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Votre avis sur Un Américain bien tranquille ?
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J'ai été surpris par ce film auquel j'ai adhéré alors que j'avais un gros doute !!! Bon je dois avouer que deux ou trois détails politiques m'ont échappé (car je n'aime pas trop ce genre d'intrigues !!) mais j'ai été subjugué par le triangle amoureux et le jeu très touchant de Michael Caine !!! Une vraie surprise et un moment très agréable !!! Prenant, captivant et émouvant !
Indochine 1952 : Fawler, un correspondant de journal anglais qui vit avec une indigène fait la connaissance de Pyle, un américain responsable d’une mission d’aide médicale.
Le film est la seconde adaptation d’un roman assez prémonitoire de Graham Greene, et en suit la trame. Son scénario ne souffre donc pas de reproche, mêlant habilement histoire d’amour et témoignage sur ce conflit que les français sont en train de perdre, le tout dans une bonne unité d’action. L’apport de Noyce vient avant tout de l’atmosphère qu’il parvient à créer : une ambiance douce-amère, faite de musique alanguie, de décors à dominante brune, de costumes élégants, de scènes nocturnes, dans laquelle les faits de guerre apparaissent décalés, incongrus, d’autant plus choquants. Pour ce faire, il utilise l’artifice d’un flashback global, induisant une part de récit en voix off, mais cette facilité ne nuit pas à l’ensemble. La distribution est sans défauts, le jeu de Michael Caine particulièrement remarquable de sobriété et d’intensité, celui de ses deux partenaires (Brendan Fraser – Do Ti Hai Yen) est également très adapté.
Le film est la seconde adaptation d’un roman assez prémonitoire de Graham Greene, et en suit la trame. Son scénario ne souffre donc pas de reproche, mêlant habilement histoire d’amour et témoignage sur ce conflit que les français sont en train de perdre, le tout dans une bonne unité d’action. L’apport de Noyce vient avant tout de l’atmosphère qu’il parvient à créer : une ambiance douce-amère, faite de musique alanguie, de décors à dominante brune, de costumes élégants, de scènes nocturnes, dans laquelle les faits de guerre apparaissent décalés, incongrus, d’autant plus choquants. Pour ce faire, il utilise l’artifice d’un flashback global, induisant une part de récit en voix off, mais cette facilité ne nuit pas à l’ensemble. La distribution est sans défauts, le jeu de Michael Caine particulièrement remarquable de sobriété et d’intensité, celui de ses deux partenaires (Brendan Fraser – Do Ti Hai Yen) est également très adapté.
Un très bon film sur l'Indochine, version so British et on y retrouve le style de Graham Greene. L'ambiance de fin de monde est très bien reconstitué. A découvrir !
Intéressant ! L’action se passe à Saïgon, peu avant Dien Bien Phu, où un journaliste anglais rencontre un Américain se faisant passer pour un touriste mais venant en fait espionner. Ce qui m’a plu dans ce film, issu d’un roman de Graham Green, c’est une reconstitution très soignée de l’époque (quelle ambiance, avec les attentats en ville !), le jeu d’acteurs (grandissime Michaël Caine) et bien sûr un scénario au cordeau, avec une histoire sentimentale à trois superbement évoquée avec une jeune actrice vietnamienne bien belle et au magnifique regard. Un bon moment de cinéma.
Nouvelle adaptation du roman éponyme de Graham Greene après celle de Mankiewicz en 1958, ce remake réalisé par Phillip Noyce est tout à fait honorable, se hissant à la hauteur de son aîné. S'il ne parvient pas à faire oublier toute la subtilité du film de Mankiewicz, cet ''Américain bien tranquille'' version 2002 ne manque pas de charme. Efficace dans son scénario comme dans sa mise en scène, un peu moins subtil mais néanmoins très fort dans son propos, le film vaut surtout le détour pour la prestation impeccable de Michael Caine en journaliste vieillissant qui ne veut pas se faire voler son grand amour et sa seule raison de vivre. Face à lui, Brendan Fraser s'en sort très bien et le trio que ces deux-là forment avec la très belle Do Thi Hai Yen ne manque pas de charme, le tout dans une mise en scène très belle, mettant en avant la moiteur et la lourdeur du Vietnam de la guerre d'Indochine.
