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    L'Été dernier
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    Cinémalade club
    Cinémalade club

    1 abonné 12 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 septembre 2023
    Une véritable déception...
    Le film utilise pas mal de code qu'on avait déjà pu trouver dans le film Harry un ami qui vous veut du bien, ou encore le film inexorable, mais ici tout est un pétard mouillé.

    Le fils dont j'ai oublié le prénom joue extrêmement mal, d'ailleurs l'ensemble des acteurs je les ai trouvés plutôt mauvais hormis le père qui défend avec brio son rôle.

    En conclusion on pense que le film va décoller à un moment donné mais malheureusement il restera au sol.
    Jonathanc75
    Jonathanc75

    4 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 septembre 2023
    Un très grand film, filmé avec énormément de sensibilité et intelligence. Léa Drucker époustouflante. Dans l’ère de « woke » et de « néo-féminisme » (je ne comprends toujours pas le sens de ces mots), enfin un film qui traite un sujet universel, qui concerne et les femmes et les hommes : l’abus sexuel. spoiler: Les scènes de sexe, bien que gênantes, sont nécessaires pour montrer la dépendance sexuelle d’Anne, l’origine de laquelle se trouve dans son enfance, quand elle a été victime elle-même. Maintenant, elle recrée le cycle avec Théo.
    Un film indispensable pour tous qui aiment le cinéma, et qui ont souffert de et/ou ont eu à faire avec l’abus sexuel.
    Mélany T
    Mélany T

    31 abonnés 560 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 septembre 2023
    La direction d'acteur.trice.s ne convaint pas toujours tout comme les scènes d'amour mais le récit est intelligent, la mise en scène originale et captivante et le propos important.
    Arnaud KaDo
    Arnaud KaDo

    64 abonnés 250 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 septembre 2023
    Particulièrement déçu par rapport a la bande annonce.

    Un gros problème de rythme. Film pas très intéressant j'ai pas accroché.

    Il faut attendre 1h15 pour que ça devienne un peu sympa mais sinon le film mets (vraiment) du temps a décoller.

    Grosse déception ce n'est pas un thriller.
    irise70
    irise70

    5 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 septembre 2023
    film sans intérêt ,des scènes de sexe sans fin , de longues embrassades , du vin .....le sujet aurait dû être intéressant mais c'est loin d'être le cas !!! le rôle du père n'est pas convaincant ....hyper déçue ...
    Bernard M
    Bernard M

    25 abonnés 461 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 septembre 2023
    Ce film est un peu boîteux .Il traite d'une relation entre une femme et le fils de son compagnon d'une façon assez ambigüe.Il a du mal à dépmarrer et à prendre son rythme et sa deuxième partie est finalement meilleure que la première.Léa Drucker joue merveilleusement bien ce rôle avec toutes les nuances qu'il impose.La finlaisse un peu le spectateur en soif de rationnel sur sa faim, mais en dépit de ses défauts, le film se laisse regarder avec un certain plaisir.
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    227 abonnés 973 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 septembre 2023
    Anne est une avocate pénaliste redoutable. Elle vit avec Pierre, un chef d’entreprise avec qui ils ont adopté deux jeunes filles. Ce dernier voit l’arrivée sous leur toit de son fils Théo, adolescent nonchalant, tortueux, plein de candeur. Il va alors entame une relation interdite avec sa belle mère. Catherine Breillat filme l’interdit, l’insupportable et raconte le secret à travers cette relation, parsemée de jeux de pouvoirs, de duperies. Lea Drucker est diabolique, envoûtante, et capte notre attention durant tout le film. C’est malaisant, et somptueux à la fois.
    Colleenette
    Colleenette

    1 abonné 8 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 septembre 2023
    Passez votre chemin .... film scandaleux ou une belle mère couche avec son beau fils ( relation donc incestueuse ) avec des scènes d'amour qui mettent mal à l'aise, un scénario vide tout comme la fin du film. Mis à part cela il ne se passe presque rien mise à part le chantage entre belle mère et beau fils pour révéler l'affaire du côté du beau fils et au contraire de ne pas la révéler du côté de la belle mère qui a bien plus à perdre ( pêle mèle son mariage avec le père, possiblement la garde de ses filles, sa maison et bien évidemment sa carrière d'avocate renommée aux affaires familiales ou elle s'occupe toute la journée de jeunes à problèmes ).

