Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
L'Ecran Fantastique
par Quélou Parente
Un film d’auteur aux allures de série B romanesque, non exempt d’humour, un émouvant voyage enchanté dans lequel on se laisse entraîner avec volupté.
Marie Claire
par Emily Barnett
On les appelle les "grands petits films". Modestes dans leur forme, ils remuent des tonnes d'affects en nous. "Sidonie au Japon" est de cette trempe.
Culturopoing.com
par Jean-Michel Pignol
Contrapuntique, le burlesque parcimonieusement distillé nous ramène sur terre, dans la banalité d’un quotidien déréglé par le décalage des cultures.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
par Françoise Delbecq
Un vibrant hymne à la vie.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Le fantôme de son mari la suit partout, et leur dialogue passent par toutes sortes d'émotions - y compris des notes d'humour d'autant plus réussies qu'elles arrivent sans crier gare.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Plein de drôlerie et de tendresse, le film évoque avec justesse un pays aux coutumes singulières, tout en offrant une réflexion sur le deuil et sur la rencontre, souvent nouée sur des terres étranges et inconnues.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Le trait est subtil, comme le devient cette histoire de deuil. Il y a de la légèreté, de l’apaisement et une mélancolie qui vous enserre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Jérôme d'Estais
SIDONIE AU JAPON [...] entre comédie burlesque, film de deuil et romance, tire sa vitalité de ses changements de ton, imputables à la regrettée Sophie Fillières, maîtresse d’œuvre du scénario.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Cette chronique, d'une délicatesse, d'une épure et d'une pudeur infinies, et dont la mélancolie est tempérée par un humour cathartique, figure l'errance existentielle d'une femme, son travail de reconstruction après le deuil, sa résilience, son courage.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Elise Girard emmène Isabelle Huppert au Japon pour un voyage touchant, sensible et érudit à travers de jolis paysages et l'histoire du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Douceur, humour, tendresse, noirceur du chagrin, spectres du passé : un voyage inattendu et original au pays du Soleil-Levant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Entre romance et deuil, fantaisie et mélancolie, la réalisatrice livre une œuvre tendre qui joue habilement – et avec finesse – sur les différences de codes et de cultures.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Serge Kaganski
Cette balade gaie et triste à travers le Japon est splendidement filmée par la grande chef-op Céline Bozon, qui confectionne un écrin élégant pour le regard profond et subtil d'Elise Girard.
Télérama
par Jacques Morice
Un récit poétique, délicat et parfois burlesque sur le deuil porté par une Isabelle Huppert sans fard.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Mathilde Grasset
Le cliché (le lieu commun et la photographie) permet à l’histoire d’advenir, ouvrant un espace confortable à la marge de la réalité. « Le pays où nous vivons n’existe pas », écrit Sidonie : cette distance première, que l’on retrouve jusque dans la diction des acteurs, est ici ce qu’investit le cinéma sans qu’il ne la comble ou ne la dénature.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un périple intérieur vers une félicité perdue et retrouvée.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Porté par une Isabelle Huppert impénétrable, icône dont la carapace se craquelle, ce film aux dialogues parcimonieux doit beaucoup à la présence de Tsuyoshi Ihara, comédien très connu au Japon, dont le jeu élégant fascine. À voir si on est d’humeur contemplative.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
En lisière du rêve et du fantastique, un récit de deuil et de fantômes à l’écriture limpide, habité par Isabelle Huppert, tout en délicatesse et fragilité.
