Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Première
par Olivier De Bruyn
Abdykalykov, lui, grâce à sa sensibilité aiguë, sait transformer la morosité de son antihéros en beauté sur l'écran. La genre d'exploit qui n'est pas à la portée du premier metteur en scène venu.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Dans le Singe les histoires sont réduites à leur simple expression mais elles sont motivées par quelque chose qui dépasse les seules sollicitations présentes (...).
Chronic'art.com
par Elysabeth François
Abdykalykov partage avec son ex-compatriote, le Kazakh Omirbaev, ce même goût pour des récits où la parole se fait rare, supplantée par une confiance absolue dans le pouvoir évocateur des images.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cine Libre
par La rédaction
Aucune tristesse n'alourdit le dispositif. On se réjouira également de l'humour discret qui jalonne l'histoire. Troisième volet d'une trilogie (La balançoire et Le fils adoptif), Le singe est une belle réussite.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
(...) la singularité poétique de son cinéma persiste dans les coins, notamment quand l'ado mutique prend la tangente et est confronté aux éléments (...), ou bien aux animaux (...), qui font écho à son sobriquet (" le singe ").
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par F.M
Par petite touches, Abdykalykov sait très bien distiller l'ennui qui accable les adolescents dans ce pays du bout du monde, sans jamais tomber dans la platitude.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) Le Singe, contre toute attente, est une épopée. Epopée de la laideur en l'espèce, inscrite sur les visages et sur les corps de ses protagonistes (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Comme tous les bons cinéastes de l'Est, Abdykalykov donne du temps au temps et aux plans, qu'il ne se contente pas d'enchaîner mécaniquement. Ainsi, les scènes les plus triviales acquièrent souvent une résonance poétique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Précision du cadre, sûreté du geste dans l'agencement des couleurs et des formes certes, mais, tout comme dans le Fils adoptif, le film épate surtout par sa bande-son.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Philippe Descottes
Une chronique nostalgique qui n'est pas sans évoquer le néo-réalisme italien. Un film marqué par la justesse et la sensibilité de son propos, lequel ne se limite pas à la seule frontière du Kirghizistan.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par G.L
Le film est à son image (Kirghiz): pudique comédie désenchantée, où la dominante mélancolique se nourrit d'une drôlerie souvent irrésistible. (...) Une manière de dire avec peu de mots, et avec une remarquable sensibilité, le passage vers l'amer âge adulte.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
Abdukalykov fixe moins son attention sur les passages obligés de la chronique d'adolescence que sur des états de conscience caractéristiques de cet âge des possibles.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Zurban
par Claire Vassé
Un essai réussi pour ce peintre de formation qui joue de la couleur, de la lumière et du cadre avec sensualité. Son parcours initiatique est un ravissement pour les yeux et un baume pour le coeur.
Aden
par Philippe Piazzo
Tout le film est parcouru par une sensation d'inachevé, captant par ailleurs, de cet âge, la pesanteur absurde que l'on prête à toute chose.
Télérama
par François Gorin
Avant d'aimer, sans doute faut-il partir mourir un peu. C'est cette petite mort, à la fois douce et violente, que capte si bien ce film-blues aux bigarrures trompeuses
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
Abdykalykov, lui, grâce à sa sensibilité aiguë, sait transformer la morosité de son antihéros en beauté sur l'écran. La genre d'exploit qui n'est pas à la portée du premier metteur en scène venu.
Cahiers du Cinéma
Dans le Singe les histoires sont réduites à leur simple expression mais elles sont motivées par quelque chose qui dépasse les seules sollicitations présentes (...).
Chronic'art.com
Abdykalykov partage avec son ex-compatriote, le Kazakh Omirbaev, ce même goût pour des récits où la parole se fait rare, supplantée par une confiance absolue dans le pouvoir évocateur des images.
Cine Libre
Aucune tristesse n'alourdit le dispositif. On se réjouira également de l'humour discret qui jalonne l'histoire. Troisième volet d'une trilogie (La balançoire et Le fils adoptif), Le singe est une belle réussite.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
(...) la singularité poétique de son cinéma persiste dans les coins, notamment quand l'ado mutique prend la tangente et est confronté aux éléments (...), ou bien aux animaux (...), qui font écho à son sobriquet (" le singe ").
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Par petite touches, Abdykalykov sait très bien distiller l'ennui qui accable les adolescents dans ce pays du bout du monde, sans jamais tomber dans la platitude.
Le Monde
(...) Le Singe, contre toute attente, est une épopée. Epopée de la laideur en l'espèce, inscrite sur les visages et sur les corps de ses protagonistes (...).
Les Inrockuptibles
Comme tous les bons cinéastes de l'Est, Abdykalykov donne du temps au temps et aux plans, qu'il ne se contente pas d'enchaîner mécaniquement. Ainsi, les scènes les plus triviales acquièrent souvent une résonance poétique.
Libération
Précision du cadre, sûreté du geste dans l'agencement des couleurs et des formes certes, mais, tout comme dans le Fils adoptif, le film épate surtout par sa bande-son.
MCinéma.com
Une chronique nostalgique qui n'est pas sans évoquer le néo-réalisme italien. Un film marqué par la justesse et la sensibilité de son propos, lequel ne se limite pas à la seule frontière du Kirghizistan.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Le film est à son image (Kirghiz): pudique comédie désenchantée, où la dominante mélancolique se nourrit d'une drôlerie souvent irrésistible. (...) Une manière de dire avec peu de mots, et avec une remarquable sensibilité, le passage vers l'amer âge adulte.
Urbuz
Abdukalykov fixe moins son attention sur les passages obligés de la chronique d'adolescence que sur des états de conscience caractéristiques de cet âge des possibles.
Zurban
Un essai réussi pour ce peintre de formation qui joue de la couleur, de la lumière et du cadre avec sensualité. Son parcours initiatique est un ravissement pour les yeux et un baume pour le coeur.
Aden
Tout le film est parcouru par une sensation d'inachevé, captant par ailleurs, de cet âge, la pesanteur absurde que l'on prête à toute chose.
Télérama
Avant d'aimer, sans doute faut-il partir mourir un peu. C'est cette petite mort, à la fois douce et violente, que capte si bien ce film-blues aux bigarrures trompeuses