Après plusieurs réalisations Philip Noyce signe là son œuvre la plus accomplie. Fort émotion et en tension, "Un Américain bien tranquille" est un très bon film historique qui traite de la période annonçant l'arrivée des États-Unis sur le sol vietnamien.
Avec pour duo centrale formé de Michael Caine et Brendan Fraser, le long-métrage prend des tournures originales et parfois profondes qui sont par moment dégradées par un usage excessif de la bande originale.
On assiste à des interactions intéressantes où la justice n'est pas toujours évidente à cerner mais où chacun prendra partie ce qui engendre bien trop souvent des situations de conflits. Car conflits il y en a. Images très fortes non censurées et noirceurs de certaines scènes, il est sûr qu'"Un Amércain bien tranquille" a su profiter de son anonymat pour rester plus fidèle à ses idéaux d'origine. En clair, une très belle reconstitution bien menée et dirigée comme il se doit. Scénario solide, acteur régulier (Caine) et surprenant (Fraser) mis en scène dans des décors crédibles... A voir.
Avec pour duo centrale formé de Michael Caine et Brendan Fraser, le long-métrage prend des tournures originales et parfois profondes qui sont par moment dégradées par un usage excessif de la bande originale.
On assiste à des interactions intéressantes où la justice n'est pas toujours évidente à cerner mais où chacun prendra partie ce qui engendre bien trop souvent des situations de conflits. Car conflits il y en a. Images très fortes non censurées et noirceurs de certaines scènes, il est sûr qu'"Un Amércain bien tranquille" a su profiter de son anonymat pour rester plus fidèle à ses idéaux d'origine. En clair, une très belle reconstitution bien menée et dirigée comme il se doit. Scénario solide, acteur régulier (Caine) et surprenant (Fraser) mis en scène dans des décors crédibles... A voir.
Un américain bien tranquille est un très beau film de Phillip Noyce. Une belle distribution avec notamment à l’affiche Michael Caine, Brendan Fraser ou encore Do Thi Hai Yen. J’ai beaucoup aimé le scénario, il y a de bons dialogues, l’intrigue fonctionne bien et les personnages sont bien développés. Bref c’est un film à découvrir qui je pense sera apprécié de tous les fans de film romantique, 14 / 20.
Un film axant sur la romance et les désastres de la guerre sur fond d'intrigue. D'accord pour l'idée, malheureusement, des lenteurs incroyables traduisent à l'écran un drame monotone. L'intrigue reste la plus intéressante mais tellement, au final, passée au second plan, que l'ensemble est triste. 1.5/5 seulement !!!
Film qui mêle bien le drame intimiste et de guerre ainsi que le genre espionnage. Michael Caine est très bien, le scénario est solide et des dialogues pertinents. Je trouve le sud-est asiatique très cinématographique en plus.
L'action se déroule en 1952, peu de temps avant la fin de la guerre d'indochine (1954). Les américains aident financièrement les français pour lutter contre le communisme. Le film est centré sur un journaliste anglais qui s'accommode de la situation et très peu sur les faits historiques. La vie quotidienne à cette époque est bien décrit et nous plonge dans une ambiance exotique. Michael Caine joue avec perfection.
Bof bof. Noyce nous gratifie d'un remake à peine honorable pour qui a vu l'original.On peut lui préferer ses thrillers à la sauce jack ryan ,efficaces , ou encore les chemins de la liberté ,vraiment excellent.
C'est vraiment dommage que la qualité de l'image (projection ?) soit aussi mauvaise, que le côté "exotique" n'ait pas été plus esthétique (à moins que les Français aient un peu améliorés ces pays avec l'"Amant" ou "Indochine" ?) et que le rythme soit trop lent pour le nombre d'anecdotes. Le casting est merveilleux puisque ce qui pourrait passer pour une injure (Frazer en face de Caine !) est en fait très judicieux.
Car au niveau du scénario, c'est vraiment agréable, pas dense, mais bien foutu.