Le Monde
par Ma. Mt
Le troisième long-métrage d’Elise Girard a été écrit avec Maud Ameline et la regrettée Sophie Fillières, cinéaste et scénariste disparue à 58 ans en juillet 2023, réputée pour son humour « coq à l’âne ». L’on ne s’étonnera pas alors que ce récit de voyage, jonglant avec les tonalités, aille chercher sa mélancolie dans les formes cocasses du décalage et du déplacement.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
Autant d'éléments qui font passer Sidonie au Japon de la comédie douce-amère au registre plus délicat du conte amoureux.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Adèle Bossard-Giannesini
Le film d’Élise Girard semble d’abord ouvrir plusieurs pistes de récit, mais malgré sa mise en scène épurée, et non dénuée d’humour, il se rétrécit autour d’un histoire trop lisse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Didier Péron
Le duo Huppert et l’acteur japonais Tsuyoshi Ihara dans le rôle de l’éditeur est suffisamment magnétique pour donner consistance à ce que l’aquarellisme de la mise en scène parait toujours tendre à noyer dans la joliesse ou le vague à l’âme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un regard décalé et flou pour revisiter les thèmes universels de la vie, de la mort, de l’acceptation du deuil et de la renaissance.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Céline Rouden
L’actrice incarne une écrivaine qui affronte le deuil dans cette comédie douce-amère au ton décalé qui finit par sombrer dans ses propres clichés.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Pour notre part, on aurait aimé davantage de mystère et d’émotion dans ce récit assez mince qui ressemble trop à un murmure.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par Lou Hupel
Mais l’étonnement est de courte durée et l’ennui s’installe, le dénouement plein de bons sentiments se devine et la réflexion sur le deuil et la renaissance perd de son charme.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Pascale Vergereau
Un fable qui flirte dangereusement avec le roman-photo, portée par une Isabelle Huppert lunaire. Pour la beauté des images.
Première
par Thomas Baurez
Le spectre d’un mari disparu surgi d’une conscience soudain perturbée, confronte l’héroïne à sa propre tangibilité. Dommage que ce rapport existentiel reste dans les clous d’un récit où les pistes intéressantes ne manquaient pourtant pas.
La critique complète est disponible sur le site Première
Marianne
par Olivier De Bruyn
Au cœur de tous les plans, l’actrice, hélas, peine à sublimer cette médiation métaphysique vaporeuse.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
L'Ecran Fantastique
Un film d’auteur aux allures de série B romanesque, non exempt d’humour, un émouvant voyage enchanté dans lequel on se laisse entraîner avec volupté.
Marie Claire
On les appelle les "grands petits films". Modestes dans leur forme, ils remuent des tonnes d'affects en nous. "Sidonie au Japon" est de cette trempe.
Culturopoing.com
Contrapuntique, le burlesque parcimonieusement distillé nous ramène sur terre, dans la banalité d’un quotidien déréglé par le décalage des cultures.
Elle
Un vibrant hymne à la vie.
Femme Actuelle
Le fantôme de son mari la suit partout, et leur dialogue passent par toutes sortes d'émotions - y compris des notes d'humour d'autant plus réussies qu'elles arrivent sans crier gare.
Franceinfo Culture
Plein de drôlerie et de tendresse, le film évoque avec justesse un pays aux coutumes singulières, tout en offrant une réflexion sur le deuil et sur la rencontre, souvent nouée sur des terres étranges et inconnues.
L'Obs
Le trait est subtil, comme le devient cette histoire de deuil. Il y a de la légèreté, de l’apaisement et une mélancolie qui vous enserre.
La Septième Obsession
SIDONIE AU JAPON [...] entre comédie burlesque, film de deuil et romance, tire sa vitalité de ses changements de ton, imputables à la regrettée Sophie Fillières, maîtresse d’œuvre du scénario.
Le Journal du Dimanche
Cette chronique, d'une délicatesse, d'une épure et d'une pudeur infinies, et dont la mélancolie est tempérée par un humour cathartique, figure l'errance existentielle d'une femme, son travail de reconstruction après le deuil, sa résilience, son courage.
Les Echos
Elise Girard emmène Isabelle Huppert au Japon pour un voyage touchant, sensible et érudit à travers de jolis paysages et l'histoire du cinéma.
