Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Closer
par J.B.
Rythmée par d'excellentes répliques, cette comédie sur la diversité s'adresse à tous les publics.
Elle
par Emilie Rivenq
La formidable énergie et la justesse que dégage Oumy Bruni Garrel qui campe Neneh, soutenue par ses parents, ne gâchent rien à cette comédie feel good, où il est moins question de danse que de simple résilience.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le cinéaste Ramzi Ben Sliman dépeint avec acuité le conservatisme du « ballet blanc » et son rejet de toute différence (physique, sociale, etc.) regardée comme de mauvais goût.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par La Rédaction
Autour de cette héroïne craquante, les personnages secondaires, notamment ceux des parents de Neneh, finement écrits, évitent les clichés.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Voici
par La Rédaction
Un joli conte social moderne.
L'Obs
par S. G.
Sans surprise, la petite tendra la main à sa prof, pourvue d’un œil bleu et d’un œil brun, symboles de sa déchirure identitaire et de sa cécité. Un film où une gosse peut crier son ras-le-bol d’être noire, qui dresse en creux un portrait de la France.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Dommage que l’épilogue soit expédié et plus convenu. On gardera en tête la fougue de Neneh (Oumy Bruni Garrel, fille adoptive de Valeria Bruni-Tedeschi et Louis Garrel). Un tempérament à la pointe !
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
L’actrice débutante est plutôt convaincante, du moins quand Maïwenn ne lui vole pas la vedette avec son personnage d’ex-étoile devenue directrice de l’école, miroir maléfique pour Neneh et qui vampirise progressivement le scénario.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaro
par A.B.
Un film gâché par la bêtise des clichés qu'il véhicule. Dommage. Car, dans le rôle-titre, Oumy Bruni Garrel crève l'écran.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par M. Jo.
Neneh Superstar semble malheureusement penser que pour démasquer le racisme institutionnel, il faille pousser les curseurs au maximum – au risque de la caricature.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Les personnages manquent trop de corps pour être crédibles.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Ève Beauvallet
S’il dénonce le racisme systémique et la reproduction sociale au sein de l’Opéra de Paris, le film de Ramzi Ben Sliman va à rebours de son propos en castant Oumy Bruni-Garrel, fille de Louis Garrel et Valeria Bruni-Tedeschi, par ailleurs très talentueuse, dans le premier rôle.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
Dommage que le film ne se hisse jamais à sa hauteur, plombé par une grande faiblesse d’écriture des seconds rôles tous réduits à des archétypes et par ricochet à un scénario terriblement manichéen et dépourvu de surprises.
La critique complète est disponible sur le site Première
Closer
Rythmée par d'excellentes répliques, cette comédie sur la diversité s'adresse à tous les publics.
Elle
La formidable énergie et la justesse que dégage Oumy Bruni Garrel qui campe Neneh, soutenue par ses parents, ne gâchent rien à cette comédie feel good, où il est moins question de danse que de simple résilience.
La Croix
Le cinéaste Ramzi Ben Sliman dépeint avec acuité le conservatisme du « ballet blanc » et son rejet de toute différence (physique, sociale, etc.) regardée comme de mauvais goût.
Le Parisien
Autour de cette héroïne craquante, les personnages secondaires, notamment ceux des parents de Neneh, finement écrits, évitent les clichés.
Voici
Un joli conte social moderne.
L'Obs
Sans surprise, la petite tendra la main à sa prof, pourvue d’un œil bleu et d’un œil brun, symboles de sa déchirure identitaire et de sa cécité. Un film où une gosse peut crier son ras-le-bol d’être noire, qui dresse en creux un portrait de la France.
La Voix du Nord
Dommage que l’épilogue soit expédié et plus convenu. On gardera en tête la fougue de Neneh (Oumy Bruni Garrel, fille adoptive de Valeria Bruni-Tedeschi et Louis Garrel). Un tempérament à la pointe !
Télérama
L’actrice débutante est plutôt convaincante, du moins quand Maïwenn ne lui vole pas la vedette avec son personnage d’ex-étoile devenue directrice de l’école, miroir maléfique pour Neneh et qui vampirise progressivement le scénario.
Le Figaro
Un film gâché par la bêtise des clichés qu'il véhicule. Dommage. Car, dans le rôle-titre, Oumy Bruni Garrel crève l'écran.
Le Monde
Neneh Superstar semble malheureusement penser que pour démasquer le racisme institutionnel, il faille pousser les curseurs au maximum – au risque de la caricature.
Les Fiches du Cinéma
Les personnages manquent trop de corps pour être crédibles.
Libération
S’il dénonce le racisme systémique et la reproduction sociale au sein de l’Opéra de Paris, le film de Ramzi Ben Sliman va à rebours de son propos en castant Oumy Bruni-Garrel, fille de Louis Garrel et Valeria Bruni-Tedeschi, par ailleurs très talentueuse, dans le premier rôle.
Première
Dommage que le film ne se hisse jamais à sa hauteur, plombé par une grande faiblesse d’écriture des seconds rôles tous réduits à des archétypes et par ricochet à un scénario terriblement manichéen et dépourvu de surprises.