions garanties.
Septique avant d'aller le voir, je n'ai pas été déçu : excellent
Je ne comprends pas la critique de Mr T. Cheze. Il devait avoir mal dormi.
Du très bon Lelouche!
Je ne comprends pas la critique de Mr T. Cheze. Il devait avoir mal dormi.
Du très bon Lelouche!
Magnifique film qui nécessite cependant une très grande concentration pour ne pas perdre le fil de l'histoire avec ces flashbacks incessants.
On ne réussit à comprendre la vie de Marco que petit à petit, comme si l'on reconstituait un puzzle.
Un bémol sur la scène ultime dans laquelle les "vieillissements" sont excessifs et effrayants.
Très belle chanson sur le générique final.
On ne réussit à comprendre la vie de Marco que petit à petit, comme si l'on reconstituait un puzzle.
Un bémol sur la scène ultime dans laquelle les "vieillissements" sont excessifs et effrayants.
Très belle chanson sur le générique final.
Marco est un homme normal, né dans une famille Florentine aisée dans les années 1950. Appelé dès son plus jeune âge le colibri par ses parents en raison de sa petite taille, Marco va tout au long de sa vie adopter les traits de caractère du petit animal en dépensant toute son énergie à faire du sur-place. Portrait d'un homme au fil des âges de sa vie. En salle le 2 août.
spoiler: Le Colibri est une œuvre très surprenante par son format de puzzle temporel où les flashbacks deviennent l'essence même de la narration. Pas toujours facile de se repérer dans ce dédale d'époques et de personnages, qui représente bien le bazar d'une vie humaine. Car c'est bien de cela que traite le film : la vie d'un homme sous toutes ses coutures, toutes ses interactions avec les autres. Le Colibri amène une émotion qui atteint son pic dans la dernière minute, puissante mais qu'on ne peut accuser de tire-larmes. J'ai aimé l'univers de ce film et ce qu'il m'a raconté.
spoiler: Le Colibri est une œuvre très surprenante par son format de puzzle temporel où les flashbacks deviennent l'essence même de la narration. Pas toujours facile de se repérer dans ce dédale d'époques et de personnages, qui représente bien le bazar d'une vie humaine. Car c'est bien de cela que traite le film : la vie d'un homme sous toutes ses coutures, toutes ses interactions avec les autres. Le Colibri amène une émotion qui atteint son pic dans la dernière minute, puissante mais qu'on ne peut accuser de tire-larmes. J'ai aimé l'univers de ce film et ce qu'il m'a raconté.
velocio
Quand je pense que j'ai failli ne pas aller voir ce film à cause des critiques négatives que j'ai lues à droite et à gauche : mauvais mélo, ressemble à un mauvais Lelouch (ça, pour moi qui n'aime pas le cinéma de Lelouch, c'était le pire !), les innombrables flashbacks qui font qu'on n'y comprend rien, etc.. Franchement, j'ai bien fait de résister car, plus le film avançait, plus il me plaisait, pour se terminer par une scène dont je ne dirais rien sauf que je l'ai trouvée bouleversante. Des flashbacks, ou plutôt des sauts dans le temps, vers le passé, vers l'avenir, il y en a en effet une quantité incroyable, mais là, contrairement à de nombreux films où, en effet, il arrive très souvent qu'on ne sache plus à quelle époque se situe l'action, il y a, dans "Le colibri", une espèce de miracle, dû au talent de la réalisatrice : à chaque saut dans le temps, des sauts très brutaux, absolument pas annoncés, on comprend quasiment immédiatement à quel moment de la vie des personnages on arrive. L'action se déroule sur une cinquantaine d'années et se focalise avant tout sur le personnage de Marco Carrera, surnommé "Le colibri' quand il était jeune, un homme qui arrive à tenir debout malgré les fiascos qui s'accumulent tout au long de sa vie. Autour de lui, les personnages sont nombreux, parents, frère, sœur, amour de jeunesse qu'il n'arrive pas à oublier, épouse, fille, petite-fille, psychanalyste, etc. Dans une distribution somptueuse, on mettra particulièrement en avant Pierfrancesco Favino, toujours aussi prodigieux dans le rôle principal, et Bérénice Bejo qui joue son amour de jeunesse devenu adulte.
Film un peu compliqué par le nombre impressionnant de membres de la famille qui vont et viennent dans le passé, le présent et le futur, une vraie vie de famille italienne
L'atmosphère et la narration particulières du roman éponyme de Sandro Veronesi se retrouvent de manière très convaincante dans cette adaptation. Les acteurs et actrices sont très justes, l'image plaisante. Sans doute faut-il faire un effort pour suivre le récit et se laisser porter par les émotions de la vie et les faiblesses et indecisions du héros. Mais c'est un beau moment de cinéma et d'humanité.
