Derniers Avis : En plein vol - Page 5

Lift n’est que glissades, pirouettes et tours de passe-passe, depuis l’exécution des casses, d’une simplicité telle qu’elle ferait passer l’équipe de Mission : Impossible pour des amateurs, jusqu’à leur mise en scène, emphatique et chichiteuse : la caméra ne tient pas en place et cultive les travellings circulaires, les plans numériques de traversée d’un bateau ou d’un avion en marche, tout cela rythmé à toute vitesse par un montage charcutier emprunté aux plus mauvais clips du moment. On n’y voit rien, on n’y comprend rien, sans participer d’une impression de densité générale. Les personnages existent à la seule condition de leur rôle respectif, énuméré en début de film : il faut rouler des mécaniques, afficher un sourire et le mystère des lunettes de soleil, avoir de la répartie et un sens de l’autodérision à toute épreuve. Sans oublier d’indiquer le nom des différentes capitales visitées – le palais des Doges, les gondoles et les masques ne suffisaient certainement pas à reconnaître Venise, aussi le film prend-il le soin d’indiquer, en majuscules, VENISE ; il en va de même pour LONDRES... Mais quelle est donc cette production confondante de bêtise et plagiaire de nombre d’œuvres d’espionnage et d’arnaque ? Les relents machistes et l’interprétation stéréotypée de notre Jean Reno national, fade antagoniste (apparemment) très très méchant, achèvent d’inscrire Lift parmi les pires divertissements de ce début d’année.

Ce genre de film c'est du vu et re-vu...
Une équipe pluridisciplinaire spécialisée dans les casses de haut-vol, la série des "braquages a ..." les "Ocean's..." bref, une pâle copie

Lift-off to Nowhere

Bienvenue dans "Lift", le film qui essaie désespérément de s'envoler mais finit par rester au sol, comme un drone à court de batterie. F. Gary Gray, le maestro derrière "Straight Outta Compton", nous offre cette fois-ci un numéro de prestidigitation cinématographique qui a autant de punch qu'une baguette magique à court-circuit.

Imaginez "Ocean's Eleven" en mode low-cost, avec des personnages aussi charismatiques qu'un toast au beurre. Gray, dont le CV cinématographique ressemble à une encyclopédie du cool, livre ici un film qui semble avoir été écrit par un algorithme surchauffé. L'intrigue, censée être aussi audacieuse qu'une partie de Jumanji, se révèle être aussi captivante qu'un mode d'emploi pour montage de meubles IKEA.

On nous promet un braquage dans les airs avec des avions, mais au final, on a l'impression de regarder une bataille de polochons entre super-héros fatigués. Là où d'autres films du genre sont comme des parties épiques de Jenga, "Lift" ressemble plus à un jeu de dominos en fin de soirée après une cuite intergalactique. L'excitation qui aurait dû être aussi haute que la Tour Eiffel, reste à peu près au niveau d'un sous-sol de parking.

Avec un casting international, on aurait pu s'attendre à un feu d'artifice culturel, mais on se retrouve plutôt avec une bougie d'anniversaire défectueuse. Kevin Hart, Gugu Mbatha-Raw et Sam Worthington semblent plus perdus que Mario sans sa princesse dans ce scénario qui ne tient pas la route, même avec un Kart.

"Lift" n'est même pas un bon film popcorn, c'est plutôt comme si le popcorn était resté trop longtemps dans le micro-ondes et avait perdu tout son croquant. Les moments censés être palpitants ressemblent davantage à une partie endiablée de Pac-Man sans les fantômes. On est loin du "Game Over" épique qu'on espérait.

