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Votre avis sur Saw X ?
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Très bon film, même niveau que le 1 !
On retourne dans le temps avec la présence de protagonistes...
Des pièges toujours plus travaillés dont certain base sur des histoires vraies !
On retourne dans le temps avec la présence de protagonistes...
Des pièges toujours plus travaillés dont certain base sur des histoires vraies !
Film visionné au cinéma.
Avant d'entrer dans cette salle de cinéma, je ne connaissais ni la série de film Saw, ni l'univers de Saw, ni même quoique ce soit de John Kramer, et je n'avais même jamais lu aucun des scénarios de Saw.
Ce film est un grand baptême du feu pour moi. Et quel baptême ! Car dans Saw X, les victimes de John Kramer sont toutes des personnes qui lui ont causé un grand tort : avoir joué avec son espoir de vivre. Le prix à payer pour s'être joué de lui se trouve être abominable. Il faut reconnaître que ce film sait inventer des méthodes de torture, toutes plus barbares, extrêmes, et glauques, les unes des autres. Le spectateur oscille entre un dégoût palpable et un vif intérêt pour saluer la nouvelle inventivité de John Kramer pour torturer ses victimes. Nous nous trouvons ainsi diverti à coup de châtiment complexe, barbare et sadique.
C'est tout un concept que j'ai découvert avec ce thriller. Et si je lui reconnais une certaine forme d'intérêt par son univers riche, ses personnages puissants, ses acteurs impeccables, sa réalisation intelligente, je ne peux pas m'empêcher de lui reprocher son excessif usage de violence qui cache ce qui aurait pu faire de ce film, un grand thriller horrifique.
Avant d'entrer dans cette salle de cinéma, je ne connaissais ni la série de film Saw, ni l'univers de Saw, ni même quoique ce soit de John Kramer, et je n'avais même jamais lu aucun des scénarios de Saw.
Ce film est un grand baptême du feu pour moi. Et quel baptême ! Car dans Saw X, les victimes de John Kramer sont toutes des personnes qui lui ont causé un grand tort : avoir joué avec son espoir de vivre. Le prix à payer pour s'être joué de lui se trouve être abominable. Il faut reconnaître que ce film sait inventer des méthodes de torture, toutes plus barbares, extrêmes, et glauques, les unes des autres. Le spectateur oscille entre un dégoût palpable et un vif intérêt pour saluer la nouvelle inventivité de John Kramer pour torturer ses victimes. Nous nous trouvons ainsi diverti à coup de châtiment complexe, barbare et sadique.
C'est tout un concept que j'ai découvert avec ce thriller. Et si je lui reconnais une certaine forme d'intérêt par son univers riche, ses personnages puissants, ses acteurs impeccables, sa réalisation intelligente, je ne peux pas m'empêcher de lui reprocher son excessif usage de violence qui cache ce qui aurait pu faire de ce film, un grand thriller horrifique.
Audrey L
Attention les yeux (pardon, mais cette affiche est vraiment efficace), car Jigsaw revient, étonnamment très en forme ! On n'y croyait plus, à cet opus un peu moins "téléfilmesque" que les récents navets accomplis (depuis le troisième opus, cette saga s'est enlisée dans la facilité jusqu'aux Jigsaw et Spirale effroyables de nullité). Autant dire qu'on allait à reculons voir ce dixième film, dont la chronologie est coincée entre le premier et le deuxième film (vous n'avez pas vu les suivants ? Aucun problème), un terrain de jeu ultra-réduit, et où, pourtant, il arrive à se faire vraiment plaisir sur le plan du scénario. Saw X se focalise sur des victimes qui sont directement liées aux malheurs de John Kramer (et non pas des inconnus avec des raisons bidons), et va même faire émerger peu à peu une
spoiler:
méchante
