Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Bogdan George Apetri n’est peut-être pas le plus connu des cinéastes roumains, mais avec son thriller social, il rebat les cartes du cinéma local contemporain.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Mathieu Victor-Pujebet
Virtuose, mais pas démonstratif, stimulant, mais pas gadget, déchirant, mais pas pathos : Dédales évite tous les pièges et en devient un choc féministe d'une force et d'une sensibilité rare.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Jérôme Garcin
Formidable et labyrinthique polar, réalisé au cordeau, qu’on doit à un Roumain de New York et ancien avocat pénaliste, « Dédales » porte bien son titre. On frémit de s’y égarer.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Loris Hantzis
DÉDALES n’est jamais meilleur que lorsqu’il se risque au lyrisme amplifiant les sons de la nature comme rappel constant à la question de Dieu.
Le Parisien
par La Rédaction
Aussi remarquablement mis en scène qu’interprété, le film constitue un nouvel exemple réussi d’un cinéma roumain en plein renouvellement.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Enquête criminelle dysfonctionnelle, rape and revenge démantibulé, drame métaphysique, tour de force mathématique, Dédales est tout ça à la fois. Labyrinthe dément où aucune sortie n’est la bonne mais où l’humanité se dévoile à l’os, avec une ferveur et une âpreté inouïes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Marie Sauvion
Ce qui passionne ici, c’est la manière dont l’auteur, ex-avocat devenu prof de cinéma aux États-Unis, bâtit ses longues séquences en écho les unes aux autres.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Daniel Bois
Très efficace et absolument pertinent.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Envoutant et mystérieux, Dédales constitue un petit bijou du cinéma roumain contemporain.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
L’envoûtement que suscite Dédales donne envie de découvrir les deux autres films de la trilogie à laquelle il appartient, Unidentified, disponible en DVD, et un autre à venir.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Etienne Sorin
Dédales est un titre un peu emphatique. Le polar d'Apetri est plus linéaire qu'il n'y paraît. Aussi prenant et maîtrisé soit-il, il n'est peut-être pas aussi labyrinthique ni complexe qu'il le voudrait - le titre international, Miracle, ne vaut guère mieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Construit sur ces deux mouvements distincts – unis par la même simplicité maniaque de la mise en scène –, Dédales progresse par touches parcimonieuses, cultive le hors-champ par respect du mystère et de l’invisible, dénoue son intrigue en lui laissant sa part d’ombre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Malgré sa structure parfois artificielle et un final inutilement alambiqué, le film, mis en scène avec une inspiration constante, entraîne le spectateur dans son atmosphère mystérieuse et dérangeante.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un polar dont la forme savamment agencée finit par manquer de finesse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Thierry Chèze
Si Bogdan George Apetri brille à créer une tension à couper au couteau, sa tendance à se regarder filmer mine quelque peu la puissance de son récit.
Positif
par Fabien Baumann
Mais pour qu’on croie au polar, il faudrait une mise en scène moins visible que celle-ci, avec ses longs plans-séquences systématiques, sa pudeur déplacée (« regardez donc comme je ne vous montre pas le crime que vous voudriez tant voir ») et une fin postmoderne assez horripilante.
Première
par Thierry Chèze
Pour autant, le résultat se révèle moins impressionnant que dans Unidentified. La faute sans doute à un procédé un peu trop visible et redondant – et source de longueurs - quand son précédent film jouait sur une sauvagerie, une brutalité plus physique que cérébrale.
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
par Olivier Rossignot
Bogdan George Apetri enferme le spectateur dans l’implacable précision de sa mise en scène [...] Mais son dispositif est sadique et creux : installer de la distance tant dans la gestion de l’espace que dans ses relations au monde ne fait que camoufler un voyeurisme douteux.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le film pêche par son écriture décousue et laborieuse, qui provoque l’ennui et la confusion, là où on aurait aimé être captivé par le fait divers insolite.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
CinemaTeaser
Bogdan George Apetri n’est peut-être pas le plus connu des cinéastes roumains, mais avec son thriller social, il rebat les cartes du cinéma local contemporain.
