Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Saw X réveille le sadique badin qui sommeille chez le spectateur amoureux de cinéma d’horreur et prouve que dans le genre du « torture porn » (films où les scènes brutales et fictives sont l’équivalent de séquences de Q dans un film X), la saga Saw en a encore sous la scie chirurgicale !
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par Louis Verdoux
Le retour de John Kramer, désormais vu comme le héros de l'histoire, et une direction artistique de haute volée font de cette suite une pépite gore et étonnamment émouvante.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
La mise en scène est au diapason du scénario : machiavélique, ludique et sans concession.
Le Parisien
par La Rédaction
L’idée la plus intéressante de ce nouvel opus, outre son aspect madeleine de Proust à la sauce gore, est de présenter Jigsaw comme une victime. Pour la première fois de toute la saga, on éprouve un peu de compassion pour l’assassin, et on souhaite les pires tourments à ceux qui l’ont berné.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
GQ
par Tanguy Bosselli
Un joyeux nanar à l’énergie communicative, où Tobin Bell, inénarrable tueur au puzzle, s’amuse comme un fou.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Libération
par Camille Nevers
En situant le récit du X entre le I et le II, au moment où John Kramer apprend qu’il est atteint d’un cancer au cerveau, la série la plus prolifique de torture-porn revient donc à ses origines, à son serial killer intact et vieilli, Jigsaw reprenant du service et du sévice comme au premier jour du jugement dernier.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé Loisirs
par Sébastien Ors
Loin d'être le film de trop, ce dixième opus de la saga "Saw" se surpasse en matière d'ingéniosité sadique.
Ecran Large
par Déborah Lechner
"Saw 10" aurait pu être une replongée drôle et divertissante dans le bain de sang, de viscères et de mauvais goût qu'a toujours été la saga, mais vouloir faire de John Kramer un anti-héros est aussi dérangeant et dérangé que le code moral du personnage.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Monde
par J. Ma.
Ambiance verdâtre, local industriel désaffecté, acier des instruments. Occasionnellement, les trucages nous rappellent à la blague sardonique du Grand-Guignol, mais globalement le malaise englue.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Ce prequel “intimiste” opère un retour aux sources d’une saga que l’on croyait enterrée. S’il délaisse la surenchère graphique au profit d’un portrait empathique de son antagoniste, ce nouveau volet peine à masquer ses rouages corrodés et ses arcanes éreintés.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Sylvestre Picard
Ça ne va pas chercher bien loin, et, ma foi, il suffirait de pas grand-chose pour que Saw X devienne un authentique bon film d’horreur. Tailler dans le gras de ce film bien long (trente minutes d’exposition !) serait déjà un début.
La critique complète est disponible sur le site Première
Mad Movies
par Gilles Esposito
[...] une trahison complète de l'esprit de la série.
Télérama
par Joseph Boinay
Reste qu’on a du mal à en sourire, quand le personnage déguise son courroux en croisade contre le capitalisme, à coups de fil à trancher le beurre…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Saw X réveille le sadique badin qui sommeille chez le spectateur amoureux de cinéma d’horreur et prouve que dans le genre du « torture porn » (films où les scènes brutales et fictives sont l’équivalent de séquences de Q dans un film X), la saga Saw en a encore sous la scie chirurgicale !
CNews
Le retour de John Kramer, désormais vu comme le héros de l'histoire, et une direction artistique de haute volée font de cette suite une pépite gore et étonnamment émouvante.
Le Journal du Dimanche
La mise en scène est au diapason du scénario : machiavélique, ludique et sans concession.
Le Parisien
L’idée la plus intéressante de ce nouvel opus, outre son aspect madeleine de Proust à la sauce gore, est de présenter Jigsaw comme une victime. Pour la première fois de toute la saga, on éprouve un peu de compassion pour l’assassin, et on souhaite les pires tourments à ceux qui l’ont berné.
GQ
Un joyeux nanar à l’énergie communicative, où Tobin Bell, inénarrable tueur au puzzle, s’amuse comme un fou.
Libération
En situant le récit du X entre le I et le II, au moment où John Kramer apprend qu’il est atteint d’un cancer au cerveau, la série la plus prolifique de torture-porn revient donc à ses origines, à son serial killer intact et vieilli, Jigsaw reprenant du service et du sévice comme au premier jour du jugement dernier.
Télé Loisirs
Loin d'être le film de trop, ce dixième opus de la saga "Saw" se surpasse en matière d'ingéniosité sadique.
Ecran Large
"Saw 10" aurait pu être une replongée drôle et divertissante dans le bain de sang, de viscères et de mauvais goût qu'a toujours été la saga, mais vouloir faire de John Kramer un anti-héros est aussi dérangeant et dérangé que le code moral du personnage.
Le Monde
Ambiance verdâtre, local industriel désaffecté, acier des instruments. Occasionnellement, les trucages nous rappellent à la blague sardonique du Grand-Guignol, mais globalement le malaise englue.
Les Fiches du Cinéma
Ce prequel “intimiste” opère un retour aux sources d’une saga que l’on croyait enterrée. S’il délaisse la surenchère graphique au profit d’un portrait empathique de son antagoniste, ce nouveau volet peine à masquer ses rouages corrodés et ses arcanes éreintés.
Première
Ça ne va pas chercher bien loin, et, ma foi, il suffirait de pas grand-chose pour que Saw X devienne un authentique bon film d’horreur. Tailler dans le gras de ce film bien long (trente minutes d’exposition !) serait déjà un début.
Mad Movies
[...] une trahison complète de l'esprit de la série.
Télérama
Reste qu’on a du mal à en sourire, quand le personnage déguise son courroux en croisade contre le capitalisme, à coups de fil à trancher le beurre…