Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Brazil
par Clémence Poniatowski
Ce premier long métrage touche par sa manière d'observer le quotidien qui s'enlise pour suggérer le mal de vivre profond qui s'installe.
Chronic'art.com
par Grégoire Bénabent
On espère néanmoins que la réalisatrice saura faire évoluer cette écriture si particulière, qui risquerait sinon de tourner procédé. Ce qui n'enlève rien à la réussite et au charme de ce coup d'essai.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Les Echos
par Annie Coppermann
Rien de spectaculaire, vraiment. Mais le charme d'une tapisserie chorale sans esbrouffe, un bouquet d'interprètes magnifiques (il faut aller voir Bulle Ogier), et de belles images mélancoliques qui rappellent que la réalisatrice, qui a fait des études d'arts plastiques, aime Edward Hopper et... Wim Wenders. La très convoitée caméra d'or décrochée au dernier Festival de Cannes a pu, alors, être jugée un peu écrasante. Elle n'est pas imméritée. Julie Lopes-Curval a une vision, une sensibilité et, déjà, une grande maîtrise.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Bord de mer rend admirablement la mélancolie sourde propre aux villes de vacances et le vertige douloureux devant la fuite du temps. Une jolie surprise.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Un canevas mince, donc, mais une jolie broderie au point de croix.
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Là aussi la manoeuvre est adroite, mais reste décidément un peu trop une manoeuvre. Il faut espérer que la Caméra d'or qui a couronné, au Festival de Cannes, ce premier film donne à sa talentueuse réalisatrice la possibilité de se laisser davantage aller pour son deuxième film.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Mais quelque chose gêne, dérange. Sa sophistication mal placée, peut-être.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Olivier Nicklaus
(...) un premier film truffé de belles idées, mais alourdi par la psychologie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
Quand leur jeu ne tourne pas au numéro, les acteurs rendent l'ensemble plaisant. Bord de mer, mais temps gris perle.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Marc Arlin
Mené à un rythme un peu lent, le récit aurait peut-être gagné à être plus resserré. Plus (a)mer que doux, ce film illustre que, même en bord de mer, avoir mal au coeur ne signifie pas toujours être malade en bateau...
Première
par Olivier De Bruyn
Restent quelques belles scènes atmosphériques et la prestation d'Hélène Fillières, comédienne définitivement épatante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Murat
La réalisatrice, de toute évidence, a de la sensibilité et une réelle modestie, mais on reste sidéré que ce film pas honteux, pas glauque, pas vulgaire - mais qu'est-il, en fait, c'est ça le problème ! - ait obtenu la Caméra d'or (meilleur premier film) du festival de Cannes 2002. Peut-être les membres du jury, doués pour lire dans les astres, n'ont-ils pas récompensé ce film de Julia Lopes-Curval, mais ceux à venir...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Véronique Le Bris
Auréolé de la caméra d'or à Cannes, ce premier film est touchant, sensible. Les portraits sont convaincants, les acteurs attrayants et l'ennui... bien présent.
Aden
par Philippe Piazzo
Ce que l'on comprend en quelques plans se développe ici sur une heure et demie. On se demande presque ce qu'on fait là.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Brazil
Ce premier long métrage touche par sa manière d'observer le quotidien qui s'enlise pour suggérer le mal de vivre profond qui s'installe.
Chronic'art.com
On espère néanmoins que la réalisatrice saura faire évoluer cette écriture si particulière, qui risquerait sinon de tourner procédé. Ce qui n'enlève rien à la réussite et au charme de ce coup d'essai.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Echos
Rien de spectaculaire, vraiment. Mais le charme d'une tapisserie chorale sans esbrouffe, un bouquet d'interprètes magnifiques (il faut aller voir Bulle Ogier), et de belles images mélancoliques qui rappellent que la réalisatrice, qui a fait des études d'arts plastiques, aime Edward Hopper et... Wim Wenders. La très convoitée caméra d'or décrochée au dernier Festival de Cannes a pu, alors, être jugée un peu écrasante. Elle n'est pas imméritée. Julie Lopes-Curval a une vision, une sensibilité et, déjà, une grande maîtrise.
TéléCinéObs
Bord de mer rend admirablement la mélancolie sourde propre aux villes de vacances et le vertige douloureux devant la fuite du temps. Une jolie surprise.
Le Figaroscope
Un canevas mince, donc, mais une jolie broderie au point de croix.
Le Monde
Là aussi la manoeuvre est adroite, mais reste décidément un peu trop une manoeuvre. Il faut espérer que la Caméra d'or qui a couronné, au Festival de Cannes, ce premier film donne à sa talentueuse réalisatrice la possibilité de se laisser davantage aller pour son deuxième film.
Le Parisien
Mais quelque chose gêne, dérange. Sa sophistication mal placée, peut-être.
Les Inrockuptibles
(...) un premier film truffé de belles idées, mais alourdi par la psychologie.
Libération
Quand leur jeu ne tourne pas au numéro, les acteurs rendent l'ensemble plaisant. Bord de mer, mais temps gris perle.
MCinéma.com
Mené à un rythme un peu lent, le récit aurait peut-être gagné à être plus resserré. Plus (a)mer que doux, ce film illustre que, même en bord de mer, avoir mal au coeur ne signifie pas toujours être malade en bateau...
Première
Restent quelques belles scènes atmosphériques et la prestation d'Hélène Fillières, comédienne définitivement épatante.
Télérama
La réalisatrice, de toute évidence, a de la sensibilité et une réelle modestie, mais on reste sidéré que ce film pas honteux, pas glauque, pas vulgaire - mais qu'est-il, en fait, c'est ça le problème ! - ait obtenu la Caméra d'or (meilleur premier film) du festival de Cannes 2002. Peut-être les membres du jury, doués pour lire dans les astres, n'ont-ils pas récompensé ce film de Julia Lopes-Curval, mais ceux à venir...
Zurban
Auréolé de la caméra d'or à Cannes, ce premier film est touchant, sensible. Les portraits sont convaincants, les acteurs attrayants et l'ennui... bien présent.
Aden
Ce que l'on comprend en quelques plans se développe ici sur une heure et demie. On se demande presque ce qu'on fait là.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com