Ecran Large
Virtuose, mais pas démonstratif, stimulant, mais pas gadget, déchirant, mais pas pathos : Dédales évite tous les pièges et en devient un choc féministe d'une force et d'une sensibilité rare.
L'Obs
Formidable et labyrinthique polar, réalisé au cordeau, qu’on doit à un Roumain de New York et ancien avocat pénaliste, « Dédales » porte bien son titre. On frémit de s’y égarer.
La Septième Obsession
DÉDALES n’est jamais meilleur que lorsqu’il se risque au lyrisme amplifiant les sons de la nature comme rappel constant à la question de Dieu.
Le Parisien
Aussi remarquablement mis en scène qu’interprété, le film constitue un nouvel exemple réussi d’un cinéma roumain en plein renouvellement.
Libération
Enquête criminelle dysfonctionnelle, rape and revenge démantibulé, drame métaphysique, tour de force mathématique, Dédales est tout ça à la fois. Labyrinthe dément où aucune sortie n’est la bonne mais où l’humanité se dévoile à l’os, avec une ferveur et une âpreté inouïes.
Télérama
Ce qui passionne ici, c’est la manière dont l’auteur, ex-avocat devenu prof de cinéma aux États-Unis, bâtit ses longues séquences en écho les unes aux autres.
Voici
Très efficace et absolument pertinent.
aVoir-aLire.com
Envoutant et mystérieux, Dédales constitue un petit bijou du cinéma roumain contemporain.
La Croix
L’envoûtement que suscite Dédales donne envie de découvrir les deux autres films de la trilogie à laquelle il appartient, Unidentified, disponible en DVD, et un autre à venir.
Le Figaro
Dédales est un titre un peu emphatique. Le polar d'Apetri est plus linéaire qu'il n'y paraît. Aussi prenant et maîtrisé soit-il, il n'est peut-être pas aussi labyrinthique ni complexe qu'il le voudrait - le titre international, Miracle, ne vaut guère mieux.
Le Monde
Construit sur ces deux mouvements distincts – unis par la même simplicité maniaque de la mise en scène –, Dédales progresse par touches parcimonieuses, cultive le hors-champ par respect du mystère et de l’invisible, dénoue son intrigue en lui laissant sa part d’ombre.
Les Echos
Malgré sa structure parfois artificielle et un final inutilement alambiqué, le film, mis en scène avec une inspiration constante, entraîne le spectateur dans son atmosphère mystérieuse et dérangeante.
Les Fiches du Cinéma
Un polar dont la forme savamment agencée finit par manquer de finesse.
Ouest France
Si Bogdan George Apetri brille à créer une tension à couper au couteau, sa tendance à se regarder filmer mine quelque peu la puissance de son récit.
Positif
Mais pour qu’on croie au polar, il faudrait une mise en scène moins visible que celle-ci, avec ses longs plans-séquences systématiques, sa pudeur déplacée (« regardez donc comme je ne vous montre pas le crime que vous voudriez tant voir ») et une fin postmoderne assez horripilante.
Première
Pour autant, le résultat se révèle moins impressionnant que dans Unidentified. La faute sans doute à un procédé un peu trop visible et redondant – et source de longueurs - quand son précédent film jouait sur une sauvagerie, une brutalité plus physique que cérébrale.
Culturopoing.com
Bogdan George Apetri enferme le spectateur dans l’implacable précision de sa mise en scène [...] Mais son dispositif est sadique et creux : installer de la distance tant dans la gestion de l’espace que dans ses relations au monde ne fait que camoufler un voyeurisme douteux.
Le Journal du Dimanche
Le film pêche par son écriture décousue et laborieuse, qui provoque l’ennui et la confusion, là où on aurait aimé être captivé par le fait divers insolite.