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Il y a beaucoup de tendresse et d'humour dans cette course-poursuite rocambolesque, des personnages drôles et attachants, et un peu de Jacques Demy pour les chansons. Courez-y !
Avec des dialogues rafraîchissants, des situations irrévérencieuses et un univers graphique sensuel et chatoyant, Chiara Malta et Sébastien Laudenbach nous offrent véritablement un pur moment de bonheur.
Une petite bombe qui réussit à émouvoir et à faire rire en même temps, tout en marquant la rétine avec son animation crayonnée toujours en mouvement, multipliant les audaces graphiques – telles qu’un code couleur différent pour chaque personnage – et les belles idées du début à la fin.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Récompensé d’un Cristal, la plus haute distinction au Festival du film international d’animation d’Annecy, ce bijou d’humour et de tendresse sur le deuil et la relation mère-fille est aussi une réussite de mise en scène.
La hardiesse visuelle de cette entreprise pop, qui après La Jeune Fille sans mains en 2016 consacre Sébastien Laudenbach comme l’un des plus talentueux cinéastes d’animation européens, fait bon ménage avec le réalisme d’un scénario et de dialogues qui se débrident au point de laisser la fantaisie (…) envahir le récit tout en faisant alterner les séquences de course à l’échalote classique et les moments introspectifs.
Portrait optimiste d’une France brisée qui s’aime et qui s’entraide, "Linda veut du poulet !" réchauffe les cœurs. Hilarant et attendrissant, le film combat la grisaille du quotidien grâce à une animation riche en couleurs et un mixage sonore d'une rare efficacité.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Récompensé à Annecy, le film de Chiara Malta et Sébastien Laudenbach traite de mémoire, de deuil et de recettes adorées dans une animation inventive et sensible.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Comédie tendre et loufoque aux couleurs acidulées sur le deuil et l’injustice, Linda veut du poulet ! est un film d’animation qui célèbre la joie de vivre et l’esprit de résilience propre à l’enfance.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Récompensé par le Cristal au festival d’animation d’Annecy, ce film franco-italien met une enfant orpheline de père face à sa mère. Avec beaucoup d’Humour et un rythme trépidant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Foisonnant, le film emprunte des sentiers multiples, de la cité à la campagne, mais aussi du mélodrame au merveilleux, avec quelques épisodes chantés qui lui confèrent sa dimension poétique. Linda veut du poulet ! est une œuvre virevoltante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Une fillette exige du poulet un jour de grève. Ce prétexte suffit à Chiara Malta et Sébastien Laudenbach pour mettre en branle un dessin animé conçu comme un grand huit de gags colorés. Epoustouflant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
“Linda veut du poulet” fait l’effet d’un grand brouhaha mélodieux, maîtrisé et ondulant, dans lequel se précipitent quantité de personnages secondaires, tous·tes engagé·es d’une manière ou d’une autre vers cette quête absurde qui n’est pas sans amertume.
Bourrée de gags et d’exploits narratifs (le prologue sur la mort du père, chef-d’oeuvre lacrymal), la course-poursuite à la volaille devient pulsion de vie pour une veuve et une orpheline qui s’étaient mises en stase. Une forme de résistance euphorique et contagieuse contre la fatalité et l’ordre établi.
La critique complète est disponible sur le site Première
Trait faussement minimaliste, feux d’artifice de couleurs, scénario débridé vantant la solidarité et la diversité culturelle, le film fond en bouche. Manque juste, dans la mise en scène, un soupçon de vivacité supplémentaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Une aventure poétique, insolente, burlesque, mélancolique au service d'un univers graphique singulier, qui privilégie le minimalisme de silhouettes aux couleurs vives et en mouvement perpétuel.
Elle
Il y a beaucoup de tendresse et d'humour dans cette course-poursuite rocambolesque, des personnages drôles et attachants, et un peu de Jacques Demy pour les chansons. Courez-y !
Franceinfo Culture
Avec des dialogues rafraîchissants, des situations irrévérencieuses et un univers graphique sensuel et chatoyant, Chiara Malta et Sébastien Laudenbach nous offrent véritablement un pur moment de bonheur.
