Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
CinemaTeaser
par Perrine Quennesson
Au croisement de Kiyoshi Kurosawa et Hirokazu Kore-eda, la cinéaste Chie Hayakawa impose son regard dès son premier film.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
[Un] bouleversant premier long-métrage à la réalisation parfaitement maîtrisée.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Chie Hayakawa dénonce avec finesse une course effrénée au profit.
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Chie Hayakawa, la réalisatrice, signe une œuvre bouleversante (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Un film tellement réaliste qu’il fait froid dans le dos.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Magnifique et bouleversant, terrible par moments, ce premier long-métrage, récompensé d’une mention à la Caméra d’or à Cannes en 2022, nous saisit par l’atroce situation qu’il décrit.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Guillemette Odicino
Jusqu’ici, des cinéastes avaient abordé, à travers des cas particuliers, le thème de l’euthanasie choisie. Ce film remarquable est le premier à l’aborder comme un potentiel système d’État, et cela fait froid dans le dos.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Entre science-fiction qu’on n’espère pas prémonitoire et critique sociale puissante, la mention Caméra d’Or de Cannes 2022 est une incontestable réussite.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Valentin Denis
S’il tend parfois au misérabilisme, Plan 75 témoigne d'une certaine économie qui finit par convaincre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par La rédaction
Dommage cela dit qu'en venant éclipser parfois sa jolie idée avec des thématiques rebattues (la solitude, le deuil, l'exclusion), le film s'oublie en chemin dans une structure très schématique et voit son rythme s'écrouler. Reste toutefois la promesse d'une réalisatrice à suivre de près.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Malgré un rythme languissant et une mise en scène austère, on est captivé par ce récit humaniste.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par M. Dl.
Malgré une approche programmatique, où chaque plan pousse le curseur vers l’anéantissement, et une mise en scène verglacée légèrement redondante, Plan 75 a le mérite de décrire les mécanismes de l’intolérance à l’égard des seniors, particulièrement présente au Japon (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Habile et efficace, Plan 75 pâtit cependant de son exemplarité, parfois de son léger penchant pour le misérabilisme et de sa tenue un peu scolaire.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
Plan 75 se contente de laisser le sujet faire le boulot, le propos file droit, le récit ne doute jamais d’aller où il sait qu’il est «bien» d’aller. Malgré tout, il y a les ponctuations. [...] Le film vaut pour ces quelques gestes échappés, arrachés au reste, et exprimant la routine de l’absurde [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Hayakawa étend à l’échelle du film tout entier une esthétique de nature morte, faisant longtemps durer les plans dans un clair-obscur étudié pour contempler non seulement la mort, mais l’intériorisation de la nécessité sociale de mourir [...]. Cette absence d’énergie crée un rythme trop souvent languissant qui englue la mise en scène.
L'Obs
par F. F.
Le sujet est sinistre, la réalisation glaciale : on comprend les conflits humains, on a du mal à suivre cette narration lente, parfois agaçante. Le problème des vieux est aigu, mais on n’est pas obligé de s’asseoir dans une salle pour le subir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Un film choral sobre et poétique, mais dont la retenue peut constituer un obstacle à l’émotion.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Chie Hayakawa le traite avec une grande délicatesse, évite toute facilité lacrymale mais une fois ses personnages et les dilemmes moraux induits par cette situation posés, son récit a tendance à se dérouler de manière trop programmatique et aurait mérité d’être resserré pour garder intacts la tension et l’effet de sidération des premiers moments.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Frissonnant d’un plaisir honteux, [le] spectateur est invité à une expérience sous vide − expurgée du spectre des sentiments humains, de tout espoir et de toute possibilité de révolte − dans laquelle la puissance même du cauchemar est digérée par le divertissement, confirmant que la seule valeur de ces fantasmes apocalyptiques est mortifère.
CinemaTeaser
Au croisement de Kiyoshi Kurosawa et Hirokazu Kore-eda, la cinéaste Chie Hayakawa impose son regard dès son premier film.