En conclusion, "Lift" est le genre de film qui te fait regretter d'avoir quitté le confort douillet de ta maison pour le cinéma. Gary Gray a peut-être réussi à sortir tout droit de Compton, mais il semble qu'il se soit perdu en chemin vers une bonne histoire. "Lift" est comme le vaisseau spatial qui rate son atterrissage sur la planète divertissement - un échec interstellaire. Si tu veux voir un casse qui te laisse aussi insatisfait qu'une pizza végétalienne, alors "Lift" est fait pour toi. Sinon, garde tes précieux dollars en or et envole-toi vers d'autres horizons cinématographiques.

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Ce long métrage pensé comme un blockbuster est l’héritage des films du type Ocean’s 12. Le scénario est bien monté et efficace malgré quelques longueurs, c’est bien réalisé et pensé de façon contemporaine. Les effets spéciaux sont d’ailleurs excellents.
Les jeux d’acteurs sont plutôt bons mais c’est réellement dommage que l’on ai vraiment l’impression de déjà vu.
Du point de vue de l’originalité, on attendait beaucoup mieux.

Je ne comprends pas les critiques diverses négatives. On sait ce que l'on va regarder et le job est largement fait . Pas de temps mort, c'est bien joué et on suit avec plaisir toute l'equipe.
Vous aimez les films d'action, allez y!!

Un film hyper facile, on s’attend à tout, c’est une perte de temps, aucun intérêt… si vous avez déjà vu un film d’action américain aussi cliché que possible depuis l’histoire d’amour, au « twist » final, aux répliques déjà usées, au méchant typique, vous avez déjà vu ce film.

Scénario Vu et revu , acteurs constamment à côté de leur jeu,effets spéciaux très moches bref à éviter

On passe une bonne soirée
Scénario classique divertissant
De l humour de l action des acteurs
Sympa mérite largement la
Moyenne dans ce genre de film

Un film plaisant,
Evidemment avec un Kevin Hart il faut le prendre au second degré ce qui est parfois dur a comprendre de la part de beaucoup d'abonnés Netflix.
Une ode à LA chasse aux véritables œuvres d'Art avec un grand A et non aux "œuvres" numériques.
Le choix du casting est a mon gout excellent chacun a un personnage qui lui colle à la peau SAUF un....

C'est un bon film de divertissement, genre BD, pour ados. Tout y est invraisemblable et c'est sans doute le seul charme un peu enfantin de ce film.

Incroyablement mauvais... La brochette d'acteurs confirmé ne sauve pas un scénario absolument ridicule, en bonus la prestation qu'on peut qualifier d'alimentaire pour Jean Reno dans le rôle du méchant ... Une perte de temps

On essaie de nous présenter ça comme le super film d'action du moment. Franchement le seul intérêt réside dans la présence d'Ursula Corbero et les paysages. Si ça bouge un peu au moment du braquage proprement dit, ça traîne mollement la plupart du temps. Le début est lent ,laborieux, on a du mal à s'intéresser à l'histoire. La psychologie des personnages est aussi basique que dans un roman de gare. Quant à Jean Reno on le voit deux fois deux minutes. C'est une série B à jeter après consommation distraite.

Ce film est plat du début à la fin, le scénario n'est pas extraordinaire et les effets spéciaux sont d'un autre temps. Vraiment moche, j'ai perdu mon temps.

Encore un film a la façon Bisounours où tout semble compliqué et impossible mais finalement facile et les doigts dans le nez
Vincent donofrio ne sert absolument a rien tout est absolument du pure délire et du n'importe quoi, Kevin Heart est pourtant crédible dans son rôle ce qui en sois reste un miracle pour un humoriste et tous le reste du casting reste basic sans plus.
Décidément le niveau des films Netflix devient médiocre et je préfère 1000 fois braquage a l'italienne.

Ce film est génial j'ai retrouvé toutes les émotions que je cherche quand je regarde un film pour la première fois. De l'action, du suspens, du rire et surtout je me suis accroché au personnage du film. Ce film est pour moi un grand succès j'espère que le réalisateur trouveras une nouvelle histoire pour faire une suite avec ce casting qui est pour moi parfait !! Merci pour ce moment passé !