capable de tenir tête à John, avec une fin qui est vraiment l'essentiel intérêt du film. L'ouverture crado, les jeux quasiment impossibles ("Help !", "My God !", "On va jouer à un jeu", le gars qui essaie, s'en met partout, abandonne, "Fu*k You !", et chrono épuisé, donc bye-bye... Ça va, on commence à connaître l'enchaînement), le twist à la fin, la recette est bien là, on n'est pas en terrain inconnu, si ce n'est la surprise de voir une dernière partie plus soft, qui cherche davantage à nous avoir dans la sensiblerie (si, si, on vous promet), ce qui, étrangement, fonctionne plutôt très bien, en humanisant un monstre qu'on a appris à détester au long de la saga (ses raisons parfois très minces d'infliger des horreurs à certaines victimes, son manque de compassion, sa morale obscure...), qui ici paraît être le "gentil" face à spoiler: une vilaine qui s'en prend à un petit enfant malade (non mais oh... qu'elle clamse, vas-y John, fais-la souffrir), qui arnaque des patients en fin de vie, qui dégomme (totalement gratuitement) une survivante déjà au sol (on a eu pitié), qui sacrifie son amant sans plus de cérémonie... Une vraie méchante face à John, un gamin (trop mimi) qui change des personnage-chair à pâtée
dont on se fiche, le retour en trombes spoiler: d'Amanda
(les fans seront contents), un petit caméo rapide de spoiler: Hoffman
dans la scène post-générique (restez, elle vaut le coup juste pour ça), des épreuves vraiment dégueus ( spoiler: la guibole au fil de boucher, la trépanation vivante), et surtout un duel final où John essaie de sauver un petit enfant malade (et où Amanda lui cache les yeux pour ne pas qu'il voit de choses horribles... Moh, seraient-ce des gens bien, finalement ? On rigole).
Ce Saw X est très très loin des navets ignobles qu'étaient Jigsaw et Spirale, nettement mieux que la suite de téléfilms pour ados du milieu de la saga, et se place gentiment derrière le premier opus (et peut-être deuxième, si vous l'aimez aussi). Si vous avez le cœur bien accroché, allez y jeter un œil (vous n'aurez qu'à ramasser un de ceux du mec de l'affiche).
capable de tenir tête à John, avec une fin qui est vraiment l'essentiel intérêt du film. L'ouverture crado, les jeux quasiment impossibles ("Help !", "My God !", "On va jouer à un jeu", le gars qui essaie, s'en met partout, abandonne, "Fu*k You !", et chrono épuisé, donc bye-bye... Ça va, on commence à connaître l'enchaînement), le twist à la fin, la recette est bien là, on n'est pas en terrain inconnu, si ce n'est la surprise de voir une dernière partie plus soft, qui cherche davantage à nous avoir dans la sensiblerie (si, si, on vous promet), ce qui, étrangement, fonctionne plutôt très bien, en humanisant un monstre qu'on a appris à détester au long de la saga (ses raisons parfois très minces d'infliger des horreurs à certaines victimes, son manque de compassion, sa morale obscure...), qui ici paraît être le "gentil" face à spoiler: une vilaine qui s'en prend à un petit enfant malade (non mais oh... qu'elle clamse, vas-y John, fais-la souffrir), qui arnaque des patients en fin de vie, qui dégomme (totalement gratuitement) une survivante déjà au sol (on a eu pitié), qui sacrifie son amant sans plus de cérémonie... Une vraie méchante face à John, un gamin (trop mimi) qui change des personnage-chair à pâtée
dont on se fiche, le retour en trombes spoiler: d'Amanda
(les fans seront contents), un petit caméo rapide de spoiler: Hoffman
dans la scène post-générique (restez, elle vaut le coup juste pour ça), des épreuves vraiment dégueus ( spoiler: la guibole au fil de boucher, la trépanation vivante), et surtout un duel final où John essaie de sauver un petit enfant malade (et où Amanda lui cache les yeux pour ne pas qu'il voit de choses horribles... Moh, seraient-ce des gens bien, finalement ? On rigole).
Ce Saw X est très très loin des navets ignobles qu'étaient Jigsaw et Spirale, nettement mieux que la suite de téléfilms pour ados du milieu de la saga, et se place gentiment derrière le premier opus (et peut-être deuxième, si vous l'aimez aussi). Si vous avez le cœur bien accroché, allez y jeter un œil (vous n'aurez qu'à ramasser un de ceux du mec de l'affiche).