Le colibri est un petit oiseau qui s'évertue à dépenser toute son énergie en restant sur place, c'est aussi une métaphore de la relation qui unit Marco Et Luisa pendant 50 ans entre bords de mer, Rome et Florence. C'est aussi un film sur la famille et le temps qui passe avec son lot de drames. Si la dernière scène est un véritable tire-larmes plutôt efficace, je suis resté plutôt dubitatif sur l'utilisation des prothèses de vieillissement pour les acteurs et sur la construction volontairement et souvent inutilement sinueuse.
"Le colibri" arrive sur nos écrans auréolé du slogan " le film de l'année en Italie".
C'est une grande saga qui suit de la jeunesse à sa mort Marco Carrera et une myriade de destins croisés au fil de sa vie.
Début des années 70. C'est au bord de la mer que Marco Carrera rencontre pour la première fois Luisa Lattes, une belle fille un peu particulière. C'est un amour qui ne sera jamais consommé mais qui ne s'éteindra jamais. La vie conjugale de Marco se déroulera à Rome, avec Marina et leur fille Adèle. En proie à un destin sinistre qui le soumet à de terribles épreuves, Marco se retrouve à Florence. Prêt à le protéger des pires coups du destin, Daniele Carradori, psychanalyste de Marina, apprend à Marco à faire face aux changements les plus inattendus de la vie.
J'aime bien en général ces sagas entre romantisme et histoire réelle mais cette fois ci je pense que la réalisatrice en a fait un peu trop dans le mélo et les situations à la limite du ridicule...
Pas mauvais mais pas le meilleur film de ce genre.
C'est une grande saga qui suit de la jeunesse à sa mort Marco Carrera et une myriade de destins croisés au fil de sa vie.
Début des années 70. C'est au bord de la mer que Marco Carrera rencontre pour la première fois Luisa Lattes, une belle fille un peu particulière. C'est un amour qui ne sera jamais consommé mais qui ne s'éteindra jamais. La vie conjugale de Marco se déroulera à Rome, avec Marina et leur fille Adèle. En proie à un destin sinistre qui le soumet à de terribles épreuves, Marco se retrouve à Florence. Prêt à le protéger des pires coups du destin, Daniele Carradori, psychanalyste de Marina, apprend à Marco à faire face aux changements les plus inattendus de la vie.
J'aime bien en général ces sagas entre romantisme et histoire réelle mais cette fois ci je pense que la réalisatrice en a fait un peu trop dans le mélo et les situations à la limite du ridicule...
Pas mauvais mais pas le meilleur film de ce genre.
C'est un film qui peut en agacer plus d'un avec ses allées et retours dans le passé, dans le futur, dans le présent, mais personnellement j'y vois une façon littéraire, poétique de rendre compte d'une vie et d'ailleurs, pour nous comprendre nous mêmes, faisons nous jamais autre chose? En plus ici, nous possédons une clef: le titre. Le colibri, en nos jours d'angoisse écologique, est ce tout petit oiseau qui apporte sa modeste mais décisive contribution à l'effort collectif. On pourrait lire la vie de Marco, le personnage principal de cette manière, lui qui s'efforce sans cesse de bien faire. Mais il y a une autre interprétation donnée par un autre personnage à ce surnom qui lui est attribué dès l'enfance: il est celui qui reste sur place à la force de ses battements d'ailes incessants. Oui Marco, durement éprouvé par la vie, est un fidèle, un constant, un loyal, un être rare et précieux qui nous donne une belle leçon de vie. Acteurs superbes. Extraordinaire scène de violence conjugale entre Marco et sa femme. Présence obsédante des lieux d'enfance, si beaux qu'on souhaite ne jamais les quitter justement et aussi y mourir. La vie est imparfaite, tellement ! mais rien ne vaut la vie.
Je vais ftenter de aire court. Je n’ai pas lu le livre originel. Ce film nous a happé, ma femme et moi, dès le début et nous avons savouré la succession de temporalités qui, loin d’embrouiller, éclaire parfaitement les évennements tout en laissant au spectateur le plaisir de comprendre…
Les acteurs jouent merveilleusement.
Une perle de finesse sans jamais jamais tomber dans un sentimentalisme exacerbé.
Je comprends que ce ne soit pas la tasse de thé tout le monde mais les critiques négatives souvent lues me semblent terriblement injustes.
Les acteurs jouent merveilleusement.
Une perle de finesse sans jamais jamais tomber dans un sentimentalisme exacerbé.
Je comprends que ce ne soit pas la tasse de thé tout le monde mais les critiques négatives souvent lues me semblent terriblement injustes.
L'histoire est pas mal mais j'ai eu du mal à accroché sur les retours au passés les scènes passées trop rapidement et elles étaient aussi confuses l'acteur est charismatique il joue très bien je l'ai découvert dans dernière nuit à Milan Bérénice bejo j'adore cette actrice elle joue bien mais là je trouve qu'elle apparaît peu les personnages sont attachants mais là je n'ai versé aucune larmes pourtant j'ai la larme facile je vous laisse vous faire votre propre opinion.
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