Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Télé Loisirs
par C. Ch.
Palpitant, ce drame se double d'une enquête passionnante et d'une réflexion bienvenue sur la place des femmes dans l'Église catholique.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
En levant le voile sur quelques interdits religieux, Virginie Sauveur et Nicolas Silhol signent un film habile sur l’imposture et la manipulation.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Karin Viard donne une belle humanité à son personnage.
L'Obs
par F. F.
Karin Viard, dans le rôle principal, donne élégance et densité à ce film méditatif et très inattendu.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Chancelière d’un diocèse, Karin Viard mène une enquête particulière dans un polar catholique sans bondieuserie, sur le mystère d’une femme travesti en homme pour exercer son sacerdoce.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Le premier film de Virginie Sauveur évoque avec tact le tabou des femmes prêtres dans l'église. Karin Viard est épatante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Formidable d’empathie dans le rôle de la chancelière, Karin Viard nous amène petit à petit à nous interroger sur ces sujets en s’affranchissant des caricatures et des tabous.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Première réalisation au cinéma pour Virginie Sauveur, qui s’attaque à la thématique choc de la place des femmes dans l’Église. Une enquête conduite efficacement, et dotée d’une dimension sociale intéressante, mais souffrant de faiblesses narratives.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Si l’on oublie quelques digressions scénaristiques pas très utiles, le film sait manier le thriller et le questionnement sociétal sans surligner le propos, posant des questions sur le mensonge, la dissimulation et les dogmes.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
La Croix
par Céline Rouden
Adapté du roman Des femmes en noir, le film pose sans grande finesse la question de l’ordination des femmes et passe à côté de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Karin Viard mène l’enquête dans un film qui interroge bien sûr la place des femmes dans l’Église, mais qui reste très sage.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Au croisement de ces deux lignes un peu tirées par les cheveux, un plaidoyer plutôt délicat pour l’intégration des femmes dans la prêtrise et contre le célibat des prêtres, écrit sur une voie étroite entre affabulation romanesque et dossier à charge, par Virginie Sauveur (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par Thierry Cheze
Virginie Sauveur aborde un sujet complexe qui mérité d'être plus fouillé.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Au final, "Magnificat" n’envisage sa contemporanéité que selon une logique de narration qui a tout à voir avec le sommaire d’un journal télévisé, avec au programme une reconstitution dépassionnée de tout : sentiments, milieux (de l’Église à la communauté gitane).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Mais l’enquête de la chancelière du diocèse (Karin Viard) sur son parcours qui constitue la colonne vertébrale du récit - doublée d’une sous- intrigue dispensable sur son fils cherchant à connaître la vérité sur son père - est trop scolaire pour convaincre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marie Sauvion
Il n’y a rien à sauver dans Magnificat, qui prétend questionner la place du deuxième sexe dans l’Église mais se contente de ressortir de leur purgatoire télévisuel de vieilles recettes mélodramatiques. Un enfer d’ennui.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Télé Loisirs
Palpitant, ce drame se double d'une enquête passionnante et d'une réflexion bienvenue sur la place des femmes dans l'Église catholique.
aVoir-aLire.com
En levant le voile sur quelques interdits religieux, Virginie Sauveur et Nicolas Silhol signent un film habile sur l’imposture et la manipulation.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Karin Viard donne une belle humanité à son personnage.
L'Obs
Karin Viard, dans le rôle principal, donne élégance et densité à ce film méditatif et très inattendu.
Le Dauphiné Libéré
Chancelière d’un diocèse, Karin Viard mène une enquête particulière dans un polar catholique sans bondieuserie, sur le mystère d’une femme travesti en homme pour exercer son sacerdoce.
Le Figaro
Le premier film de Virginie Sauveur évoque avec tact le tabou des femmes prêtres dans l'église. Karin Viard est épatante.
Le Parisien
Formidable d’empathie dans le rôle de la chancelière, Karin Viard nous amène petit à petit à nous interroger sur ces sujets en s’affranchissant des caricatures et des tabous.
Les Fiches du Cinéma
Première réalisation au cinéma pour Virginie Sauveur, qui s’attaque à la thématique choc de la place des femmes dans l’Église. Une enquête conduite efficacement, et dotée d’une dimension sociale intéressante, mais souffrant de faiblesses narratives.
Paris Match
Si l’on oublie quelques digressions scénaristiques pas très utiles, le film sait manier le thriller et le questionnement sociétal sans surligner le propos, posant des questions sur le mensonge, la dissimulation et les dogmes.
La Croix
Adapté du roman Des femmes en noir, le film pose sans grande finesse la question de l’ordination des femmes et passe à côté de son sujet.
La Voix du Nord
Karin Viard mène l’enquête dans un film qui interroge bien sûr la place des femmes dans l’Église, mais qui reste très sage.
Le Monde
Au croisement de ces deux lignes un peu tirées par les cheveux, un plaidoyer plutôt délicat pour l’intégration des femmes dans la prêtrise et contre le célibat des prêtres, écrit sur une voie étroite entre affabulation romanesque et dossier à charge, par Virginie Sauveur (...).
Ouest France
Virginie Sauveur aborde un sujet complexe qui mérité d'être plus fouillé.
Les Inrockuptibles
Au final, "Magnificat" n’envisage sa contemporanéité que selon une logique de narration qui a tout à voir avec le sommaire d’un journal télévisé, avec au programme une reconstitution dépassionnée de tout : sentiments, milieux (de l’Église à la communauté gitane).
Première
Mais l’enquête de la chancelière du diocèse (Karin Viard) sur son parcours qui constitue la colonne vertébrale du récit - doublée d’une sous- intrigue dispensable sur son fils cherchant à connaître la vérité sur son père - est trop scolaire pour convaincre.
Télérama
Il n’y a rien à sauver dans Magnificat, qui prétend questionner la place du deuxième sexe dans l’Église mais se contente de ressortir de leur purgatoire télévisuel de vieilles recettes mélodramatiques. Un enfer d’ennui.