Les Inrockuptibles
Douceur, humour, tendresse, noirceur du chagrin, spectres du passé : un voyage inattendu et original au pays du Soleil-Levant.
Sud Ouest
Entre romance et deuil, fantaisie et mélancolie, la réalisatrice livre une œuvre tendre qui joue habilement – et avec finesse – sur les différences de codes et de cultures.
Transfuge
Cette balade gaie et triste à travers le Japon est splendidement filmée par la grande chef-op Céline Bozon, qui confectionne un écrin élégant pour le regard profond et subtil d'Elise Girard.
Télérama
Un récit poétique, délicat et parfois burlesque sur le deuil porté par une Isabelle Huppert sans fard.
Cahiers du Cinéma
Le cliché (le lieu commun et la photographie) permet à l’histoire d’advenir, ouvrant un espace confortable à la marge de la réalité. « Le pays où nous vivons n’existe pas », écrit Sidonie : cette distance première, que l’on retrouve jusque dans la diction des acteurs, est ici ce qu’investit le cinéma sans qu’il ne la comble ou ne la dénature.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un périple intérieur vers une félicité perdue et retrouvée.
L'Humanité
Porté par une Isabelle Huppert impénétrable, icône dont la carapace se craquelle, ce film aux dialogues parcimonieux doit beaucoup à la présence de Tsuyoshi Ihara, comédien très connu au Japon, dont le jeu élégant fascine. À voir si on est d’humeur contemplative.
Le Dauphiné Libéré
En lisière du rêve et du fantastique, un récit de deuil et de fantômes à l’écriture limpide, habité par Isabelle Huppert, tout en délicatesse et fragilité.
Le Monde
Le troisième long-métrage d’Elise Girard a été écrit avec Maud Ameline et la regrettée Sophie Fillières, cinéaste et scénariste disparue à 58 ans en juillet 2023, réputée pour son humour « coq à l’âne ». L’on ne s’étonnera pas alors que ce récit de voyage, jonglant avec les tonalités, aille chercher sa mélancolie dans les formes cocasses du décalage et du déplacement.
Le Point
Autant d'éléments qui font passer Sidonie au Japon de la comédie douce-amère au registre plus délicat du conte amoureux.
Les Fiches du Cinéma
Le film d’Élise Girard semble d’abord ouvrir plusieurs pistes de récit, mais malgré sa mise en scène épurée, et non dénuée d’humour, il se rétrécit autour d’un histoire trop lisse.
Libération
Le duo Huppert et l’acteur japonais Tsuyoshi Ihara dans le rôle de l’éditeur est suffisamment magnétique pour donner consistance à ce que l’aquarellisme de la mise en scène parait toujours tendre à noyer dans la joliesse ou le vague à l’âme.
aVoir-aLire.com
Un regard décalé et flou pour revisiter les thèmes universels de la vie, de la mort, de l’acceptation du deuil et de la renaissance.
La Croix
L’actrice incarne une écrivaine qui affronte le deuil dans cette comédie douce-amère au ton décalé qui finit par sombrer dans ses propres clichés.
La Voix du Nord
Pour notre part, on aurait aimé davantage de mystère et d’émotion dans ce récit assez mince qui ressemble trop à un murmure.
Le Parisien
Mais l’étonnement est de courte durée et l’ennui s’installe, le dénouement plein de bons sentiments se devine et la réflexion sur le deuil et la renaissance perd de son charme.
Ouest France
Un fable qui flirte dangereusement avec le roman-photo, portée par une Isabelle Huppert lunaire. Pour la beauté des images.
Première
Le spectre d’un mari disparu surgi d’une conscience soudain perturbée, confronte l’héroïne à sa propre tangibilité. Dommage que ce rapport existentiel reste dans les clous d’un récit où les pistes intéressantes ne manquaient pourtant pas.
Marianne
Au cœur de tous les plans, l’actrice, hélas, peine à sublimer cette médiation métaphysique vaporeuse.