    On se demande comment une telle histoire peut être crédible.
    Flower 0478
    Flower 0478

    63 abonnés 254 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 septembre 2023
    L'histoire est pas mal le père est sa femme qui accueil le fils de son mari et finalement elle se tape son fils dans le dos de son pauvre mari j'ai trouvé les scènes de sexe trop long voir parfois dérangeant le père décide de passer un tête à tête avec son fils pour lui prouver son affection et la le fils décide de tout raconter... Je découvre une Léa Drucker que j'aime bien comme actrice dans un rôle ici moins affectif je conseil d'aller voir quand même le film pour vous faire votre propre opinion.
    Delphine Solange
    Delphine Solange

    12 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 septembre 2023
    Merci Catherine Breillat pour ce film remarquablement conduit, remarquablement joué (Léa Drucker: rhaaaaa lovely!). Étrange comme certains films sont si bien écrits que l'on croit immédiatement à ses personnages...
    Quel suspense! Et, cerise sur le gâteau: quel savoureux coup de pied de l'âne à cette époque "normopathe" (merci aussi pour ce nouveau mot que je fais mien aujourd'hui). Pasolini aurait adoré.
    JB D
    JB D

    8 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 septembre 2023
    Retour en fanfare de Catherine Breillat après le beau « Abus de faiblesse » il y a près de dix ans. Derrière l’apparente simplicité d’un drame bourgeois se noue un récit complexe sur le regard et l’emprise amoureuse, loin des colifichets chabroliens qui le menaçait. C’est que Anne, avocate de la défense des mineurs, va entamer une liaison avec le fils de son mari, un adolescent de 17 ans dans une jolie villa d’île-de-France.

    En effet Breillat fait tableau dès qu’il s’agit de filmer le tabou moral et sexuel qu’elle entreprend de renverser avec une joie toute solaire, bien à l’encontre de son sujet et de ses lieux communs. Aucune épate formelle chez elle, mais une somme d’attentions et de petites broderies somptueuses (un mouvement d’appareil d’une bouleversante intelligence, un plan de visage renversé, une caméra qui se rapproche…) qui mettent à mal, et d’emblée, les lois apposées du regard sur l’inceste. En réalité, « L’été dernier » est avant tout un film d’une profonde ambiguïté parce qu’il est lumineux et caressant, plutôt que tragique et jugeant. C’est parce qu’un visage se défait que l’effet se joue, ou qu’un mot trop littéraire sort d’une diction où les fins de phrase retombent, que nos oreilles sortent du carcan du « film à sujet ». La morale, qui n’existe en fait pas chez elle et qui se fait la violation du droit de jouir, en fait les frais : formidable pouvoir qu’a Breillat de rendre plutôt aimable un personnage que l’on ne jugera pas plus haut que la taille des souffrances qui ne sont pas dites, mais subtilement distillées. La monstruosité, c’est ici d’abord la honte de la normalité et la perversion du mensonge qui transforme Anne en adulte démissionaire, irresponsable.

    Alors qu’elle lui dit sa peur du vertige amoureux (qui n’est pas de tomber, mais d’avoir peur d’avoir envie de tomber), Anne se lance avec Théo dans un vaste programme d’auto-destruction que l’amour porté par ceux autour ne peut réfréner : une sorte de pathologie-poison où l’envie de vibrer enfin, de vivre libre de ses traumas anciens, donne au taureau la force de s’enfoncer ses propres cornes. Un petit peu comme les récits transgressifs de Bataille ou Oshima, Breillat partage le goût du risque et du seppuku, non par posture mais par intelligence de la position ; l’humanité que recelle cet amour pas bon est aussi une forme de menace qui s’étend à tous, une mauvaise herbe que l’on a peine à couper dans nos jardins intérieurs. Breillat met en scène la pulsion, et par là-même une humanité qui se débine dans la fange de ses propres mensonges honteux. Quand le secret commence à tout dévorer, on devine le personnage ne plus savoir qu’elle ment.

    Il y a aussi l’art consommé de savoir filmer le sexe comme une splendeur à la fois engagée et distante, un moment qui se fait définitif dès que le chemin en est pris. On suit alors cette histoire belle et sordide comme une question sans réponse, un échec de la vie dans un court terme dont les conséquences ravageuses seront remises sous le tapis grâce à l’amour inattentif des hommes. L’alliance qui brille discrètement dans la nuit, beau détail littéraire sur lequel se referme le film, renonce à faire tomber le couperet sur son personnage, mais l’invite plutôt à continuer de tomber dans son mensonge, devenu norme et vérité.

