Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
33 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
Ode à une salle de cinéma et aux liens qui sauvent, portrait d’une femme éteinte qui va « se rallumer », Empire of Light célèbre la magie. Celle qui s’offre à nous si on veut bien la regarder.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Humanité
par Michaël Melinard
Ce qui se joue n’est pas le cinéma tel qu’on le fait ou qu’on le vit, mais ce qu’il apporte. Comment on le diffuse, comment il est perçu, comment il change les existences. Ici, le cinéma est du rêve et la réalité.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Sam Mendes rend hommage à sa mère, qui était atteinte d'une maladie mentale similaire. Il envoie aussi une superbe lettre d'amour au septième art. En peu d'images, il en dit beaucoup.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Chaleureux, mélancolique et puissant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Olivia Colman est une nouvelle fois grandiose.
20 Minutes
par Caroline Vié
Olivia Colman, Micheal Ward, Colin Firh et Tony Jones rendent ce cinéma très vivant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
«Empire of light» prouve que le 7e art doit, malgré les crises sanitaires et les atrocités du monde, rester un vecteur de bonheur et d’émerveillement.
La critique complète est disponible sur le site CNews
CinemaTeaser
par Renan Cros
Un cinéma qui fait totalement corps avec l’émotion, qui croit encore aux vertus des histoires, à celle de l’empathie, aussi complexes soient-elles.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Une célébration du cinéma comme art du rêve, de l'amour et de la consolation.
Elle
par Françoise Delbecq
Un film d'un romantisme fou sur un fond social cruel.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Film d’ambiance touchant, Empire of Light envoûte dans ses atmosphères et ses personnages, avec le tact d’un Sam Mendes confident toujours juste. Un joyau.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
C’est une lettre d’amour au cinéma, d’une rare beauté.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Delphine De Freitas
Un film d’une grande beauté, porté par la prestation remarquable de la star de "The Crown".
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Croix
par Céline Rouden
Un drame romantique poignant porté par l’impressionnante Olivia Colman et une ode au pouvoir consolateur des images.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Une célébration du cinéma comme art du rêve, de l'amour et de la consolation.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Une chronique douce-amère qui rappelle qu’un peu de gentillesse peut sauver une vie.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Sur une mise en scène brillante de Sam Mendes, la merveilleuse Olivia Colman et le sublime Micheal Ward nous font chavirer.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Olivier Lamm
Enième ode au cinéma, le mélodrame eighties de Sam Mendes, porté par une Olivia Colman émouvante, glisse habilement entre ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Fort et beau.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Julien Rousset
Un mélo émouvant, malgré un jeu d’Olivia Colman exacerbé, parfois plus proche de la « performance » que de la justesse.
Télé 2 semaines
par M.L.
Sur fond d'une Angleterre déchirée par la politique de Margaret Thatcher, cette ode au cinéma comme vecteur de liens éblouit.
Télérama
par Jérémie Couston
Délicat et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un tact que l'on doit notamment à la pudeur de ma mise en scène et à celles des prestations d'Olivia Colman et Michael Ward.
aVoir-aLire.com
par Julien Rocher
Empire of Light se vit comme une rêverie fiévreuse, passionnée, sacrée.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Portrait d'époque, romance impossible, lettre d'amour au cinéma, drame social... Empire of Light s'emmêle les pinceaux dans un trop-plein d'idées confuses, malgré la puissante prestation d'Olivia Colman.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Monde
par J.Ma.
Cette ode à la salle de cinéma, aux malheurs et à l’amitié qui s’y tiennent la main, à la chaleur qui s’y répand, au lustre qu’elle ressuscite, offre l’exemple d’un spectacle qu’on dirait aujourd’hui, en cette époque « marvelisée », à l’ancienne, avec le goût de la reconstitution soignée, du dialogue bien mené, de l’interprétation irréprochable.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Le retour de Sam Mendes dans la sphère intimiste pour un film empreint de son passé, dont la parfaite mise en scène tend parfois à effacer l’émotion du récit.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
La mise en scène un peu trop sage de Sam Mendes n’empêche pas l’émotion d’affleurer, tant l’alchimie entre Olivia Colman et Micheal Ward fonctionne.
Critikat.com
par Fabrice Fuentes
À vouloir trop enfermer la fameuse « magie du cinéma » dans un bocal, Mendes produit un cinéma sans magie – une vision d’auteur sans vision.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Après Babylon et The Fabelmans, Sam Mendes signe à son tour sa déclaration d’amour à un septième art qui pénètre l’histoire intime de chacun. C’est aussi le problème : il arrive après les deux autres. Et cette fois, nous avons vraiment eu du mal à nous passionner pour ce chassé-croisé ténu, écrit en petites touches trop volatiles semblant parfois se chercher.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
Sam Mendes emballe l’ensemble comme un tissu de significations dressées sur présentoir, où rien ne dépasse de plans léchés en demi-jours soyeux, et où le cinéma ne joue d’autre rôle que celui de décor (il est interdit au personnel de voir les films) – ni un imaginaire, ni une mémoire, ni un mystère, mais le fermoir suprême qui permet de boucler le film sur lui-même.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
C’est ce qui frappe d’abord devant Empire of the Light, cet effet de lissage de l’image n’offrant qu’un simulacre de film singeant, à gros traits, un vintage éculé, sans qu’aucune inspiration de mise en scène ne vienne tordre un peu la trop bonne tenue de ce tableau suranné.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Frédéric Foubert
A l’inverse du Chazelle de Babylon, qui, à partir d’une réflexion sur la dimension morbide du cinéma, a tiré une œuvre électrisante, Mendes veut nous dire que le cinéma peut nous réconcilier avec la vie, mais le fait dans une forme muséale et endormie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Bande à part
Ode à une salle de cinéma et aux liens qui sauvent, portrait d’une femme éteinte qui va « se rallumer », Empire of Light célèbre la magie. Celle qui s’offre à nous si on veut bien la regarder.
