Avis : Balle perdue 2 - Page 6

Avec ce deuxième opus on est surtout dans les courses poursuites, la tôle froissée et l’ode à la Renault 21 Turbo façon Mad Max. L’intérêt du N°1 s’est largement émoussé.

Une suite qui nous laisse sur notre faim avec un scénario qui tourne en rond et n'abouti nul part. Néanmoins les courses poursuites sont bien réalisées.

On dirait une vaste publicité pour Renault, dont une voiture est dégommée toutes les minutes, dans des cascades spectaculaires qui laissent "Taxi" loin derrière. De plus ce film comporte un nombre impressionnant de figures démolies et sanguinolantes très réalistes. sinon c'est sympa et distrayant..

Second volet moins bien que le précédent. Beaucoup plus d'action à mon goût. Les scènes sont d'ailleurs très bien réalisées et l'investissement d'Alban Lenoir est certain. Mais cette fois-ci le scénario est un peu poussif. Même si l'intrigue est plutôt intéressante c'est assez lent et on n'avance pas plus que ça dans le scénario. La première heure est vraiment bien. Ensuite ça réduit en intensité et on nous balance que de l'action. Attendons de voir le dernier volet qui va s'annoncer encore plus explosif. J'espère qu'en termes de scénario le finale sera à la hauteur.

Totalement badass ! Les intérêts des différents protagonistes se croisent et les ennemis d'hier deviennent des alliés de circonstances. Les courses poursuites et les bastons sont nitroglycérinées et bien plus nombreuses et spectaculaires que dans le précédent opus. Le rythme est infernal, à l'image d'un Alban Lenoir déterminé et increvable.
Ce deuxième volet est bien plus percutant, la définition même du jusqu'au-boutisme !

On prend pratiquement les mêmes et on recommence ! Balle perdue 2 est dans la continuité du 1, du suspense, de l’action, une belle course poursuite, c’est aussi réussi que le 1, la surprise est confirmée, et bonne nouvelle il y aura un 3!

Le premier était spectaculaire et malin. Le deuxième est encore plus spectaculaire mais complètement crétin. Sérieux, le scénario tourne en rond sans aucun but ! Alors oui, les scènes de bagarres et les courses-poursuites sont justes excellentes, mais cela ne fait pas un film ! J'espère que le scénario du 3ème sera plus recherché.

Plus de contenu sur le site ici : https://doisjelevoir.com/2022/11/12/balle-perdue-2-alban-lenoir-passe-la-seconde/


C’est de nouveau Guillaume Pierret qui est à la réalisation. Il écrit encore le scénario avec Alban Lenoir. Ce film d’action français est sorti le 10 novembre 2022 sur Netflix.


Le premier volet sorti en 2020 sur Netflix avait été un véritable succès en termes de visionnage. Balle perdue avait été deuxième du top 10 des films en langue non anglaise les plus vus sur la plateforme aux États-Unis. Cette suite était donc prévisible.


Alors que le premier essayait de mettre un peu de finesse au départ, celui-ci ne s’encombre pas de cela. Du début à la fin, vont s’enchaîner les bagarres, les courses-poursuites et les fusillades. Un parti-pris beaucoup plus francs et qui donne un axe clair à Balle Perdue 2. Ce film devient un bon divertissement. Si vous aimez l’action, difficile de s’ennuyer devant.


Malheureusement, les défauts du premier volet lui collent à la peau. La force surhumaine donnée à Lino atteint ses limites. Quand on voit que personne ne peut le retenir, l’intérêt des combats diminue fortement. Plus généralement, on note un manque de mesure. Il y a toujours cette volonté d’en faire trop. Une surenchère tout de même mieux contrôlée, mais qui fatigue un peu. C’est dommage, car un effort a été fait sur le dynamisme des scènes d’action.


Alban Lenoir reste fidèle à lui-même. Il maîtrise bien tous les styles. Sa bonne prestation permet de croire un minimum au personnage de Lino. En revanche, Stéfi Celma est loin d’être juste dans son jeu. En-dehors de ce duo, ce sont plutôt les voitures qui vont être importantes. On reste sur du bon vieux bolide français customiser pour être la terreur des routes. À noter tout de même le potentiel de Sébastien Lalanne. Il sort une belle performance pour le peu de temps lui étant accordé.

Le premier ‘Balle perdue’ avait profité du confinement pour se tailler un succès de masse sur Netflix, y compris aux Etats-unis et dans le reste du monde, faisant mentir le constat d’une supposée incompatibilité définitive entre cinéma français et cinéma d’action. A vrai dire, ‘Balle perdue’ n’avait rien de renversant. En termes de cinéma d’action, il ne constituait même pas une révolution bleu-blanc-rouge qui aurait remis tous les compteurs à zéro…mais c’était quand même un bon petit film de gangsters, assez généreux à sa façon et avec ses maigres moyens, dont les poursuites routières se situaient idéalement entre la démesure hollywoodienne des ‘Fast & Furious’ et la qualité française AOP des vieux Belmondo. Au vu des excellentes statistiques du film, Netflix a donné des sous pour une suite (quand Netflix content, Netflix faire ça) et le réalisateur, encore plus content, a pu commencer à bosser sur des cascades, des bastons, des fusillades et des accidents encore plus spectaculaires. On penche cette fois un tout petit peu plus clairement du côté de la démesure à l’américaine, ce qui rend les scènes concernées plus bêtes mais aussi plus divertissantes. Si Guillaume Pierret a sans doute pu doubler le budget alloué à la tôle froissée, il a apparemment aussi sucré le poste de scénariste : profitant du fait qu’il semble être un épisode de soudure, ‘Balle perdue 2’ tourne intégralement autour d’un témoin-clé dont tout le monde tente de s’emparer durant les trois-quart du film : on ne comprend pas toujours très bien pourquoi mais on s’en fout assez vite. Reste donc des scènes d’action honorables pour le cinéma français, vaguement reliées entre elles par une trame aussi épaisse que celle de ‘The raid’, et vous obtiendrez un pur produit Europa Corp qui aurait survécu à la chute d’Europa Corp, quelque chose de creux, de crétin, mal scénarisé et mal dialogué mais qui reste d’une certaine efficacité.