Après "Bowling for Columbine", une autre manière de critiquer les Américains sur les gestions "aventureuses" des pays qui (aux dernières nouvelles) ne leur appartiennent pas. J'ai d'ailleurs appris que le film a été empêché de sortie à l'époque du 11 septembre 2001, mais c'est souvent une bonne excuse pour la censure du pays des libertés, dommage pour elle, il tombe à pic avec l'Irak !
Car au niveau du scénario, c'est vraiment agréable, pas dense, mais bien foutu.
Après "Bowling for Columbine", une autre manière de critiquer les Américains sur les gestions "aventureuses" des pays qui (aux dernières nouvelles) ne leur appartiennent pas. J'ai d'ailleurs appris que le film a été empêché de sortie à l'époque du 11 septembre 2001, mais c'est souvent une bonne excuse pour la censure du pays des libertés, dommage pour elle, il tombe à pic avec l'Irak !
Une trés bonne surprise !!! adapté du roman de Graham Greene, le film de philip Noyce est une vraie perle. Brendan Fraser prouve ses qualité d'acteur dans ce rôle de faux naïf face à un toujours trés bon Michael Caine. Le film surprend par sa vision objective et sans concession de la politique Americaine au Viêt-nam.
C'est simple, j'ai rien compris, j'ai rien suivi de cette histoire et je m'en tape. C'est singulier comme avis, je sais, mais j'ai pas envie de m'étaler sur ce film qui m'est largement passé au dessus de la tête.
Imaginez une recette de cuisine...
Prenez d'abord l'un des plus grands acteurs au monde (Caine), avec un léger glacis de décadence physique pour la crédibilité.
Ajoutez un jeune premier (Fraser), plutôt doué mais en mal de rédemption depuis qu'il a trempé dans les sauces les plus improbables.
Ajoutez encore une femme belle à se damner (Do Thin Yen), saupoudrer à l'aide d'un producteur de génie (Pollack) et d'un compositeur plein de talent (Amstrong). Marriez le tout sur la trame d'un grand auteur déjà adapté jadis avec bonheur (Greene), et voici comment obtenir le seul vrai film de cinéma américain de l'été.
Un élégant et subtil mélange de série noire de la grande époque et de cet incomparable saveur asiatique. Un délice vénéneux qui éveille tous nos sens, admirablement servie par un Michael Caine d'une justesse absolue, avec en toile de fond l'indicible misère amoureuse des peuples asservis. Car rien n'a changé ici-bas, de l'Afrique à l'Asie, les jeunes femmes ambitieuses des grandes villes se sont résolues à ne pas aimer, et jusqu'au bout, le spectateur ignorera si cette sublime vietnaminenne a jamais éprouvé de l'amour vrai pour l'un ou l'autre de ses prétendants occidentaux, symboles d'un possible avenir loin de la guerre.
A voir au calme, loin des foules acclamant les blockbusters, seul ou en couple. Régalez-vous !
Prenez d'abord l'un des plus grands acteurs au monde (Caine), avec un léger glacis de décadence physique pour la crédibilité.
Ajoutez un jeune premier (Fraser), plutôt doué mais en mal de rédemption depuis qu'il a trempé dans les sauces les plus improbables.
Ajoutez encore une femme belle à se damner (Do Thin Yen), saupoudrer à l'aide d'un producteur de génie (Pollack) et d'un compositeur plein de talent (Amstrong). Marriez le tout sur la trame d'un grand auteur déjà adapté jadis avec bonheur (Greene), et voici comment obtenir le seul vrai film de cinéma américain de l'été.
Un élégant et subtil mélange de série noire de la grande époque et de cet incomparable saveur asiatique. Un délice vénéneux qui éveille tous nos sens, admirablement servie par un Michael Caine d'une justesse absolue, avec en toile de fond l'indicible misère amoureuse des peuples asservis. Car rien n'a changé ici-bas, de l'Afrique à l'Asie, les jeunes femmes ambitieuses des grandes villes se sont résolues à ne pas aimer, et jusqu'au bout, le spectateur ignorera si cette sublime vietnaminenne a jamais éprouvé de l'amour vrai pour l'un ou l'autre de ses prétendants occidentaux, symboles d'un possible avenir loin de la guerre.
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