Le Parisien
Une petite bombe qui réussit à émouvoir et à faire rire en même temps, tout en marquant la rétine avec son animation crayonnée toujours en mouvement, multipliant les audaces graphiques – telles qu’un code couleur différent pour chaque personnage – et les belles idées du début à la fin.
Ouest France
Une variation autour du deuil d'une finesse infinie.
Télé 7 Jours
Récompensé d’un Cristal, la plus haute distinction au Festival du film international d’animation d’Annecy, ce bijou d’humour et de tendresse sur le deuil et la relation mère-fille est aussi une réussite de mise en scène.
20 Minutes
Ce film d’animation est à la fois délirant et appétissant.
CNews
Une œuvre originale qui évoque les souffrances d’une enfant en usant de l’humour.
Cahiers du Cinéma
La hardiesse visuelle de cette entreprise pop, qui après La Jeune Fille sans mains en 2016 consacre Sébastien Laudenbach comme l’un des plus talentueux cinéastes d’animation européens, fait bon ménage avec le réalisme d’un scénario et de dialogues qui se débrident au point de laisser la fantaisie (…) envahir le récit tout en faisant alterner les séquences de course à l’échalote classique et les moments introspectifs.
CinemaTeaser
Une animation tendre et drôle où Vice-Versa semble croiser A plein temps et Athéna.
Ecran Large
Portrait optimiste d’une France brisée qui s’aime et qui s’entraide, "Linda veut du poulet !" réchauffe les cœurs. Hilarant et attendrissant, le film combat la grisaille du quotidien grâce à une animation riche en couleurs et un mixage sonore d'une rare efficacité.
L'Humanité
Récompensé à Annecy, le film de Chiara Malta et Sébastien Laudenbach traite de mémoire, de deuil et de recettes adorées dans une animation inventive et sensible.
La Croix
Comédie tendre et loufoque aux couleurs acidulées sur le deuil et l’injustice, Linda veut du poulet ! est un film d’animation qui célèbre la joie de vivre et l’esprit de résilience propre à l’enfance.
Le Figaro
Récompensé par le Cristal au festival d’animation d’Annecy, ce film franco-italien met une enfant orpheline de père face à sa mère. Avec beaucoup d’Humour et un rythme trépidant.
Le Monde
Foisonnant, le film emprunte des sentiers multiples, de la cité à la campagne, mais aussi du mélodrame au merveilleux, avec quelques épisodes chantés qui lui confèrent sa dimension poétique. Linda veut du poulet ! est une œuvre virevoltante.
Les Echos
Une fillette exige du poulet un jour de grève. Ce prétexte suffit à Chiara Malta et Sébastien Laudenbach pour mettre en branle un dessin animé conçu comme un grand huit de gags colorés. Epoustouflant.
Les Fiches du Cinéma
Un film tonique et insolite autour du deuil et de la liberté.
Les Inrockuptibles
“Linda veut du poulet” fait l’effet d’un grand brouhaha mélodieux, maîtrisé et ondulant, dans lequel se précipitent quantité de personnages secondaires, tous·tes engagé·es d’une manière ou d’une autre vers cette quête absurde qui n’est pas sans amertume.
Marie Claire
Rythme trépidant, dessins virevoltants : un conte animé loufoque et tendre sur les blessures de l’enfance.
Paris Match
Un petit chef d'œuvre de poésie et de fantaisie.
Positif
"Linda veut du poulet !" s’avère un des meilleurs films capables d’enthousiasmer parents et enfants qu’on ait vu depuis longtemps.
Première
Bourrée de gags et d’exploits narratifs (le prologue sur la mort du père, chef-d’oeuvre lacrymal), la course-poursuite à la volaille devient pulsion de vie pour une veuve et une orpheline qui s’étaient mises en stase. Une forme de résistance euphorique et contagieuse contre la fatalité et l’ordre établi.
Télérama
Une savoureuse équipée.
L'Obs
Trait faussement minimaliste, feux d’artifice de couleurs, scénario débridé vantant la solidarité et la diversité culturelle, le film fond en bouche. Manque juste, dans la mise en scène, un soupçon de vivacité supplémentaire.
Le Journal du Dimanche
Une aventure poétique, insolente, burlesque, mélancolique au service d'un univers graphique singulier, qui privilégie le minimalisme de silhouettes aux couleurs vives et en mouvement perpétuel.