Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
De film-enquête façon Citizen Kane – une suite d'interviews avec des personnalités ayant connu le grand homme – Le stade de Wimbledon se mue en film-quête, en déambulation morcelée à Trieste, puis à Londres.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Aden
par Philippe Piazzo
Le film est un parcours de sensations. Il sent l'effort - on marche, on cherche, on peine. Il épuise, dans tous les sens du terme : la fatigue laisse surgir des doubles sens inattendus, des situations dont la drôlerie devient inquiétante.
Chronic'art.com
par Grégoire Bénabent
Le Stade de Wimbledon évite (...) les clichés de la quête spirituelle et tient avec rigueur et inspiration ses partis pris de départ.
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Emile Breton
(...) le livre est écrit dans une très sobre écriture "blanche" aux effets constamment gommés. Et c'est bien là qu'est le miracle cinématographique. Mathieu Amalric, (...), ne s'est pas contenté d'adapter "l'histoire", il a (...) épousé l'écriture de Del Giudice jusqu'en son chuchotement de pudeur grave.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Chacun peut voir que le film est réalisé avec des moyens minimaux. La prolifération des thèmes et des ouvertures - romanesques, politiques, historiques, psychologiques, esthétiques -, jamais insistante, signe l'accomplissement de ce miracle de film.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Didier Péron
Le Stade de Wimbledon est un objet à part. Parlé en trois langues (français, anglais, italien), il se voit d'une traite dans un état de suspension heureuse, comme ces livres que l'on peut lire de la première à la dernière page dans l'intervalle d'un trajet en train.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Yann Kerloc'h
(...) le film est un échange constant, de fond et en plusieurs sets, entre le spectateur et l'écran. Mathieu Amalric demande simplement : et vous, vous en êtes à quel stade ?
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Sous des décors de comédie policière, c'est le rapport des femmes à l'écriture qui est ici décortiqué avec finesse tandis que le cinéaste s'interroge sur son envie de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Louis Guichard
Le style, c'est la personne. Celui de Mathieu Amalric est donc imprégné de cette drôle de manière d'être au monde. L'élégance des cadrages, des lumières naturelles et du jeu entre la voix off et la musique font le reste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Claire Vassé
A mille lieues de la carte postale, le cinéaste acteur filme un Trieste bien concret et fait courir une femme à la poursuite de son désir d'écrire. D'après le roman de Daniele Del Giudice.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Le Stade de Wimbledon est en quelque sorte le négatif de Mange ta soupe, le précédent film de Mathieu Amalric: après le débordement de livres, tapissant jusqu'à la folie de la maison familiale, voici l'écrivain qui n'en a jamais écrit un (...).
Cine Libre
par Maureen Loiret
La vue du stade, privé de sens, ne serait donc qu'une étape, qu'un " stade " dans un long questionnement sans réponses ? On peut se demander si Mathieu Amalric n'a pas placé la barre trop haut : trop de métaphores nuisent à l'émergence de la beauté.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Première
par Olivier De Bruyn
Amalric met en scène, souvent avec inspiration, les fluctuations de ses personnages fantômes. Le tout, séduisant mais un rien poseur, peut plaire aux amateurs des cinéastes avec lesquels Amalric a précedemment tourné.
La critique complète est disponible sur le site Première
Urbuz
De film-enquête façon Citizen Kane – une suite d'interviews avec des personnalités ayant connu le grand homme – Le stade de Wimbledon se mue en film-quête, en déambulation morcelée à Trieste, puis à Londres.
Aden
Le film est un parcours de sensations. Il sent l'effort - on marche, on cherche, on peine. Il épuise, dans tous les sens du terme : la fatigue laisse surgir des doubles sens inattendus, des situations dont la drôlerie devient inquiétante.
Chronic'art.com
Le Stade de Wimbledon évite (...) les clichés de la quête spirituelle et tient avec rigueur et inspiration ses partis pris de départ.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
(...) le livre est écrit dans une très sobre écriture "blanche" aux effets constamment gommés. Et c'est bien là qu'est le miracle cinématographique. Mathieu Amalric, (...), ne s'est pas contenté d'adapter "l'histoire", il a (...) épousé l'écriture de Del Giudice jusqu'en son chuchotement de pudeur grave.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Chacun peut voir que le film est réalisé avec des moyens minimaux. La prolifération des thèmes et des ouvertures - romanesques, politiques, historiques, psychologiques, esthétiques -, jamais insistante, signe l'accomplissement de ce miracle de film.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Le Stade de Wimbledon est un objet à part. Parlé en trois langues (français, anglais, italien), il se voit d'une traite dans un état de suspension heureuse, comme ces livres que l'on peut lire de la première à la dernière page dans l'intervalle d'un trajet en train.
MCinéma.com
(...) le film est un échange constant, de fond et en plusieurs sets, entre le spectateur et l'écran. Mathieu Amalric demande simplement : et vous, vous en êtes à quel stade ?
TéléCinéObs
Sous des décors de comédie policière, c'est le rapport des femmes à l'écriture qui est ici décortiqué avec finesse tandis que le cinéaste s'interroge sur son envie de cinéma.
Télérama
Le style, c'est la personne. Celui de Mathieu Amalric est donc imprégné de cette drôle de manière d'être au monde. L'élégance des cadrages, des lumières naturelles et du jeu entre la voix off et la musique font le reste.
Zurban
A mille lieues de la carte postale, le cinéaste acteur filme un Trieste bien concret et fait courir une femme à la poursuite de son désir d'écrire. D'après le roman de Daniele Del Giudice.
Cahiers du Cinéma
Le Stade de Wimbledon est en quelque sorte le négatif de Mange ta soupe, le précédent film de Mathieu Amalric: après le débordement de livres, tapissant jusqu'à la folie de la maison familiale, voici l'écrivain qui n'en a jamais écrit un (...).
Cine Libre
La vue du stade, privé de sens, ne serait donc qu'une étape, qu'un " stade " dans un long questionnement sans réponses ? On peut se demander si Mathieu Amalric n'a pas placé la barre trop haut : trop de métaphores nuisent à l'émergence de la beauté.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Première
Amalric met en scène, souvent avec inspiration, les fluctuations de ses personnages fantômes. Le tout, séduisant mais un rien poseur, peut plaire aux amateurs des cinéastes avec lesquels Amalric a précedemment tourné.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com