L'Humanité
Ce qui se joue n’est pas le cinéma tel qu’on le fait ou qu’on le vit, mais ce qu’il apporte. Comment on le diffuse, comment il est perçu, comment il change les existences. Ici, le cinéma est du rêve et la réalité.
Le Figaro
Sam Mendes rend hommage à sa mère, qui était atteinte d'une maladie mentale similaire. Il envoie aussi une superbe lettre d'amour au septième art. En peu d'images, il en dit beaucoup.
Les Echos
Chaleureux, mélancolique et puissant.
Ouest France
Olivia Colman est une nouvelle fois grandiose.
20 Minutes
Olivia Colman, Micheal Ward, Colin Firh et Tony Jones rendent ce cinéma très vivant.
CNews
«Empire of light» prouve que le 7e art doit, malgré les crises sanitaires et les atrocités du monde, rester un vecteur de bonheur et d’émerveillement.
CinemaTeaser
Un cinéma qui fait totalement corps avec l’émotion, qui croit encore aux vertus des histoires, à celle de l’empathie, aussi complexes soient-elles.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Une célébration du cinéma comme art du rêve, de l'amour et de la consolation.
Elle
Un film d'un romantisme fou sur un fond social cruel.
Franceinfo Culture
Film d’ambiance touchant, Empire of Light envoûte dans ses atmosphères et ses personnages, avec le tact d’un Sam Mendes confident toujours juste. Un joyau.
L'Obs
C’est une lettre d’amour au cinéma, d’une rare beauté.
LCI
Un film d’une grande beauté, porté par la prestation remarquable de la star de "The Crown".
La Croix
Un drame romantique poignant porté par l’impressionnante Olivia Colman et une ode au pouvoir consolateur des images.
Le Dauphiné Libéré
Une célébration du cinéma comme art du rêve, de l'amour et de la consolation.
Le Journal du Dimanche
Une chronique douce-amère qui rappelle qu’un peu de gentillesse peut sauver une vie.
Le Parisien
Sur une mise en scène brillante de Sam Mendes, la merveilleuse Olivia Colman et le sublime Micheal Ward nous font chavirer.
Libération
Enième ode au cinéma, le mélodrame eighties de Sam Mendes, porté par une Olivia Colman émouvante, glisse habilement entre ses personnages.
Rolling Stone
Fort et beau.
Sud Ouest
Un mélo émouvant, malgré un jeu d’Olivia Colman exacerbé, parfois plus proche de la « performance » que de la justesse.
Télé 2 semaines
Sur fond d'une Angleterre déchirée par la politique de Margaret Thatcher, cette ode au cinéma comme vecteur de liens éblouit.
Télérama
Délicat et émouvant.
Voici
Un tact que l'on doit notamment à la pudeur de ma mise en scène et à celles des prestations d'Olivia Colman et Michael Ward.
aVoir-aLire.com
Empire of Light se vit comme une rêverie fiévreuse, passionnée, sacrée.
Ecran Large
Portrait d'époque, romance impossible, lettre d'amour au cinéma, drame social... Empire of Light s'emmêle les pinceaux dans un trop-plein d'idées confuses, malgré la puissante prestation d'Olivia Colman.
Le Monde
Cette ode à la salle de cinéma, aux malheurs et à l’amitié qui s’y tiennent la main, à la chaleur qui s’y répand, au lustre qu’elle ressuscite, offre l’exemple d’un spectacle qu’on dirait aujourd’hui, en cette époque « marvelisée », à l’ancienne, avec le goût de la reconstitution soignée, du dialogue bien mené, de l’interprétation irréprochable.
Les Fiches du Cinéma
Le retour de Sam Mendes dans la sphère intimiste pour un film empreint de son passé, dont la parfaite mise en scène tend parfois à effacer l’émotion du récit.
Télé 7 Jours
La mise en scène un peu trop sage de Sam Mendes n’empêche pas l’émotion d’affleurer, tant l’alchimie entre Olivia Colman et Micheal Ward fonctionne.
Critikat.com
À vouloir trop enfermer la fameuse « magie du cinéma » dans un bocal, Mendes produit un cinéma sans magie – une vision d’auteur sans vision.
La Voix du Nord
Après Babylon et The Fabelmans, Sam Mendes signe à son tour sa déclaration d’amour à un septième art qui pénètre l’histoire intime de chacun. C’est aussi le problème : il arrive après les deux autres. Et cette fois, nous avons vraiment eu du mal à nous passionner pour ce chassé-croisé ténu, écrit en petites touches trop volatiles semblant parfois se chercher.
Cahiers du Cinéma
Sam Mendes emballe l’ensemble comme un tissu de significations dressées sur présentoir, où rien ne dépasse de plans léchés en demi-jours soyeux, et où le cinéma ne joue d’autre rôle que celui de décor (il est interdit au personnel de voir les films) – ni un imaginaire, ni une mémoire, ni un mystère, mais le fermoir suprême qui permet de boucler le film sur lui-même.
Les Inrockuptibles
C’est ce qui frappe d’abord devant Empire of the Light, cet effet de lissage de l’image n’offrant qu’un simulacre de film singeant, à gros traits, un vintage éculé, sans qu’aucune inspiration de mise en scène ne vienne tordre un peu la trop bonne tenue de ce tableau suranné.
Première
A l’inverse du Chazelle de Babylon, qui, à partir d’une réflexion sur la dimension morbide du cinéma, a tiré une œuvre électrisante, Mendes veut nous dire que le cinéma peut nous réconcilier avec la vie, mais le fait dans une forme muséale et endormie.