Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Compte-rendu à rebours d’un mois d’août entre réalité et fiction, ce “Journal”, jeu de l’oie ludique et luxueuse collection de moments d’étrangeté et de beauté, donne le sentiment d’assister au réveil du cinéma au sortir du coma du confinement. Hautement stimulant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
par Hervé Aubron
Improvisation et herbes folles d'un côté, coup de force formel de l'autre.
Critikat.com
par Raphaëlle Pireyre
C’est bien l’horizon du film : le jeu avec les différents degrés de fiction sert de prétexte au divin plaisir de voir la lumière du jour ou des spots colorés changer sur les visages des acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Dans un cinéma qui ne ressemble qu’à lui-même, Maureen Fazendeiro et Miguel Gomes inventent une forme libre, particulièrement en prise le contemporain.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Julien Gester
(...) beaucoup de la séduction sécrétée par ce film – qui, de séduction, est aussi gorgé et saoul qu’un fruit trop mûr – tient précisément à son choix de surfer sur la pesanteur de l’époque en état de pure apesanteur, de sonder le cataclysme généralisé depuis l’amère douceur d’un cocon en été, de traiter le caractère majeur du désastre sur un mode résolument mineur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Maureen Fazendeiro et Miguel Gomes nous invitent à une rêverie poétique contrariée par les nouvelles règles sanitaires.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un film dans le film, solaire et inquiet, qui séduit durant une belle première heure par sa singularité et la précision de sa mise en scène. Mais le procédé vire ensuite au systématisme et s’avère de moins en moins inspiré. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Un film tendrement anarchique.
Positif
par Yann Tobin
Un charme ténu s’installe donc, doublé d’une sorte de témoignage documentaire sur les conditions de tournage dictées par le coronavirus. On est loin de l’inventivité stupéfiante de Tabou (2012), mais l’expérience est plaisante.
Télérama
par Jacques Morice
Malgré des passages un peu lâches, ce film réalisé par Michel Gomes (Tabou, Les Mille et Une Nuits) et sa compagne, Maureen Fazendeiro, délivre une forme de jeu poétique, antidote salutaire à l’enfermement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Thomas Baurez
Les cinéastes, Miguel Gomes et Maureen Fazendeiro, sont vaguement là, laissant souvent les clefs du film à ses trois interprètes dubitatifs.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro
par La Rédaction
Ce long-métrage portugais, sélectionné à Cannes dans la section de La Quinzaine des réalisateurs, tourne volontairement à vide.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un parti pris radical, sauf que l’enjeu dramatique est inexistant, les personnages manquent de consistance et surtout il ne se passe rien.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
Compte-rendu à rebours d’un mois d’août entre réalité et fiction, ce “Journal”, jeu de l’oie ludique et luxueuse collection de moments d’étrangeté et de beauté, donne le sentiment d’assister au réveil du cinéma au sortir du coma du confinement. Hautement stimulant.
Cahiers du Cinéma
Improvisation et herbes folles d'un côté, coup de force formel de l'autre.
Critikat.com
C’est bien l’horizon du film : le jeu avec les différents degrés de fiction sert de prétexte au divin plaisir de voir la lumière du jour ou des spots colorés changer sur les visages des acteurs.
Les Inrockuptibles
Dans un cinéma qui ne ressemble qu’à lui-même, Maureen Fazendeiro et Miguel Gomes inventent une forme libre, particulièrement en prise le contemporain.
Libération
(...) beaucoup de la séduction sécrétée par ce film – qui, de séduction, est aussi gorgé et saoul qu’un fruit trop mûr – tient précisément à son choix de surfer sur la pesanteur de l’époque en état de pure apesanteur, de sonder le cataclysme généralisé depuis l’amère douceur d’un cocon en été, de traiter le caractère majeur du désastre sur un mode résolument mineur.
Paris Match
Maureen Fazendeiro et Miguel Gomes nous invitent à une rêverie poétique contrariée par les nouvelles règles sanitaires.
L'Obs
Un film dans le film, solaire et inquiet, qui séduit durant une belle première heure par sa singularité et la précision de sa mise en scène. Mais le procédé vire ensuite au systématisme et s’avère de moins en moins inspiré. Dommage.
Le Monde
Un film tendrement anarchique.
Positif
Un charme ténu s’installe donc, doublé d’une sorte de témoignage documentaire sur les conditions de tournage dictées par le coronavirus. On est loin de l’inventivité stupéfiante de Tabou (2012), mais l’expérience est plaisante.
Télérama
Malgré des passages un peu lâches, ce film réalisé par Michel Gomes (Tabou, Les Mille et Une Nuits) et sa compagne, Maureen Fazendeiro, délivre une forme de jeu poétique, antidote salutaire à l’enfermement.
Première
Les cinéastes, Miguel Gomes et Maureen Fazendeiro, sont vaguement là, laissant souvent les clefs du film à ses trois interprètes dubitatifs.
Le Figaro
Ce long-métrage portugais, sélectionné à Cannes dans la section de La Quinzaine des réalisateurs, tourne volontairement à vide.
Le Journal du Dimanche
Un parti pris radical, sauf que l’enjeu dramatique est inexistant, les personnages manquent de consistance et surtout il ne se passe rien.