Autant le premier était sympa et bien enlevé, autant celui ci se présente comme une suite obligée et vite lassante...
Au niveau des cascades on a déjà tout vu avec les Fast and Furious et le jeu forcé des acteurs ne relève pas le niveau. Quant au scénario, on reste sur la trame sommaire du premier , la crédibilité en moins...

"Balle Perdue 2" est typiquement ce genre de suite : bavarde, qui reprends presque à la virgule près le plan de son ainé, le niveau de jeu des acteurs a baisser d'un cran sans être mauvais. Pas de nouveauté, ni de tensions dramatiques. Bref une suite qui cabotine et ne cherche pas à sortir des sentiers battus. Décevant.

Une suite qui envoie du lourd est qui et digne de son précédent film . J'ai regardé les deux à la suite, je n'ai pas vus les 3h passées... Ça fait du bien de voir du cinéma français de cette qualité...

Le premier film était un pari audacieux : une équipe française qui relevait le défi du genre action, tout cela massivement financé par Netflix. À moitié une réussite car reposant sur un scénario délicat et finalement un manque d’ambitions ; le deuxième opus comble ces lacunes pour se recentrer sur un fil conducteur linéaire, limpide, qui fort du succès du premier épisode déploie la charge supérieure en termes de moyens. On retrouve la brigade policière et Lino, incarné par le prometteur Alban Lenoir qui entre temps a pu se créer un sérieux bagage de comédien et affiche désormais un jeu à toute épreuve. Dans une quête vengeresse empruntant aux pontes du bad guy américain, Lino devient un personnage en décalage total avec son environnement, et il est intéressant de composer un caractère aussi solide, rebelle, qui ne recule devant rien pour obtenir justice, à la manière d’un Liam Neeson dans “Taken”. “Balle Perdue 2” affiche désormais clairement son ambition, à coups de grandes explosions, de poursuites en voitures et de combats nerveux, montrant un savoir-faire à la française et l’implication de toute une filière cinématographique talentueuse dans un genre encore peu exploité dans notre pays. Des choix symboliques pour une franchise qui veut consciemment se placer sur le marché international. Cela n'enlève en rien la qualité du long métrage et le réel engagement des équipes techniques et des comédiens pour nous produire ce très bon film. Conscient de ses intentions, “Balle Perdue 2”, bien meilleur que son prédécesseur, promet une suite encore plus puissante qui pourrait conclure une trilogie inattendue.

Franchement j'ai kiffé. Je l'ai regardé tranquillement dans le train et j'étais à fond dedans. Et le film a été tourné du côté de Montpellier, Sète... Un vrai plus et ça change. Bon petit film à regarder sans hésiter si on aime l'action..

⚠️ SPOILER TOME 1 et TOME 2⚠️
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Lino recherche Marco et Areski, qui ont disparu. Il est devenu flic et fait équipe avec Julia. Un coup de fil anonyme lui permet de débusquer Marco et met le feu aux poudres.
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J’ai enquillé le volet 2 direct après le premier opus. Il tient ses promesses et déchire tout sur son passage.
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On découvre que la commissaire ment comme une arracheuse de dents, que Lino ne fait pas trop dans l’humour, que Julia aime encore notre héros même s’ils sont séparés, qu’il s’est maqué avec la femme d’Areski (elle lui dit même Je t’aime, WTF) et que notre mécano vengeur tune ses bagnoles au niveau GTA extrême.
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Je me suis replongée dans les aventures de cette équipe qui se met les procédures au cul et qui laisse des traces sur le bitume. Les méchants, chargés de récupérer Marco n’ont même pas idée de la merde dans laquelle ils se foutent en défiant Lino. Le gars allonge tout le monde à lui tout seul, survit à des accidents de voiture qui nous auraient tué au premier platane encastré dans la carlingue et c’est ce qu’on aime !!
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Dans ce volet, lino est en pleine vendetta. Le gars est incontrôlable et les scènes ne sont que des successions des coups de poings, de coups de pieds, de dents qui sautent et de balles logées dans des gilets pare-balles quand Yann sert de bouclier humain.
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On en parle du cliffangher de ce second volet ? Pardon mais où est le troisième opus ? Il est minuit et demi, j’aurai les yeux en couilles de mouette au taf demain, mais j’aurai passé une putain de soirée.