Un nouvel opus dans la désormais trop franchisée saga des Saw, s'attelant cette fois au passé du célèbre tueur, mais ne sauvant pas le film, ressemblant beaucoup trop à ses prédécesseurs. Sans âme, mal joué, sans surprises ... Gore bien sûr, comme toujours. C'est d'ailleurs la seule chose qui tient encore le spectateur devant l'écran de ce film ...
darkvash
Aprés Spirale, film catastrophique, revoila une franchise usée jusqu'à la corde, une énième suite de Saw.
On retrouve Kramer étonnamment, le film se situant entre le premier et deuxième épisode.
Bon, le film ne propose pas de suspense trop intense, on sait ce que devient le personnage principal par la suite.
Le film est un peu long à se mettre en place, mais ce n'est pas gênant.
Les pièges sont pas trop mal, on a vu mieux dans la franchise.
spoiler: Le problème vient de la logistique, difficile de croire que Kramer ait pu amener ses pièges au Mexique dans un laps de temps si court (on rappelle qu'il est malade), qu'il ait pu localiser aussi vite les différents protagonistes et qu'Amanda puisse , avec son aide, les kidnapper aussi facilement. Mais bref.
Le film n'est pas déplaisant à voir mais n'apporte rien à cette franchise qui est partie un peu en cacahuète depuis plusieurs opus, et Tobin Bell commence à accuser ses années.
On retrouve Kramer étonnamment, le film se situant entre le premier et deuxième épisode.
Bon, le film ne propose pas de suspense trop intense, on sait ce que devient le personnage principal par la suite.
Le film est un peu long à se mettre en place, mais ce n'est pas gênant.
Les pièges sont pas trop mal, on a vu mieux dans la franchise.
spoiler: Le problème vient de la logistique, difficile de croire que Kramer ait pu amener ses pièges au Mexique dans un laps de temps si court (on rappelle qu'il est malade), qu'il ait pu localiser aussi vite les différents protagonistes et qu'Amanda puisse , avec son aide, les kidnapper aussi facilement. Mais bref.
Le film n'est pas déplaisant à voir mais n'apporte rien à cette franchise qui est partie un peu en cacahuète depuis plusieurs opus, et Tobin Bell commence à accuser ses années.
Un opus fidèle aux meilleures de la licence , on retrouve le gore, le machiavélisme de John Cramer ainsi que des rebondissements digne de Saw.Clairement pas déçu de ce Saw X même si bien sur il n'est pas exempt de défauts, je conseille. 3,5/5.
De Kevin Greutert (2023).
Une violence gratuite encore plus gore voire insoutenable servie au travers de justifications presque moralisatrices . Un comble . En plus de scènes toujours plus violentes, souvent téléphonées tant on doit s'attendre à toujours plus fort dans ce nouvel opus . Qui plus est mal joué tant les protagonistes n'ont même pas l'air de se rendre compte de l'horreur de leur situation. Et de plus de nombreuses incohérences notamment dans la première partie du film.
Avec Tobin Bell, Shawnee Smith, Synnøve Macody Lund.
Une violence gratuite encore plus gore voire insoutenable servie au travers de justifications presque moralisatrices . Un comble . En plus de scènes toujours plus violentes, souvent téléphonées tant on doit s'attendre à toujours plus fort dans ce nouvel opus . Qui plus est mal joué tant les protagonistes n'ont même pas l'air de se rendre compte de l'horreur de leur situation. Et de plus de nombreuses incohérences notamment dans la première partie du film.
Avec Tobin Bell, Shawnee Smith, Synnøve Macody Lund.
Après les échecs qualitatifs des derniers Saw, il y a de quoi être inquiet avant de voir ce 10ème. Il faut dire que la machine à sous marche tellement bien, qu’il n’y a pas de raison que la formule du dollar facile ne soit pas répétée une énième fois.
L’inutilité de ce film ressort dès son synopsis. Comment justifier l’utilité de situer cet opus entre Saw 1 et Saw 2, si ce n’est de tenter de faire vibrer la corde nostalgique ? Revoir John Kramer est un petit plaisir, mais ça ne suffit pas à faire un film. Pour que le spectateur puisse donc bien se situer, la mise en contexte devient interminable. Une première partie beaucoup trop lente.
