Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
L'Obs
par F. F.
Zeno Graton, dont c’est le premier film, montre l’amour en milieu carcéral avec force et avec pudeur. Le paradis désiré est à portée de main, dans l’enfer de la prison. Il y a là une beauté secrète, un déchirement admirable. On admire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par La Rédaction
« Le Paradis » filme avec pudeur et évidence un amour homosexuel dans un univers carcéral. Deux tourtereaux dans une cage. Deux pur-sang indomptables, pour le meilleur et aussi le pire.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Luc Chessel
Un premier long métrage émouvant et subversif, comme un écho au « Chant d’amour » de Jean Genet.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Chèze
Un film plein de fougue, porté par deux acteurs épatants.
Sud Ouest
par Julien Rousset
Un premier long métrage singulier, émouvant, à la mise en scène élégante, dans ses lumières notamment. Zeno Graton fait parler les corps, les regards, les silences. Il filme cette attraction entre les deux personnages sans dramatisation, comme une évidence.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
S’ancrant dans un milieu souvent abordé avec une approche purement naturaliste, ce premier long métrage entre ombre et lumière échappe au déjà-vu sans occulter le mal-être de gamins aux avenirs flous.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Peut-on s’aimer quand on n’est pas libres ? C’est l’une des questions que pose Zeno Graton dans son premier film, utilisant toute l’énergie et la rage de Khalil Gharbia, un visage neuf plein de promesses, pour une histoire moins fragile qu’il n’y paraît.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
On sent aussi que Graton a voulu documenter son sujet et qu’il peine à sortir des rets du réalisme pour atteindre l’incandescence de la poésie. Un premier film un peu trop sage, donc, mais très prometteur.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Fabien Baumann
Pourquoi ne pas croire, pendant une plaisante heure et vingt-trois douces minutes, que la prison réunit les égarés et que l’amour fait du bien ?
Première
par Thierry Chèze
Le Paradis raconte l’amour comme un oasis de liberté dans un lieu clos, la fougue née du jeu avec l’interdit pour ne pas se faire surprendre. Le tout avec un lyrisme né du beau travail sur la lumière de Olivier Boojing (Rien à foutre) et l’interprétation intense de Khalil Gharbia (Peter von Kant) et Julien de Saint- Faye.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Cécile Mury
Filmé au quotidien, avec une vérité quasi documentaire, ce décor mi-scolaire mi-carcéral est presque le troisième personnage d’un sobre et poignant récit d’apprentissage et d’égarement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Sensuel et doucereusement romantique, Le Paradis est peut-être trop policé pour convaincre complètement le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
Zeno Graton, dont c’est le premier film, montre l’amour en milieu carcéral avec force et avec pudeur. Le paradis désiré est à portée de main, dans l’enfer de la prison. Il y a là une beauté secrète, un déchirement admirable. On admire.
Le Parisien
« Le Paradis » filme avec pudeur et évidence un amour homosexuel dans un univers carcéral. Deux tourtereaux dans une cage. Deux pur-sang indomptables, pour le meilleur et aussi le pire.
Libération
Un premier long métrage émouvant et subversif, comme un écho au « Chant d’amour » de Jean Genet.
Ouest France
Un film plein de fougue, porté par deux acteurs épatants.
Sud Ouest
Un premier long métrage singulier, émouvant, à la mise en scène élégante, dans ses lumières notamment. Zeno Graton fait parler les corps, les regards, les silences. Il filme cette attraction entre les deux personnages sans dramatisation, comme une évidence.
Le Journal du Dimanche
S’ancrant dans un milieu souvent abordé avec une approche purement naturaliste, ce premier long métrage entre ombre et lumière échappe au déjà-vu sans occulter le mal-être de gamins aux avenirs flous.
Les Fiches du Cinéma
Peut-on s’aimer quand on n’est pas libres ? C’est l’une des questions que pose Zeno Graton dans son premier film, utilisant toute l’énergie et la rage de Khalil Gharbia, un visage neuf plein de promesses, pour une histoire moins fragile qu’il n’y paraît.
Les Inrockuptibles
On sent aussi que Graton a voulu documenter son sujet et qu’il peine à sortir des rets du réalisme pour atteindre l’incandescence de la poésie. Un premier film un peu trop sage, donc, mais très prometteur.
Positif
Pourquoi ne pas croire, pendant une plaisante heure et vingt-trois douces minutes, que la prison réunit les égarés et que l’amour fait du bien ?
Première
Le Paradis raconte l’amour comme un oasis de liberté dans un lieu clos, la fougue née du jeu avec l’interdit pour ne pas se faire surprendre. Le tout avec un lyrisme né du beau travail sur la lumière de Olivier Boojing (Rien à foutre) et l’interprétation intense de Khalil Gharbia (Peter von Kant) et Julien de Saint- Faye.
Télérama
Filmé au quotidien, avec une vérité quasi documentaire, ce décor mi-scolaire mi-carcéral est presque le troisième personnage d’un sobre et poignant récit d’apprentissage et d’égarement.
aVoir-aLire.com
Sensuel et doucereusement romantique, Le Paradis est peut-être trop policé pour convaincre complètement le spectateur.