Franceinfo Culture
[Un] bouleversant premier long-métrage à la réalisation parfaitement maîtrisée.
L'Humanité
Chie Hayakawa dénonce avec finesse une course effrénée au profit.
La Croix
Chie Hayakawa, la réalisatrice, signe une œuvre bouleversante (...).
Le Figaro
Un film tellement réaliste qu’il fait froid dans le dos.
Le Parisien
Magnifique et bouleversant, terrible par moments, ce premier long-métrage, récompensé d’une mention à la Caméra d’or à Cannes en 2022, nous saisit par l’atroce situation qu’il décrit.
Télérama
Jusqu’ici, des cinéastes avaient abordé, à travers des cas particuliers, le thème de l’euthanasie choisie. Ce film remarquable est le premier à l’aborder comme un potentiel système d’État, et cela fait froid dans le dos.
aVoir-aLire.com
Entre science-fiction qu’on n’espère pas prémonitoire et critique sociale puissante, la mention Caméra d’Or de Cannes 2022 est une incontestable réussite.
Critikat.com
S’il tend parfois au misérabilisme, Plan 75 témoigne d'une certaine économie qui finit par convaincre.
Ecran Large
Dommage cela dit qu'en venant éclipser parfois sa jolie idée avec des thématiques rebattues (la solitude, le deuil, l'exclusion), le film s'oublie en chemin dans une structure très schématique et voit son rythme s'écrouler. Reste toutefois la promesse d'une réalisatrice à suivre de près.
Le Journal du Dimanche
Malgré un rythme languissant et une mise en scène austère, on est captivé par ce récit humaniste.
Le Monde
Malgré une approche programmatique, où chaque plan pousse le curseur vers l’anéantissement, et une mise en scène verglacée légèrement redondante, Plan 75 a le mérite de décrire les mécanismes de l’intolérance à l’égard des seniors, particulièrement présente au Japon (...).
Les Inrockuptibles
Habile et efficace, Plan 75 pâtit cependant de son exemplarité, parfois de son léger penchant pour le misérabilisme et de sa tenue un peu scolaire.
Libération
Plan 75 se contente de laisser le sujet faire le boulot, le propos file droit, le récit ne doute jamais d’aller où il sait qu’il est «bien» d’aller. Malgré tout, il y a les ponctuations. [...] Le film vaut pour ces quelques gestes échappés, arrachés au reste, et exprimant la routine de l’absurde [...].
Cahiers du Cinéma
Hayakawa étend à l’échelle du film tout entier une esthétique de nature morte, faisant longtemps durer les plans dans un clair-obscur étudié pour contempler non seulement la mort, mais l’intériorisation de la nécessité sociale de mourir [...]. Cette absence d’énergie crée un rythme trop souvent languissant qui englue la mise en scène.
L'Obs
Le sujet est sinistre, la réalisation glaciale : on comprend les conflits humains, on a du mal à suivre cette narration lente, parfois agaçante. Le problème des vieux est aigu, mais on n’est pas obligé de s’asseoir dans une salle pour le subir.
Les Fiches du Cinéma
Un film choral sobre et poétique, mais dont la retenue peut constituer un obstacle à l’émotion.
Première
Chie Hayakawa le traite avec une grande délicatesse, évite toute facilité lacrymale mais une fois ses personnages et les dilemmes moraux induits par cette situation posés, son récit a tendance à se dérouler de manière trop programmatique et aurait mérité d’être resserré pour garder intacts la tension et l’effet de sidération des premiers moments.
Transfuge
Frissonnant d’un plaisir honteux, [le] spectateur est invité à une expérience sous vide − expurgée du spectre des sentiments humains, de tout espoir et de toute possibilité de révolte − dans laquelle la puissance même du cauchemar est digérée par le divertissement, confirmant que la seule valeur de ces fantasmes apocalyptiques est mortifère.