Si la saga Saw a fait si facilement son trou dans l’horrifique, c’est grâce au “jeu mortel” mis en place par Jigsaw pour donner une leçon à ses victimes. Alors qu’auparavant, ces défis (presque toujours mortel) étaient millimétrés, dans ce nouveau film, ce n’est pas le cas. Saw X donne l’impression d’être dans l’improvisation. Il n’y a pas de schéma d’un déroulé logique. Dommage, car même si la violence est là, elle ne sert à rien s’il n’y a pas cet aspect calculateur derrière.
La symbolique de se laisser aller dans le sens du détail se retrouve dans le personnage d’Amanda Young. Elle est toujours interprétée par Shawnee Smith. Cependant, alors qu’elle avait la trentaine lors du premier, elle a désormais la cinquantaine. Une différence d’âge qui se ressent logiquement et qui rend totalement incohérent la timeline de Saw X.
L’inutilité de ce film ressort dès son synopsis. Comment justifier l’utilité de situer cet opus entre Saw 1 et Saw 2, si ce n’est de tenter de faire vibrer la corde nostalgique ? Revoir John Kramer est un petit plaisir, mais ça ne suffit pas à faire un film. Pour que le spectateur puisse donc bien se situer, la mise en contexte devient interminable. Une première partie beaucoup trop lente.
Si la saga Saw a fait si facilement son trou dans l’horrifique, c’est grâce au “jeu mortel” mis en place par Jigsaw pour donner une leçon à ses victimes. Alors qu’auparavant, ces défis (presque toujours mortel) étaient millimétrés, dans ce nouveau film, ce n’est pas le cas. Saw X donne l’impression d’être dans l’improvisation. Il n’y a pas de schéma d’un déroulé logique. Dommage, car même si la violence est là, elle ne sert à rien s’il n’y a pas cet aspect calculateur derrière.
La symbolique de se laisser aller dans le sens du détail se retrouve dans le personnage d’Amanda Young. Elle est toujours interprétée par Shawnee Smith. Cependant, alors qu’elle avait la trentaine lors du premier, elle a désormais la cinquantaine. Une différence d’âge qui se ressent logiquement et qui rend totalement incohérent la timeline de Saw X.
Saw 6 (de Strasbourg) reste le meilleur de la série. Néanmoins ce chapitre 10 assure, quoique pas toujours cohérent. Une prime pour les paysages mexicains, digne d'un western.
Fêtons le cinéma
En se plaçant non plus du côté des victimes mais du côté du bourreau, mieux en regardant le bourreau comme la victime d’une arnaque médicale révélatrice d’un système de santé corrompu, Saw X s’écarte de prime abord du schéma péniblement tracé et suivi par ses prédécesseurs : le sillon creusé, s’il demeure prévisible, présente pourtant l’intérêt de sonder l’intériorité tourmentée d’un vieil homme taiseux. Préoccupé par son cancer, John Kramer tend à recouvrer espoir par les promesses de guérison qui lui sont faites, avant de convertir cet espoir en aigreur sadique. Les plans sur le visage fatigué, ridé de ce personnage visiblement affaibli – son corps se meut avec prudence, ses gestes sont lents – contrastent avec le teint lumineux voire cireux du personnel soignant ainsi qu’avec le cadre glacial du bloc opératoire. L’ultraviolence prend sa source dans le désir de vengeance, certes, mais aussi dans la volonté de raccorder celles et ceux qui ont joué la comédie aux fils qui les animent et que tire le grand marionnettiste : voilà donc un theatrum mundi corrigé en théâtre de la cruauté sur la scène duquel se joue la souffrance d’exister par le biais de la souffrance d’autrui. L’intelligence (relative) du film s’arrête là, bientôt rattrapée par les épanchements gore qui constituent la marque de fabrique de la saga. L’inventivité des sévices, si tant est qu’elle ait une quelconque valeur, est assurée.
Bon opus où l'on retrouve l'ambiance des premiers SAW de la saga même si qq longueurs. Donner de l'empathie et de la profondeur au tueur aux puzzles était une belle idée et le piégeur piégé également.
Mais de toute la saga les 2 meilleurs sont pour moi le I et le III
Mais de toute la saga les 2 meilleurs sont pour moi le I et le III
Étant fan de la saga saw, je mettais peu d'espoir en ce nouvel opus suite au désastre des derniers saw (dont le catastrophique Spirals).