    Revient alors frontalement le génie de direction d’acteurs (Drucker, Kircher, Rabourdin, sont extraordinaires), l’écoute attentive aux choses de la vie qui irradient l’écran et le transfigure, des lignes de dialogue que peu de cinéastes français savent écrire et diriger avec une telle oreille, et cette nécessité de filmer ce qui se passe sur le visage de quelqu’un qui tombe, plutôt que de se complaire sur le choc à terre. C’est dans cet intervalle que Breillat s’affirme enfin comme une cinéaste de la sagesse, fusse-t-elle filmée dans les voiles de la subversion. Et bien sûr, c’est le visage de Tadzio qui revient en tête lorsque, prise dans les mensonges de la nuit, Anne ferme définitivement la porte et remonte dans le lit conjugal avec l’image d’un spectre qui aura changé sa vie. Comme chez Visconti, la beauté est une hantise qui a le pouvoir de tout détruire.
    juste1zeste
    juste1zeste

    2 abonnés 59 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 septembre 2023
    Tout cela est quand même bien prévisible. Et assez improbable (mention spéciale à la dernière scène), et puis les gros plans assez moches sur les rictus de jouissance (ou de douleur?) de Lea Drucker sont d'une longueur interminable!
    Jipéhel
    Jipéhel

    30 abonnés 195 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 septembre 2023
    Sans tabou

    Le film de Catherine Breillat, qui n’était pas revenue au cinéma depuis 2014, a été sans nul doute un des moments forts de la sélection de Cannes 2023. Un drame mâtiné de thriller de 104 minutes qui font évidemment beaucoup parler. Anne, avocate renommée, vit en harmonie avec son mari Pierre et leurs filles de 6 et 7 ans. Un jour, Théo, 17 ans, fils de Pierre d’un précédent mariage, emménage chez eux. Peu de temps après, il annonce à son père qu’il a une liaison avec Anne. Elle nie. On ne peut que regretter que ce pitch en dise beaucoup trop long. Mais, il n’empêche qu’on est quasi hypnotisé par cette histoire d’emprise amoureuse montrée frontalement et crûment par la réalisatrice de Romance, A ma sœur !, ou Abus de faiblesse. Sans doute le meilleur Breillat.
    Voilà une cinéaste qui aime filmer le corps et le plaisir charnel… et il faut dire qu’elle le fit toujours très bien. Elle apprécie aussi les histoires scabreuses, sulfureuses, mais sait toujours éviter l’obscénité. Toujours sur le fil, mais rester en équilibre est tout un art, c’est ce lui de Catherine Breillat. Au-delà de la question de l’inceste – et encore le débat est-il ouvert -, ce qui l’a passionné avant tout c’est le mensonge proféré est la force de persuasion pour faire croire à l’incroyable. En vérité, cette histoire tient à la fois de l’univers de Bergman et de celui d’Hitchcock. L’intrigue est sombre et pourtant filmée de manière solaire. Un contraste qui amplifie sans doute encore la noirceur du propos. Ces visages et ces corps nus filmés au plus près font de Catherine Breillat, la réalisatrice des émotions. Certains trouveront la « morale » de ce film contestable, voire détestable, mais le politiquement incorrect a aussi ses charmes. Et ce film n’en manque pas. Et puis quel casting !!!
    Léa Drucker écrase tout sur son passage. Glaçante ou brûlante de désir, elle éclabousse ce film de tout son talent. Le jeune Samuel Kircher, au charme absolu, - frère de Paul et fils de Jérôme et d’Irène Jacob… belle filiation ! – qui tenait déjà le rôle principal du dernier film de Christophe Honoré, a une belle carrière qui s’annonce devant lui. Ajoutons les prestations impeccables d’Olivier Rabourdin et de Clotilde Courau, et on aura une idée de l’excellent casting qui sert ce film maîtrisé dans l’écriture comme dans la réalisation. Un drame qui nous dit que toute la lumière du monde ne permettra jamais d’élucider l’opacité d’un être jusqu’à l’inoubliable dernier plan d’un film qui ne garde bien de porter un jugement. Chacun fera le reste du chemin.
    Herve Antonetti
    Herve Antonetti

    4 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 septembre 2023
    Un scenario qui met mal à l'aise, des scènes qui trainent en longueur et une fin incompréhensible. Je n'arrive pas à comprendre comment une actrice comme Léa Drucker ai pu se perdre dans ce type de film .
    Danygermaine
    Danygermaine

    41 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 septembre 2023
    Ce film parle de la relation incestueuse d'un homme couchant avec sa belle-fille de 17 ans. Ah non pardon, ce film parle de la relation fougueuse d'une femme couchant avec son beau-fils de 17 ans. Pour le reste : Léa Drucker est parfaite comme toujours. A part ça... la photographie est assez laide, les scènes de sexe sont longues et cadrées de manière insupportable, le jeune acteur tout en mollesse et en nonchalance n'a rien de séduisant. Seule la réplique finale remonte un poil le niveau. Pour moi c'est très raté, et surtout très malaisant.
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