Et bien quelle surprise de découvrir un film si réussi qui renoue enfin, et avec sérieux, a l'univers de Jigsaw sans une seule faute de goût. Le rythme est posé, les pièges efficaces sans donner ce style série B qui faisait défaut aux anciens opus, et les personnages sont cohérents. Pas de scène d'action inutile ni de blabla sans queue ni tête. Quel plaisir de revoir Kramer et d'enfin assister à un film dédié à son histoire. C'est le film qu'il manquait à cette saga.
Un véritable Saw qui arrive pourtant à se dégager de tous les autres opus avec son propre style.
Ça redonne envie d'avoir une suite !
Et bien quelle surprise de découvrir un film si réussi qui renoue enfin, et avec sérieux, a l'univers de Jigsaw sans une seule faute de goût. Le rythme est posé, les pièges efficaces sans donner ce style série B qui faisait défaut aux anciens opus, et les personnages sont cohérents. Pas de scène d'action inutile ni de blabla sans queue ni tête. Quel plaisir de revoir Kramer et d'enfin assister à un film dédié à son histoire. C'est le film qu'il manquait à cette saga.
Un véritable Saw qui arrive pourtant à se dégager de tous les autres opus avec son propre style.
Ça redonne envie d'avoir une suite !
Qu'est ce que c 'est mauvais....
Une première partie longuette, prévisible, mal jouée....
Une seconde partie où on se retrouve en territoire connu mais où les jeux / pieges ne presentent aucune originalité ni inventivité... ecrire que les scenaristes n'ont aucune notion basique de medecine est un doux euphemisme tant tout est grotesque, irréaliste et au final ridicule....
Bref encore une saga qui n'en finit plus et qui aurait dû mettre fin aux jeux depuis trés longtemps...après Saw 1 en fait...
Une première partie longuette, prévisible, mal jouée....
Une seconde partie où on se retrouve en territoire connu mais où les jeux / pieges ne presentent aucune originalité ni inventivité... ecrire que les scenaristes n'ont aucune notion basique de medecine est un doux euphemisme tant tout est grotesque, irréaliste et au final ridicule....
Bref encore une saga qui n'en finit plus et qui aurait dû mettre fin aux jeux depuis trés longtemps...après Saw 1 en fait...
Ô surprise! Ô miracle. "Saw X" (2023) est le meilleur « Saw » depuis bien longtemps! Le plus inattendu aussi. « Il ne s'agit pas d'une punition, c'est une renaissance ! » dixit John Kramer alias Jigsaw, victime de son propre piège! L'aficionado se retrouve même à avoir de l'empathie pour ce tueur en sèrie! Comme si la franchise voulait nous convaincre de ne pas dèsespèrer et que l'heure de la retraite pour papy Bell (81 ans) n'avait pas encore sonnè! Le bon côtè de ce dixième chapitre concerne le scènario, certes extravagant au possible mais plus ècrit que les volets prècèdents! Rien de novateur non plus mais des pièges à la fois redoutables et atroces (la scie Gigli) où les âmes sensibles sont prièes de s'abstenir! Mais que Kevin Greutert soit prèvenu : s'il devait y avoir un "Saw XI" (c'est bien parti pour) ça ficherait tout par terre en terme de renaissance dans la saga! Ne pas rater la scène post-gènèrique...
ffred
Dixième opus de la saga commencée en 2004. Je n’en ai raté aucun. On se demandait bien ce qu’ils allaient pouvoir encore nous inventer. Ce nouvel épisode ce situe en fait entre le numéro un et le numéro deux. Après une première scène choc cela se calme un peu mais remonte ensuite progressivement dans l’horreur. Je pense que jamais aucun des films de la sérié n’a été aussi violent, aussi sanglant et aussi gore. J’ai du détourné les yeux deux ou trois fois, moi qui ai le cœur bien accroché normalement au cinéma. La fin est totalement ouverte, d’ailleurs le numéro 11 est en chantier. Une horreur donc mais tellement bien fait. Pas seulement réservé aux fans, pas la peine d’avoir vu les autres films pour suivre celui-ci mais pour public averti seulement.
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